Cette opération concerne principalement les parcelles de terrain situées dans les zones rurales, dont plusieurs demeurent inexploitées ou exploitées par des personnes ne détenant pas de documents, tels que le livret foncier ou l'acte de propriété. Cette opération concerne principalement les parcelles de terrain situées dans les zones rurales, dont plusieurs demeurent inexploitées ou exploitées par des personnes ne détenant pas de documents, tels que le livret foncier ou l'acte de propriété. L'opération de relevé cadastral qui permet de définir le statut de toutes les assiettes foncières de la wilaya et d'établir, par conséquent, un plan et une matrice cadastrale est actuellement en cours dans la wilaya de Chlef. Cette opération concerne principalement les parcelles de terrain situées dans les zones rurales dont plusieurs demeurent inexploitées ou exploitées par des personnes ne détenant pas de documents, tels que le livret foncier ou l'acte de propriété leur permettant de bénéficier des aides de l'Etat, particulièrement à travers les programmes d'aide chapeautés par la Conservation des forêts. Cette opération, qui a touché 14 communes sur les 35 que compte la wilaya, a permis, à ce jour, de cadastrer une superficie de 149.604 hectares en zone rurale. Selon M. Ahmed Rekba, directeur du Cadastre de Chlef, 35.073 parcelles ont été cadastrées dans 14 communes rurales. Actuellement, les opérations de relevé cadastral sont menées au niveau des communes suivantes avec un taux d'avancement appréciable : Bénaïria (99%), Zeboudja (50%) et Sendjas (60%). Le directeur du Cadastre indiquera que 2.228 personnes ne détiennent pas de livret foncier ou d'acte de propriété ; documents indispensables pour l'octroi de crédit ou carrément de l'aide de l'Etat. Les demandeurs de l'habitat rural sont les plus pénalisés car ces derniers ne peuvent prétendre à une quelconque aide sans la possession du livret foncier ou de l'acte de propriété. Cependant, M. Ahmed Rekba note que la tâche est particulièrement ardue dans la wilaya où des terrains situés dans certaines communes à vocation agricole appartiennent, à hauteur de 90%, à des particuliers, dont il convient de conforter les propriétés avec des titres et des plans réguliers. De surcroît, il s'agit souvent, précise le même responsable, de terrains morcelés, ce qui complique davantage la tâche aux agents dépêchés sur les lieux. Cependant, explique encore le directeur du Cadastre, la principale contrainte est d'ordre humain. En effet, il s'agit de l'absence des concernés au moment où les équipes arrivent sur les terrains censés leur appartenir. Passé le délai de deux années, ces derniers devront introduire des recours auprès des instances compétentes et, sans doute, entreprendre des démarches lourdes pour la prise en charge de leurs doléances. A noter, enfin, que le parachèvement des opérations d'établissement du Cadastre général est prévu pour la fin de l'année 2013. B. O. L'opération de relevé cadastral qui permet de définir le statut de toutes les assiettes foncières de la wilaya et d'établir, par conséquent, un plan et une matrice cadastrale est actuellement en cours dans la wilaya de Chlef. Cette opération concerne principalement les parcelles de terrain situées dans les zones rurales dont plusieurs demeurent inexploitées ou exploitées par des personnes ne détenant pas de documents, tels que le livret foncier ou l'acte de propriété leur permettant de bénéficier des aides de l'Etat, particulièrement à travers les programmes d'aide chapeautés par la Conservation des forêts. Cette opération, qui a touché 14 communes sur les 35 que compte la wilaya, a permis, à ce jour, de cadastrer une superficie de 149.604 hectares en zone rurale. Selon M. Ahmed Rekba, directeur du Cadastre de Chlef, 35.073 parcelles ont été cadastrées dans 14 communes rurales. Actuellement, les opérations de relevé cadastral sont menées au niveau des communes suivantes avec un taux d'avancement appréciable : Bénaïria (99%), Zeboudja (50%) et Sendjas (60%). Le directeur du Cadastre indiquera que 2.228 personnes ne détiennent pas de livret foncier ou d'acte de propriété ; documents indispensables pour l'octroi de crédit ou carrément de l'aide de l'Etat. Les demandeurs de l'habitat rural sont les plus pénalisés car ces derniers ne peuvent prétendre à une quelconque aide sans la possession du livret foncier ou de l'acte de propriété. Cependant, M. Ahmed Rekba note que la tâche est particulièrement ardue dans la wilaya où des terrains situés dans certaines communes à vocation agricole appartiennent, à hauteur de 90%, à des particuliers, dont il convient de conforter les propriétés avec des titres et des plans réguliers. De surcroît, il s'agit souvent, précise le même responsable, de terrains morcelés, ce qui complique davantage la tâche aux agents dépêchés sur les lieux. Cependant, explique encore le directeur du Cadastre, la principale contrainte est d'ordre humain. En effet, il s'agit de l'absence des concernés au moment où les équipes arrivent sur les terrains censés leur appartenir. Passé le délai de deux années, ces derniers devront introduire des recours auprès des instances compétentes et, sans doute, entreprendre des démarches lourdes pour la prise en charge de leurs doléances. A noter, enfin, que le parachèvement des opérations d'établissement du Cadastre général est prévu pour la fin de l'année 2013. B. O.