L'euro était toujours en hausse hier face à un dollar pénalisé par des craintes d'un ralentissement de la reprise aux Etats-Unis, alors que le marché reste attentiste en début de semaine d'indicateurs et de décisions de politique monétaire. La monnaie européenne valait 1,3067 dollar hier matin contre 1,3047 dollar vendredi soir. Selon les analystes, les cambistes seront particulièrement attentifs à la publication du rapport mensuel sur l'emploi et le chômage aux Etats-Unis, indicateur majeur pour évaluer la vigueur de la reprise de la première économie mondiale. Ce rapport sera précédé demain par les chiffres de l'emploi dans le secteur privé pour juillet, ainsi que par l'indice ISM d'activité manufacturière pour juillet prévu hier. Par ailleurs, les cambistes restaient prudents après la publication d'un recul de la production industrielle en Chine pour la première fois en 16 mois, selon une étude de la banque HSBC. L'indice PMI des directeurs d'achat publié par la banque est tombé en juillet à 49,4 points contre 50,4 en juin, crevant pour la première fois le seuil de 50 points qui marque une croissance nulle. L'euro était toujours en hausse hier face à un dollar pénalisé par des craintes d'un ralentissement de la reprise aux Etats-Unis, alors que le marché reste attentiste en début de semaine d'indicateurs et de décisions de politique monétaire. La monnaie européenne valait 1,3067 dollar hier matin contre 1,3047 dollar vendredi soir. Selon les analystes, les cambistes seront particulièrement attentifs à la publication du rapport mensuel sur l'emploi et le chômage aux Etats-Unis, indicateur majeur pour évaluer la vigueur de la reprise de la première économie mondiale. Ce rapport sera précédé demain par les chiffres de l'emploi dans le secteur privé pour juillet, ainsi que par l'indice ISM d'activité manufacturière pour juillet prévu hier. Par ailleurs, les cambistes restaient prudents après la publication d'un recul de la production industrielle en Chine pour la première fois en 16 mois, selon une étude de la banque HSBC. L'indice PMI des directeurs d'achat publié par la banque est tombé en juillet à 49,4 points contre 50,4 en juin, crevant pour la première fois le seuil de 50 points qui marque une croissance nulle.