Ce sont, pour un bon nombre de ses superficies visibles sur le long du littoral, des terres héritées des exploitations agricoles collectives ou individuelles (EAC et EAI). Si une bonne partie du foncier agricole profite aux éleveurs de la région, pour le pâturage, une autre partie est gagnée par une extension urbanistique «effrénée». «Les pouvoirs publics ignorent-ils que des terres dépendantes des EAC sont bradées, voire urbanisées ?» se demande un membre d'une exploitation agricole. Une «satisfaction» cependant dans l'agriculture : l'élevage avicole. Ce secteur, dans ses deux segments, poulets de chair et poules pondeuses, semble en marche dans cette localité qui compte un nombre plus au moins important de poulaillers.