Patrimoine communal datant de l'époque coloniale, le marché couvert Ahcène-Harcha implanté au centre-ville, est cher au cœur de plusieurs générations de Guelmis qui y effectuaient quotidiennement leurs emplettes. Ce marché abritait une quarantaine de commerçants qui y disposaient d'étals, stands et boutiques et qui avaient le mérite de fidéliser leur clientèle gràce à leur savoir-faire et à la qualité des produits proposés. Dans un passé récent, ce marché drainait, notamment durant le mois de Ramadhan, une foule compacte de clients qui y évoluaient difficilement car c'était le passage obligé des Guelmis qui se retrouvaient dans une ambiance conviviale. Il était loisible d'y acheter diouls, persil, de coriandre, cèleri, viennoiseries, pain-maison, poisson, viandes et volailles... Ce centre commercial, après une fermeture d'une année, a fait l' objet d'une opération de réhabilitation pilotée par les autorités locales. Une entreprise de travaux publics a refait l'étanchéité, le crépissage, l'installation électrique, la peinture et autres aménagements et sa réouverure s'est effectuée voilà quelques mois. En dépit de cela les anciens occupants ont refusé de réintégrer les lieux, sachant que le loyer mensuel est de 850 dinars. Les commerçants justifient leur refus re réintégrer les lieux par les charges, les impôts et l'absence de clientèle qui préfère se ravitailler au niveau du marché du Volontariat où les tarifs sont compétitifs. Ils ont loué des étals au niveau de ce ce nouveau centre commercial où leurs affaires sont florissantes. Le marché Ahcène-Harcha ainssi périclite au fil des ans et seuls un marchand de légumes et un boucher continuent à y offrir leurs services aux rares clients qui s'y aventurent. Les Guelmis assistent, impuissants, à l'agonie de leur cher marché qui leur évoque leur jeunesse et bien de souvenirs indélébiles. C'est la rançon de la concurrence ! Patrimoine communal datant de l'époque coloniale, le marché couvert Ahcène-Harcha implanté au centre-ville, est cher au cœur de plusieurs générations de Guelmis qui y effectuaient quotidiennement leurs emplettes. Ce marché abritait une quarantaine de commerçants qui y disposaient d'étals, stands et boutiques et qui avaient le mérite de fidéliser leur clientèle gràce à leur savoir-faire et à la qualité des produits proposés. Dans un passé récent, ce marché drainait, notamment durant le mois de Ramadhan, une foule compacte de clients qui y évoluaient difficilement car c'était le passage obligé des Guelmis qui se retrouvaient dans une ambiance conviviale. Il était loisible d'y acheter diouls, persil, de coriandre, cèleri, viennoiseries, pain-maison, poisson, viandes et volailles... Ce centre commercial, après une fermeture d'une année, a fait l' objet d'une opération de réhabilitation pilotée par les autorités locales. Une entreprise de travaux publics a refait l'étanchéité, le crépissage, l'installation électrique, la peinture et autres aménagements et sa réouverure s'est effectuée voilà quelques mois. En dépit de cela les anciens occupants ont refusé de réintégrer les lieux, sachant que le loyer mensuel est de 850 dinars. Les commerçants justifient leur refus re réintégrer les lieux par les charges, les impôts et l'absence de clientèle qui préfère se ravitailler au niveau du marché du Volontariat où les tarifs sont compétitifs. Ils ont loué des étals au niveau de ce ce nouveau centre commercial où leurs affaires sont florissantes. Le marché Ahcène-Harcha ainssi périclite au fil des ans et seuls un marchand de légumes et un boucher continuent à y offrir leurs services aux rares clients qui s'y aventurent. Les Guelmis assistent, impuissants, à l'agonie de leur cher marché qui leur évoque leur jeunesse et bien de souvenirs indélébiles. C'est la rançon de la concurrence !