Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a annoncé jeudi à Alger que le quota d'approvisionnement des minoteries en blé dur a été porté de 50% à 60% de leur capacité de trituration en vue de répondre à la forte demande exprimée actuellement sur le marché. M. Benbada a expliqué cette décision, dans une déclaration à la presse en marge d'une séance consacrée aux questions orales à l'Assemblée populaire nationale (APN), par la pression ressentie sur le marché du blé dur destiné à la fabrication de la semoule et des pâtes alimentaires à cause du détournement de grandes quantités vers la fabrication des pâtes dont la marge bénéficiaire est plus importante par rapport à la semoule. Il a également évoqué "les quantités qui partent à destination de pays voisins qui passent par des moments difficiles d'où l'état de panique sur la marché national et la hausse de la demande". Dans le but d'atténuer la pression, "nous avons décidé de porter le quota d'approvisionnement des minoteries en blé dur de 50 à 60% de leur capacité de trituration et de poursuivre le contrôle du marché", a dit le ministre. "Dans le cas où ces mesures de donnent pas satisfaction il serait possible d'injecter les quantités nécessaires", a-t-il ajouté. "Le déséquilibre sera pallié par l'augmentation de l'offre ce qui permettra de stabiliser les prix", a-t-il ajouté. Pour le représentant du gouvernement, "le problème ne réside pas dans la disponibilité de la semoule mais dans l'augmentation du prix de ce produit par certains commerçants à l'est et au centre du pays d'une moyenne de 200 DA/quintal. "Nous œuvrons pour des mesures dissuasives contre les commerçants qui n'appliquent pas les prix réglementés de la semoule au niveau de la distribution sur le marché de gros", a tenu à souligner le ministre. Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, a annoncé jeudi à Alger que le quota d'approvisionnement des minoteries en blé dur a été porté de 50% à 60% de leur capacité de trituration en vue de répondre à la forte demande exprimée actuellement sur le marché. M. Benbada a expliqué cette décision, dans une déclaration à la presse en marge d'une séance consacrée aux questions orales à l'Assemblée populaire nationale (APN), par la pression ressentie sur le marché du blé dur destiné à la fabrication de la semoule et des pâtes alimentaires à cause du détournement de grandes quantités vers la fabrication des pâtes dont la marge bénéficiaire est plus importante par rapport à la semoule. Il a également évoqué "les quantités qui partent à destination de pays voisins qui passent par des moments difficiles d'où l'état de panique sur la marché national et la hausse de la demande". Dans le but d'atténuer la pression, "nous avons décidé de porter le quota d'approvisionnement des minoteries en blé dur de 50 à 60% de leur capacité de trituration et de poursuivre le contrôle du marché", a dit le ministre. "Dans le cas où ces mesures de donnent pas satisfaction il serait possible d'injecter les quantités nécessaires", a-t-il ajouté. "Le déséquilibre sera pallié par l'augmentation de l'offre ce qui permettra de stabiliser les prix", a-t-il ajouté. Pour le représentant du gouvernement, "le problème ne réside pas dans la disponibilité de la semoule mais dans l'augmentation du prix de ce produit par certains commerçants à l'est et au centre du pays d'une moyenne de 200 DA/quintal. "Nous œuvrons pour des mesures dissuasives contre les commerçants qui n'appliquent pas les prix réglementés de la semoule au niveau de la distribution sur le marché de gros", a tenu à souligner le ministre.