Les Lettres françaises de novembre consacreront un dossier à Kateb Yacine. Par ailleurs, une soirée d'hommage à Kateb Yacine aura lieu le mercredi 9 décembre 2009, à 18h30 à l'Institut du monde arabe. Kateb Yacine, le cœur entre les dents, textes de Bénamar Médiène dits par Fellag, Marianne Epin et Sid-Ahmed Agoumi, et chants berbères de Fettouma Bouamari. (Entrée libre et gratuite). Dans une pleine page consacrée à Kateb, le quotidien L'Humanité de vendredi écrit : « Le 28 octobre 1989 mourait Kateb Yacine à l'âge de soixante ans. Il laisse une œuvre poétique, dramatique et journalistique incommensurable. Lire et relire Kateb Yacine. Pour ne pas mourir idiot. Pour garder les yeux ouverts sur le monde. Pour rire de la malice de son auteur, de son ingéniosité à défier, sans relâche, le pouvoir, tous les pouvoirs, qu'ils soient religieux ou politiques. Il fut et il reste un des plus grands écrivains de langue française, même s'il affirmait sans se démonter :» ‘‘J'écris en français, mieux que les Français, pour dire que je ne suis pas français.'' »