-Place du 1er Mai : NetCom dépassé Les ordures s'entassent partout à la place du 1er Mai. Là où le regard se pose, ce sont des monticules de déchets qui agressent la vue. Du côté des Groupes, les ordures sont visibles à chaque coin de rue et aux pieds des bâtiments. L'environnement et la santé des citoyens sont menacés. Les rongeurs affluent. Les services de NetCom et de l'APC sont incapables — par manque de moyens et de technicité — de faire face au problème de l'hygiène, au grand désarroi de la population. -Hussein Dey : Jardin fermé Les travaux d'aménagement du jardin du quartier Brossette, dans la commune d'Hussein Dey, font du surplace. La reprise des opérations de réhabilitation de l'espace annoncée pour l'après Ramadhan n'est pas encore engagée. Les riverains du quartier Hammadache se plaignent de la fermeture de l'espace depuis plusieurs mois. L'APC, qui a engagé les opérations, ne semble pas décidée à faire pression sur l'entrepreneur qui a pris la poudre d'escampette. -Cité Larbaâ et Meftah : Pas de bacs à ordures ! A la cité du 5 Juillet à Larbaâ (Blida) où ont été relogés les habitants du bidonville d'El Hamiz, c'est l'anarchie. Les bénéficiaires de logements, qui s'indignent de l'absence de réseaux d'Aep et d'électricité, se plaignent de l'absence de bacs à ordures. Aucune niche n'a été aménagée pour jeter les ordures. Les bennes sont absentes et les ordures s'entassent au fur et à mesure que les jours passent. Par ailleurs, à la cité 469 Logements de Meftah, les habitants sont dans l'obligation de transporter eux-mêmes leurs déchets. Les bennes n'ont jamais été installées dans l'enceinte de la cité et les camions ne font aucune rotation. Résidant dans la cité depuis mars 2012, les habitants souffrent de l'absence de coordination avec les services de l'APC d'Alger-Centre d'où est originaire la population.