Le président de l'APC d'Oran a présidé, hier, la première session ordinaire de l'année 2010. 16 points étaient inscrits à l'ordre du jour. Nous citerons, en premier lieu, le point ayant trait au marché N° 03/2010 relatif à l'aménagement des trottoirs des rues du centre-ville et dont le coût est estimé à 18.429.840 DA, pour un délai d'exécution de 3 mois. Il s'agit de la confection de trottoirs en béton imprimé. Une conception nouvelle qui n'est cependant pas sans défaut. En effet, il a été signalé une stagnation de l'eau en quelques endroits du centre-ville. « Les entreprises qui ne répondent pas aux clauses du cahier des charges doivent reprendre leur travail », nous a indiqué M. Benkadda, président de l'APC. Ce qui explique ainsi cette reprise des travaux constatée notamment au Boulevard Larbi Ben M'hidi où il a été observé que des ouvriers s'attelaient à défoncer les trottoirs pourtant nouvellement érigés. L'aménagement et la réhabilitation de l'ancien Prisunic a permis au président de lancer un appel aux gestionnaires qualifiés. Il devait ainsi déclarer qu'« Oran manque de gestionnaires spécialisées et dont le profil répond au type de structure dont il a la charge ». Un aménagement dont le coût est estimé à 44.798.334 DA et que le P/APC qualifie, pour sa part, « d' acquis exceptionnel qui comprend des espaces culturels, un musée de la cartographie ainsi que celui des arts modernes, une salle de conférences. Bref, un mégaprojet culturel autrement différent des autres centres culturels qu'abrite Oran ». Par ailleurs, dans le cadre de la préparation de la Conférence internationale du GNL 16, il a été prévu le changement d'intitulé du programme 23/09 « constructions de toilettes publiques » en « travaux de réhabilitation des toilettes publiques ». C'est le problème de concession qui a été sujet à controverse.