Alors que le secrétaire général de l'APC de Souk Ahras refuse de signer une récente délibération d'un concours professionnel pour le recrutement de trois gardiens et cinq femmes de ménage, des élus municipaux demandent carrément l'ouverture d'une enquête administrative, voire judiciaire, concernant le volet recrutement au sein de la commune du chef-lieu. Les édiles locaux qui ont pris attache avec El Watan estiment que sur les dizaines d'employés du filet social et de l'emploi de jeunes, dont le recrutement pour des postes temporaires remonte à deux décennies et dont la tranche d'âge varie entre 40 et 50 ans ont été lésés au profit de plusieurs prétendants, recrutés depuis seulement quelques mois. Ils citent en exemple le neveu d'un employé de l'agriculture qui fait fonction depuis l'année de l'investiture du maire comme membre à part entière des services de l'APC de la wilaya.