Dans l'ensemble, l'étude du premier point a fait ressortir une courbe des inscrits nettement à la hausse et surtout un intérêt croissant envers les métiers de l'artisanat traditionnel et les spécialités du bâtiment et de la construction jusque-là boudés par les jeunes, faute d'un bon balisage du terrain. En particulier, l'implication des opérateurs de ce secteur, très frileux par le passé quant à la mise en œuvre d'actions d'accompagnement et de mesures incitatives. S'agissant du second point proposé à l'attention des chefs de service de la formation, un consensus s'est établi sur le bien-fondé de cette opération de dépoussiérage du règlement intérieur des centres et instituts de la formation professionnelle. A la faveur du débat qui s'est naturellement focalisé sur cet aspect, ce cadre juridico administratif a été revisité dans tous ses coins et recoins, avec le souci souligné de le replacer dans la nouvelle dynamique de cursus de formation plus innovants et plus proches des exigences et des réalités du marché du travail.