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« L'Algérie a tiré des leçons de la période des années 90 et est à l'abri du printemps arabe » L'ambassadeur britannique appelle les hommes d'affaire de son pays d'y investir
L'ambassadeur britannique en Algérie a écarté la possibilité que l'Algérie puisse soit entrainé dans le sillage des révolutions arabes, déclarant que le pays est à l'abri du « printemps arabe », et que le risque d'insécurité était très faible en comparaison avec les voisins, hormis le terrorisme dans la région du sahel contre lequel l'Algérie lutte. L'ambassadeur de Grande-Bretagne en Algérie, Martyn Roper a souligné en marge d'une réunion d'hommes d'affaires britanniques, hier soir à Londres, que l'expérience qu'a vécu l'Algérie durant la période des années 90, l'a met à l'abri d'être entrainé dans les événements que connait le monde arabe, ou ce que l'on appelle le printemps arabe. L'ambassadeur Martyn Roper a évoqué, la position de l'Algérie sur la question libyenne, et à soutenu sa position sur la protection des frontières, déclarant que « l'Algérie à le droit de se protéger ». Le représentant de la diplomatie britannique en Algérie a précisé, comme l'a rapporté le site de la presse électronique algérienne qui parait à Londres « Algérie presse online » que « les relations entre l'Algérie et la Grande-Bretagne sont excellentes particulièrement dans le domaine de l'énergie et de la coopération en défense et militaire », et a évoqué plusieurs dossiers concernant les deux pays, et qu' « il y des facilités et des mesures qui ont été prise en ce qui concerne la libre circulation des personnes entre les deux pays ». Précisant au sujet des échanges commerciaux entre les deux pays qu'ils « ont connu un bond significatif notamment durant les huit premiers mois de l'année puisque les échanges ont considérablement augmenté ». Il a adressé des conseils aux hommes d'affaires britanniques pour investir en Algérie, essayer de s'adapter à ce que prévoit la législation et à chercher des partenaires algériens qui s'intègrent à leurs sociétés, pour faciliter leur travail, conformément à l'instruction gouvernementale émanant du premier ministre Ouyahia en 2009.