Ce retard, soutiennent des sources informées,est dû au squat du terrain retenu pour sa réalisation. Nos sources affirment que cette opération porte sur la réalisation de 60 logements participatifs libres (LPL) et 40 de type participatif aidé (LPA). En dépit des correspondances adressées aux parties concernées pour la libération du terrain squatté, aucune solution n'est venue rendre possible la réalisation de ce projet, renvoyée, semble-t-il, aux calendes grecques.