Depuis des années, le transport urbain fait l'objet de plaintes pour diverses lacunes : absence de ponctualité ou encore de confort sans compter le manque d'hygiène et de respect des voyageurs. Depuis des années, le transport urbain fait l'objet de plaintes pour diverses lacunes : absence de ponctualité ou encore de confort sans compter le manque d'hygiène et de respect des voyageurs. Evoquer à Blida le problème du transport, cela suscite à engager un débat, car c'est vraiment l'anarchie dans ce secteur. A commencer par la gare routière du chef-lieu de la wilaya où rien ne permet de la désigner comme telle en l'absence de la moindre commodité. Erigée comme parking pour la station des télécabines assurant la liaison entre Blida et Chréa, cet espace s'est retrouvé transformé en gare routière provisoirement non seulement pour les transports urbains, intercommunes, mais aussi interwilayas, aussi bien pour les taxis que pour les bus et mini bus, et cela depuis huit ans. Hiver comme été, l'agence comme l'appelle less voyageurs reçoit quotidiennement des milliers de personnes en partance vers diverses destinations, comme pour ceux qui y arrivent. Depuis son installation, cette gare à ciel ouvert n'est dotée ni d'Abribus, ni d'aucun confort, alors que certains voyageurs se voient obligés d'attendre plusieurs heures avant de prendre la route vers leur destination. Déjà, depuis des années, le transport urbain fait l'objet de plaintes pour diverses lacunes : absence de ponctualité ou encore de confort sans compter le manque d'hygiène et de respect des voyageurs. Cette situation a fait dire à plusieurs personnes que l'absence d'un contrôle rigoureux à la gare routière et même au niveau des arrêts en ait la cause. « Déjà avant de prendre le départ, le bus d'une capacité de trente-six places fait monter presque le double et le receveur ne sait dire que : "Avancez vers l'arrière », nous dira un septuagénaire qui arrive à supporter difficilement la bousculade. Sur ce même chapitre on relèvera que l'établissement d'une nouvelle carte de transport est nécessaire car certains quartiers sont mal ou pas du tout desservis ni par l'Etub, ni par le secteur privé. On a appris, au niveau de la Direction des transport que vingt-huit lignes sont exploitées et que douze sont en attente d'être attribuées, alors que le nombre de véhicules est de trois cent vingt, dont certains opérateurs disposent de plusieurs voitures. Selon une source proche de la Direction des transports, ce nombre de véhicules est, sans doute, l'un des facteurs de cette anarchie. Au lendemain de la décision de l'Etub de revoir à la hausse ses tarifs, les transporteurs privés ont émis le vœu de s'aligner sur les tarifs de l'entreprise publique. Cependant, de l'avis du ministre des Transports, Amar Tou, de passage dans la wilaya de Blida, il n'y a aucune objection à condition que certains critères soient respectés dans l'intérêt des citoyens sur le plan de l'hygiène, du confort et la ponctualité des horaires. Ce sont d'ailleurs les exigences de nombreux voyageurs. Quant au transport intercommunal il nécessite, lui aussi, une réorganisation. En dépit des six cent dix-neuf véhicules assurant la liaison des soixante-trois lignes entre le chef-lieu de la wilaya et les autres communes, certaines localités sont su les exploiter, alors que d'autres enregistrent un déficit. A titre d'exemple, sur le tronçon Blida-El Affroun d'une longueur de 18 km, et qui connaît un prolongement vers Hadjout et Tipasa, régne vraiment l'anarchie. Non seulement les arrêts ne sont pas respectés, mais à un certain moment de la journée, chaque bus tient à être le premier arrivé à sa destination pour charger le maximum de voyageurs et repartir. « C'est vraiment des courses de vitesse auxquelles nous assistons parfois » nous dira un citoyen. Mais il arrive aussi, que le bus mette plus d'une heure pour rallier les 18 km en raison du temps observé au niveau de chaque arrêt dans le but de récupérer des voyageurs. Cette situation, qui est déplorée par des voyageurs, est connue de la Direction des transports qui d'ailleurs est en voie de lui trouver une solution a-t-on appris de bonne source. « Tous ces problèmes sont suivis par une commission, et malgré les mesures prises à travers des sanctions, certains opérateurs ne semblent pas réagir », nous dit-on à la Direction des transports de la wilaya. Ainsi, il est temps que les services concernant ce secteur se penchent sur ce dossier qui mérite la plus grande attention. Evoquer à Blida le problème du transport, cela suscite à engager un débat, car c'est vraiment l'anarchie dans ce secteur. A commencer par la gare routière du chef-lieu de la wilaya où rien ne permet de la désigner comme telle en l'absence de la moindre commodité. Erigée comme parking pour la station des télécabines assurant la liaison entre Blida et Chréa, cet espace s'est retrouvé transformé en gare routière provisoirement non seulement pour les transports urbains, intercommunes, mais aussi interwilayas, aussi bien pour les taxis que pour les bus et mini bus, et cela depuis huit ans. Hiver comme été, l'agence comme l'appelle less voyageurs reçoit quotidiennement des milliers de personnes en partance vers diverses destinations, comme pour ceux qui y arrivent. Depuis son installation, cette gare à ciel ouvert n'est dotée ni d'Abribus, ni d'aucun confort, alors que certains voyageurs se voient obligés d'attendre plusieurs heures avant de prendre la route vers leur destination. Déjà, depuis des années, le transport urbain fait l'objet de plaintes pour diverses lacunes : absence de ponctualité ou encore de confort sans compter le manque d'hygiène et de respect des voyageurs. Cette situation a fait dire à plusieurs personnes que l'absence d'un contrôle rigoureux à la gare routière et même au niveau des arrêts en ait la cause. « Déjà avant de prendre le départ, le bus d'une capacité de trente-six places fait monter presque le double et le receveur ne sait dire que : "Avancez vers l'arrière », nous dira un septuagénaire qui arrive à supporter difficilement la bousculade. Sur ce même chapitre on relèvera que l'établissement d'une nouvelle carte de transport est nécessaire car certains quartiers sont mal ou pas du tout desservis ni par l'Etub, ni par le secteur privé. On a appris, au niveau de la Direction des transport que vingt-huit lignes sont exploitées et que douze sont en attente d'être attribuées, alors que le nombre de véhicules est de trois cent vingt, dont certains opérateurs disposent de plusieurs voitures. Selon une source proche de la Direction des transports, ce nombre de véhicules est, sans doute, l'un des facteurs de cette anarchie. Au lendemain de la décision de l'Etub de revoir à la hausse ses tarifs, les transporteurs privés ont émis le vœu de s'aligner sur les tarifs de l'entreprise publique. Cependant, de l'avis du ministre des Transports, Amar Tou, de passage dans la wilaya de Blida, il n'y a aucune objection à condition que certains critères soient respectés dans l'intérêt des citoyens sur le plan de l'hygiène, du confort et la ponctualité des horaires. Ce sont d'ailleurs les exigences de nombreux voyageurs. Quant au transport intercommunal il nécessite, lui aussi, une réorganisation. En dépit des six cent dix-neuf véhicules assurant la liaison des soixante-trois lignes entre le chef-lieu de la wilaya et les autres communes, certaines localités sont su les exploiter, alors que d'autres enregistrent un déficit. A titre d'exemple, sur le tronçon Blida-El Affroun d'une longueur de 18 km, et qui connaît un prolongement vers Hadjout et Tipasa, régne vraiment l'anarchie. Non seulement les arrêts ne sont pas respectés, mais à un certain moment de la journée, chaque bus tient à être le premier arrivé à sa destination pour charger le maximum de voyageurs et repartir. « C'est vraiment des courses de vitesse auxquelles nous assistons parfois » nous dira un citoyen. Mais il arrive aussi, que le bus mette plus d'une heure pour rallier les 18 km en raison du temps observé au niveau de chaque arrêt dans le but de récupérer des voyageurs. Cette situation, qui est déplorée par des voyageurs, est connue de la Direction des transports qui d'ailleurs est en voie de lui trouver une solution a-t-on appris de bonne source. « Tous ces problèmes sont suivis par une commission, et malgré les mesures prises à travers des sanctions, certains opérateurs ne semblent pas réagir », nous dit-on à la Direction des transports de la wilaya. Ainsi, il est temps que les services concernant ce secteur se penchent sur ce dossier qui mérite la plus grande attention.