Le problème de la concession de la plage des Andalouses a été réglé suite à une intervention du Wali, apprend on auprès du directeur du tourisme de la wilaya d'Oran M.Benmansour. Selon ce dernier, « mardi, le wali a pris le décision de reprendre en main, cette opération, et d'accorder la concession de la plage à celui à qui elle revient de droit pour peu que ce dernier remplisse les conditions contenues dans le cahier des charges et la réglementation en vigueur. ». Selon la loi en vigueur, soit selon, le décret exécutif n° 04-274du 05 septembre2004, fixant les conditions et les modalités d'exploitation touristique des plages ouvertes à la baignade stipule dans sont chapitre 1, article 4 que « la priorité à la concession des plages attenantes aux établissements hôteliers classés est reconnue à ceux-ci aux conditions de l'adjudication.». selon, ce décret, la concession de cette plage revient incontestablement au complexe Etatique « des Andalouses » qui la longe de bout en bout, d'autant plus que la direction de ce complexe a soumissionné pour la concession de cette plage, divisée par la commune d'El Ançor en deux partie, A et B. Le directeur général du complexe des andalouses a affirmé, « Nous avons soumissionné pour les deux partie et nous sommes alignés à l'offre la plus élevée afin de bénéficier de la gestion des deux parties de la plage, malgré cela nous avons été confronté à des difficultés et avons suite à cela demandé l'intervention de la tutelle pout nous remettre dans notre droit ». Signalons que, la commune d'El Ançor a divisé la plage des andalouses d'une superficie de 1000M2, soit la plus importante de la corniche oranaise mais aussi la plus convoitée en deux partie l'une de 600m2 et la seconde de 400M2. La mise en concession a été lancée de gré à gré sur instruction de la Wilaya après que l'avis d'appel d'offre d'adjudication pour la concession des 19 plages de la wilaya d'Oran a été jugé infructueux. « La commune d'EL Ançor a voulu partagé la plage entre le complexe touristique et les jeunes de la commune.» apprend-on auprès d'une source relevant de cette commune. Cependant, la direction du complexe touristique les Andalouses ne pouvait tolérer que ces clients qui payent à plus de 20 millions le mois leur séjour puissent être obligés de payer le droit à la plage d'où le conflit. La loi étant du coté de ce complexe touristique, le Wali d'Oran a tranché en sa faveur.