Le droit à un nom, à la nourriture, à la santé, à l'éducation, aux loisirs et à une vie digne… constituent autant de droits élémentaires consacrés par les Nations unies, l'Unesco et toutes les organisation officielles ou non officielles pour que l'enfant vive en paix et en sécurité. Malheureusement, l'accomplissement de cette mission est confrontée à moult difficultés sur le terrain. Le droit à un nom, à la nourriture, à la santé, à l'éducation, aux loisirs et à une vie digne… constituent autant de droits élémentaires consacrés par les Nations unies, l'Unesco et toutes les organisation officielles ou non officielles pour que l'enfant vive en paix et en sécurité. Malheureusement, l'accomplissement de cette mission est confrontée à moult difficultés sur le terrain. En Algérie, comme dans de nombreux pays à travers le monde, les droits des enfants sont souvent, menacés, bafoués et violés en l'absence ou le manque d'un cadre juridique bien clair et strict en matière de protection de l'enfance. Mais de qui doit-on la protéger ?. Hélas les prédateurs ne manquent pas, et aujourd'hui le papa, le frère, le voisin peut abuser sexuellement de l'enfant. Hélas, ces tragiques cas se multiplient profitant du vide juridique, mais aussi des tabous qui régissent notre société. Cependant de plus en plus nombreuses sont désormais ces voix qui s'élèvent pour protéger cette enfance qui perd son innocence trop tôt restant traumatisée. Il s'agit d'organisations à l'instar du réseau Nada qui ne cesse de lancer des appels, dans un cadre structuré et organisé, mettre en place en Algérie des traditions en matière de protection des droits de l'enfant. Nada est né "d'un travail de réflexion menée par différentes associations dans l'espoir de voir émerger dans la société civile un réseau solide, susceptible de porter des valeurs communes, celles de protéger l'enfant", nous dira Arar Abderahmane, président de cette organisation. Nada est donc témoin et défenseur de cette situation dramatique que vit l'enfant algérien depuis ces dernières années surtout. Des chiffres officieux mais qui devraient nous pousser à tirer la sonnette d'alarme et à mieux réfléchir pour protéger les hommes et les femmes de demain. Selon Nada, le nombre d'appels d'enfants en détresse est en hausse cette année. 15 wilayas sont concernées par ces appels de détresse, à savoir Alger, Blida, Tipaza, Boumerdés, Bouira, Annaba, Ouargla, Oran, Tizi-Ouzou, Médéa, Aïn-Temouchent, Bechar, Adrar, Bordj Bou-Arreridj et El Oued. 9.050 appels est le chiffre des appels reçus au cours de cette année, 470 cas ont été accompagnés par l'organisation sur le plan juridique dont 52 cas pour abus sexuels. En Algérie, comme dans de nombreux pays à travers le monde, les droits des enfants sont souvent, menacés, bafoués et violés en l'absence ou le manque d'un cadre juridique bien clair et strict en matière de protection de l'enfance. Mais de qui doit-on la protéger ?. Hélas les prédateurs ne manquent pas, et aujourd'hui le papa, le frère, le voisin peut abuser sexuellement de l'enfant. Hélas, ces tragiques cas se multiplient profitant du vide juridique, mais aussi des tabous qui régissent notre société. Cependant de plus en plus nombreuses sont désormais ces voix qui s'élèvent pour protéger cette enfance qui perd son innocence trop tôt restant traumatisée. Il s'agit d'organisations à l'instar du réseau Nada qui ne cesse de lancer des appels, dans un cadre structuré et organisé, mettre en place en Algérie des traditions en matière de protection des droits de l'enfant. Nada est né "d'un travail de réflexion menée par différentes associations dans l'espoir de voir émerger dans la société civile un réseau solide, susceptible de porter des valeurs communes, celles de protéger l'enfant", nous dira Arar Abderahmane, président de cette organisation. Nada est donc témoin et défenseur de cette situation dramatique que vit l'enfant algérien depuis ces dernières années surtout. Des chiffres officieux mais qui devraient nous pousser à tirer la sonnette d'alarme et à mieux réfléchir pour protéger les hommes et les femmes de demain. Selon Nada, le nombre d'appels d'enfants en détresse est en hausse cette année. 15 wilayas sont concernées par ces appels de détresse, à savoir Alger, Blida, Tipaza, Boumerdés, Bouira, Annaba, Ouargla, Oran, Tizi-Ouzou, Médéa, Aïn-Temouchent, Bechar, Adrar, Bordj Bou-Arreridj et El Oued. 9.050 appels est le chiffre des appels reçus au cours de cette année, 470 cas ont été accompagnés par l'organisation sur le plan juridique dont 52 cas pour abus sexuels.