Les Nigérians sont appelés aujourd'hui aux urnes dans le cadre de l'élection présidentielle pour laquelle 20 candidats sont en lice, dont le chef de l'Etat sortant Goodluck Jonathan, donné favori de ce scrutin qui sera suivi, le 26 avril, de l'élection des instances des 36 Etats de la fédération. Après avoir voté la semaine passée dans le cadre des élections législatives, les électeurs nigérians se rendront une nouvelle fois aux bureaux de vote pour élire le prochain président. Goodluck Jonathan, 53 ans, est candidat du parti démocratique du Peuple (PDP) qui a remporté toutes les présidentielles depuis 1999. M. Jonathan doit affronter 20 candidats dont son principal rival l'ex-chef de la junte militaire Muhammadu Buhari qui a dirigé le Nigeria d'une en 1984-1985. Parmi les postulants figurent aussi Nuhu Ribadu, qui a dirigé l'agence anti-corruption du Nigeria, et Ibrahim Shekarau, gouverneur sortant de l'Etat de Kano, dans le Nord. Le scrutin présidentiel de samedi s'inscrit dans le cadre d'un marathon électoral censé tester la capacité de la nation la plus peuplée d'Afrique (155 millions d'habitants) à organiser enfin des élections transparentes, une décennie après avoir renoué avec les régimes civils (1999). Les Nigérians sont appelés aujourd'hui aux urnes dans le cadre de l'élection présidentielle pour laquelle 20 candidats sont en lice, dont le chef de l'Etat sortant Goodluck Jonathan, donné favori de ce scrutin qui sera suivi, le 26 avril, de l'élection des instances des 36 Etats de la fédération. Après avoir voté la semaine passée dans le cadre des élections législatives, les électeurs nigérians se rendront une nouvelle fois aux bureaux de vote pour élire le prochain président. Goodluck Jonathan, 53 ans, est candidat du parti démocratique du Peuple (PDP) qui a remporté toutes les présidentielles depuis 1999. M. Jonathan doit affronter 20 candidats dont son principal rival l'ex-chef de la junte militaire Muhammadu Buhari qui a dirigé le Nigeria d'une en 1984-1985. Parmi les postulants figurent aussi Nuhu Ribadu, qui a dirigé l'agence anti-corruption du Nigeria, et Ibrahim Shekarau, gouverneur sortant de l'Etat de Kano, dans le Nord. Le scrutin présidentiel de samedi s'inscrit dans le cadre d'un marathon électoral censé tester la capacité de la nation la plus peuplée d'Afrique (155 millions d'habitants) à organiser enfin des élections transparentes, une décennie après avoir renoué avec les régimes civils (1999).