Au moment où l'actualité fait état de reddition de plusieurs dizaines de terroristes, aucun chiffre officiel n'a été rendu public par les autorités. Pis, elles n'ont soufflé mot sur le sort qui sera réservé à ces nouveaux repentis. C'est dire que ce dossier est géré dans la discrétion la plus absolue. La presse nationale, faut-il le rappeler, avait ébruité, pendant des jours, des informations selon lesquelles des contingents entiers de terroristes se seraient rendus aux forces de sécurité avant qu'elles ne soient démenties par une source militaire en les assimilant à des « fantasmes de journalistes ». Pourtant, il ne se passe pas un jour sans que la presse, dont l'agence officielle APS, rapporte des informations de ce genre. Qu'en est-il exactement ?