Les habitants de la résidence Secopi, à Birkhadem, notamment ceux du bâtiment N, subissent au quotidien de multiples désagréments causés par l'activité illégale d'une unité de fabrication de vis et de clous. Après plusieurs plaintes et demandes auprès des services concernés, une décision ordonnant l'arrêt et la délocalisation immédiate de l'activité par la wilaya d'Alger a été décidée et exécutée par la police, en présence des services de l'APC de Birkhadem. A ce jour, cette unité active toujours et continue de générer bruit, fortes odeurs d'huiles industrielles, vibrations des machines et rejets de métaux ferreux et dérivés. Comment peut-on se permettre de casser des scellés posés par les services concernés et passer outre à une décision émanant de l'autorité compétente, et de surcroît, continuer d'exercer à rideaux fermés en toute impunité ? Pourtant, Birkhadem ne se situe pas dans un quelconque lieudit perdu dans le grand désert du pays où l'autorité n'est que faiblement représentée !