En lice avec le statut de favoris, les Espagnols ont pourtant douté après la défaite face à la Suisse avant de se, très vite, ressaisir et aller doucement mais sûrement pour arriver en finale du Mondial sud-africain de football, disputée ce soir face aux Hollandais, avec un grand désir, d'offrir un trophée mondial pour un pays qui croit dur comme fer à la victoire finale. Dépositaire du label "beau jeu" est un fardeau bien lourd à porter, mais Vicente Del Bosque, qui a pris la succession d'Aragones après l'Euro, s'est acquitté de la tâche sans ciller, dans une Espagne qui n'aurait pas compris que sa Furia Roja n'aille pas au bout de la compétition. David Villa, la "merveille" a été comme à la parade pour conclure les mouvements menés par le duo Xavi-Iniesta, ses futurs partenaires au Barça, pour propulser sa sélection vers la finale et prendre la tête du classement des buteurs, avec cinq réalisations, à égalité avec Wesley Sneijder. Il sera donc question de buteurs dans le fabuleux stade de Soccer City. Villa, déjà sacré meilleur buteur de l'Euro-2008 avec quatre buts connaîtra-t-il une nouvelle consécration collective et individuelle ? Le petit meneur (1,70 m) a déjà envoyé le Brésil en enfer en quart de finale (2-1). Mais cette fois, il y aura en face de lui Iker Casillas, redevenu "San Iker" dans les buts. Fernando Torres, fantomatique dans les rangs espagnols, se réveillera-t-il ? C'est lui qui avait marqué le but de la victoire lors de la finale de l'Euro contre l'Allemagne (1-0). Si l'Espagne est souvent flattée pour sa grande maîtrise collective et son jeu de passes, elle a aussi pu compter sur la chance pour arriver jusqu'en finale du Mondial-2010 contre les Pays-Bas, du moins à partir de son deuxième match dans le tournoi. Une chance aussi d'être allé aussi loin en jouant pratiquement à dix : Torres, titulaire quatre fois, est resté fantomatique en attaque. La sélection Ibérique est vraiment retourné sur la scène depuis son titre de champion d'Europe, il y a deux ans sous la conduite de Puyol l'artisan de la victoire face aux Allemands en demi- finale de ce Mondial. Omniprésent ce joueur a mené son équipe vers la finale devant le géant allemand donné grand favori après ses exploits contre l'Angleterre et l'Argentine. Après l'Euro-2008, Vicente Del Bosque est arrivé succédant à Aragones dans un style plus rond, mais conserve le même fond de jeu et injecte du sang frais avec Busquets, Piqué et plus tard Pedro. Les victoires s'enchaînent avec un record de quinze succès consécutifs, jusqu'à un revers surprise en demi-finale de la Coupe des confédérations 2009 contre les Etats-Unis (2-0). Fin de 35 matches sans défaite, égalant le record du Brésil (1993-1996). "Une défaite accidentelle, juge le sélectionneur. Nous devons continuer avec notre identité". Au premier match de qualifications pour le Mondial-2010, l'Espagne est menée (2-0) par la Macédoine. Del Bosque opère trois changements et la Roja l'emporte 3-2. Cela démontre tout le sens du coaching de la Roja qui, depuis ne s'est inclinée que face à la Suisse et qui compte sur les coups de boutoir de tous ses hommes de l'attaque pour déséquilibrer les Hollandais avides d'une revanche sur… l'Histoire. En lice avec le statut de favoris, les Espagnols ont pourtant douté après la défaite face à la Suisse avant de se, très vite, ressaisir et aller doucement mais sûrement pour arriver en finale du Mondial sud-africain de football, disputée ce soir face aux Hollandais, avec un grand désir, d'offrir un trophée mondial pour un pays qui croit dur comme fer à la victoire finale. Dépositaire du label "beau jeu" est un fardeau bien lourd à porter, mais Vicente Del Bosque, qui a pris la succession d'Aragones après l'Euro, s'est acquitté de la tâche sans ciller, dans une Espagne qui n'aurait pas compris que sa Furia Roja n'aille pas au bout de la compétition. David Villa, la "merveille" a été comme à la parade pour conclure les mouvements menés par le duo Xavi-Iniesta, ses futurs partenaires au Barça, pour propulser sa sélection vers la finale et prendre la tête du classement des buteurs, avec cinq réalisations, à égalité avec Wesley Sneijder. Il sera donc question de buteurs dans le fabuleux stade de Soccer City. Villa, déjà sacré meilleur buteur de l'Euro-2008 avec quatre buts connaîtra-t-il une nouvelle consécration collective et individuelle ? Le petit meneur (1,70 m) a déjà envoyé le Brésil en enfer en quart de finale (2-1). Mais cette fois, il y aura en face de lui Iker Casillas, redevenu "San Iker" dans les buts. Fernando Torres, fantomatique dans les rangs espagnols, se réveillera-t-il ? C'est lui qui avait marqué le but de la victoire lors de la finale de l'Euro contre l'Allemagne (1-0). Si l'Espagne est souvent flattée pour sa grande maîtrise collective et son jeu de passes, elle a aussi pu compter sur la chance pour arriver jusqu'en finale du Mondial-2010 contre les Pays-Bas, du moins à partir de son deuxième match dans le tournoi. Une chance aussi d'être allé aussi loin en jouant pratiquement à dix : Torres, titulaire quatre fois, est resté fantomatique en attaque. La sélection Ibérique est vraiment retourné sur la scène depuis son titre de champion d'Europe, il y a deux ans sous la conduite de Puyol l'artisan de la victoire face aux Allemands en demi- finale de ce Mondial. Omniprésent ce joueur a mené son équipe vers la finale devant le géant allemand donné grand favori après ses exploits contre l'Angleterre et l'Argentine. Après l'Euro-2008, Vicente Del Bosque est arrivé succédant à Aragones dans un style plus rond, mais conserve le même fond de jeu et injecte du sang frais avec Busquets, Piqué et plus tard Pedro. Les victoires s'enchaînent avec un record de quinze succès consécutifs, jusqu'à un revers surprise en demi-finale de la Coupe des confédérations 2009 contre les Etats-Unis (2-0). Fin de 35 matches sans défaite, égalant le record du Brésil (1993-1996). "Une défaite accidentelle, juge le sélectionneur. Nous devons continuer avec notre identité". Au premier match de qualifications pour le Mondial-2010, l'Espagne est menée (2-0) par la Macédoine. Del Bosque opère trois changements et la Roja l'emporte 3-2. Cela démontre tout le sens du coaching de la Roja qui, depuis ne s'est inclinée que face à la Suisse et qui compte sur les coups de boutoir de tous ses hommes de l'attaque pour déséquilibrer les Hollandais avides d'une revanche sur… l'Histoire.