Les responsables en charge de la production et de la commercialisation du ciment estiment que les capacités productives nationales pourraient atteindre plus de 18 mille tonnes d'ici deux années. La production de ciment du secteur public a enregistré une hausse de 7% à la fin du mois d'octobre 2010, reprenant des informations émanant du Groupe industriel des ciments d'Algérie (GICA). Les douze cimenteries du groupe ont produit, du premier janvier à fin octobre 2010, près de 10,089 millions de tonnes, contre 9,465 millions de tonnes durant la même période de 2009, soit une hausse de 7%, selon l`APS qui cite le GICA . Les statistiques montrent qu'avec une production de 11,5 millions de tonnes par an, le secteur public couvre 67% de la production nationale, alors que le reste est assuré par le secteur privé. Des extensions de capacités de production avaient été entreprises au niveau des cimenteries de Chlef (Oued Sly), Aïn Kebira (Sétif) et Béni Saf (Aïn Témouchent) pour une production supplémentaire globale de 6 millions de tonnes, soit 2 millions de tonnes de plus pour chacune de ces trois cimenteries. Dans les deux prochaines années, la crise du ciment et les pénuries engendrant des spéculations et des surenchères pourraient être sensiblement atténuées avec l'ordonnancement et l'organisation de la filière. Avec ces extensions des capacités, la production de l'ensemble des cimenteries publiques atteindrait les 18 millions de tonnes à partir de 2012, selon des prévisions. Les trafiquants de ciment et les malversations inhérentes à la commercialisation illicite, au marché informel, de ce produit à des prix vertigineux seraient endigués avec la surproduction à écouler sur le marché domestique. Les responsables en charge de la production et de la commercialisation du ciment estiment que les capacités productives nationales pourraient atteindre plus de 18 mille tonnes d'ici deux années. La production de ciment du secteur public a enregistré une hausse de 7% à la fin du mois d'octobre 2010, reprenant des informations émanant du Groupe industriel des ciments d'Algérie (GICA). Les douze cimenteries du groupe ont produit, du premier janvier à fin octobre 2010, près de 10,089 millions de tonnes, contre 9,465 millions de tonnes durant la même période de 2009, soit une hausse de 7%, selon l`APS qui cite le GICA . Les statistiques montrent qu'avec une production de 11,5 millions de tonnes par an, le secteur public couvre 67% de la production nationale, alors que le reste est assuré par le secteur privé. Des extensions de capacités de production avaient été entreprises au niveau des cimenteries de Chlef (Oued Sly), Aïn Kebira (Sétif) et Béni Saf (Aïn Témouchent) pour une production supplémentaire globale de 6 millions de tonnes, soit 2 millions de tonnes de plus pour chacune de ces trois cimenteries. Dans les deux prochaines années, la crise du ciment et les pénuries engendrant des spéculations et des surenchères pourraient être sensiblement atténuées avec l'ordonnancement et l'organisation de la filière. Avec ces extensions des capacités, la production de l'ensemble des cimenteries publiques atteindrait les 18 millions de tonnes à partir de 2012, selon des prévisions. Les trafiquants de ciment et les malversations inhérentes à la commercialisation illicite, au marché informel, de ce produit à des prix vertigineux seraient endigués avec la surproduction à écouler sur le marché domestique.