En apprenant que deux dirigeants proches du Dr Messaoudi allaient rallier l'antique Rome pour rejoindre l'équipe en stage, Rachid Marif, le président d'honneur de l'association El-Mouloudia, aurait piqué une colère noire et refusé que ces deux hommes mettent les pieds en Italie. Pour beaucoup, Marif n'a plus, certes, les mêmes pouvoirs et la même puissance que du temps où il était chef du protocole à la présidence, mais il reste très influent et d'un poids certain dans la prise de certaines décisions. D'ailleurs, c'est lui qui a sommé, la veille de la finale de la Coupe d'Algérie, Messaoudi de quitter son fauteuil de président dans les jours qui suivent et a provoqué une crise du docteur. Mais ce dernier laissa passer l'orage et adressa un communiqué dans lequel il fait part des bonnes relations qu'il a avec Marif et de son soutien à celui-ci ! ? n'y rien comprendre. Par ailleurs, les membres opposants comptent toujours sur l'influence de Marif pour arriver à leurs fins, à savoir le départ du docteur, mais ils ont peur du travail de sape que pourrait accomplir Ahmed Tafat auprès de l'ambassadeur et qui ferait pencher la balance vers son maintien. Cela s'est confirmé par le sursis donné à Messaoudi jusqu'à la tenue de l'assemblée générale ordinaire du club que les partisans du docteur veulent en leur faveur.