Devant la contrainte aiguë en matière d'assiettes constructibles, la municipalité est forcée de se rabattre sur les miettes de parcelles subsistant encore dans la zone urbanisée. M. Mostefai, président de l'assemblée, dénonce la mainmise quasi clandestine sur des espaces importants dont la commune pourrait bénéficier. « L'ex-collège de filles est tout simplement squatté par divers occupants. C'est un site qui pourrait abriter plusieurs projets d'importance et qui est encore sous le veto de l'académie. » Il cite également la zone d'Aboudid, où plusieurs structures abandonnées sont en perpétuelle dégradation. Le cas du Souk El Fellah désaffecté est édifiant. « Cette unité en état de dégradation continue pourrait bien abriter le problématique marché de fruits et légumes, vu ses dimensions. » mais les velléités de l'apc sur ce site ont été stoppées par la daïra qui y prévoit l'installation de projets au bénéfice des jeunes chômeurs.