L'Algérie gagne de plus en plus de points dans le cadre de la lutte antiterroriste sur les plans national et régional. L'Algérie gagne de plus en plus de points dans le cadre de la lutte antiterroriste sur les plans national et régional. Le dernier rapport du Département d'Etat américain vient de noter les efforts de l'Algérie en la matière, en mettant en exergue l'amélioration de la situation sécuritaire dans le pays ces dernières années. Saluant le degré de coopération algéro-américaine en matière de lutte contre le financement du terrorisme, le rapport US précise que «l'Algérie est membre du groupe de travail pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord pour la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme». Aussi, le rôle-clé de l'Algérie dans la lutte contre ce phénomène dans la sous-région du Sahel est-il souligné, à travers la création d'un instrument régional de coopération régionale, des réunions ministérielles et des rencontres des états-majors des armées de la région qui ont eu lieu. Un centre militaire a été créé à Tamanrasset, en 2010, et un autre centre d'échange d'informations a été, également, lancé pour lutter contre le terrorisme au Sahel sur l'initiative de l'Algérie, pour rappel. Mieux encore, le même rapport met l'accent sur les efforts de l'Algérie dans le rétablissement de la paix en appelant à la reddition, utilisant pour cela les médias et les mosquées pour dissuader les récalcitrants. Les résultats sont là : les services de sécurité ont arrêté 1.175 terroristes, en 2010, alors que le tribunal de Boumerdès a prononcé des peines de mort contre 6 terroristes pour meurtre et appartenance à des groupes terroristes, alors que la grâce à été refusée pour 120 terroristes dans le cadre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale en raison des craintes de voir ces éléments reprendre leurs activités terroristes, toujours selon le même rapport. Aussi, le rapport US a-t-il relevé la prouesse des habitants de la région de Kabylie qui avaient obligé les terroristes à libérer 5 otages sans contrepartie financière, mais grâce à une mobilisation citoyenne. La réaction des groupuscules terroristes, selon le même rapport, s'est opérée à travers des opérations kamikaze et des embuscades, mais «sans trop de succès». Ceci dit, une recrudescence est relevée dans les attentats depuis le début de l'été, notamment durant le Ramadhan, « ne recrudescence qui n'est pas aussi importante que celle des années 2008 et 2009». Pour le Département d'Etat américain, les groupes terroristes ont échoué dans leur stratégie par rapport aux années 1990, mais, en dépit de ces échecs, les terroristes ont continué à commettre des attentats kamikaze et des embuscades dans les régions de l'est d'Alger, allusion faite aux récents attentats de Bordj Ménaiel et Tizi-Ouzou. «Les groupes terroristes algériens ont adopté la méthode irakienne avec des prises d'otages et des attentats kamikaze», explique le rapport US. Par ailleurs, le Département d'Etat américain a déploré le fait que l'Algérie n'ait pas légiféré pour geler les avoirs des terroristes malgré sa ratification de la Convention internationale relative au financement du terrorisme. Le dernier rapport du Département d'Etat américain vient de noter les efforts de l'Algérie en la matière, en mettant en exergue l'amélioration de la situation sécuritaire dans le pays ces dernières années. Saluant le degré de coopération algéro-américaine en matière de lutte contre le financement du terrorisme, le rapport US précise que «l'Algérie est membre du groupe de travail pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord pour la lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme». Aussi, le rôle-clé de l'Algérie dans la lutte contre ce phénomène dans la sous-région du Sahel est-il souligné, à travers la création d'un instrument régional de coopération régionale, des réunions ministérielles et des rencontres des états-majors des armées de la région qui ont eu lieu. Un centre militaire a été créé à Tamanrasset, en 2010, et un autre centre d'échange d'informations a été, également, lancé pour lutter contre le terrorisme au Sahel sur l'initiative de l'Algérie, pour rappel. Mieux encore, le même rapport met l'accent sur les efforts de l'Algérie dans le rétablissement de la paix en appelant à la reddition, utilisant pour cela les médias et les mosquées pour dissuader les récalcitrants. Les résultats sont là : les services de sécurité ont arrêté 1.175 terroristes, en 2010, alors que le tribunal de Boumerdès a prononcé des peines de mort contre 6 terroristes pour meurtre et appartenance à des groupes terroristes, alors que la grâce à été refusée pour 120 terroristes dans le cadre de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale en raison des craintes de voir ces éléments reprendre leurs activités terroristes, toujours selon le même rapport. Aussi, le rapport US a-t-il relevé la prouesse des habitants de la région de Kabylie qui avaient obligé les terroristes à libérer 5 otages sans contrepartie financière, mais grâce à une mobilisation citoyenne. La réaction des groupuscules terroristes, selon le même rapport, s'est opérée à travers des opérations kamikaze et des embuscades, mais «sans trop de succès». Ceci dit, une recrudescence est relevée dans les attentats depuis le début de l'été, notamment durant le Ramadhan, « ne recrudescence qui n'est pas aussi importante que celle des années 2008 et 2009». Pour le Département d'Etat américain, les groupes terroristes ont échoué dans leur stratégie par rapport aux années 1990, mais, en dépit de ces échecs, les terroristes ont continué à commettre des attentats kamikaze et des embuscades dans les régions de l'est d'Alger, allusion faite aux récents attentats de Bordj Ménaiel et Tizi-Ouzou. «Les groupes terroristes algériens ont adopté la méthode irakienne avec des prises d'otages et des attentats kamikaze», explique le rapport US. Par ailleurs, le Département d'Etat américain a déploré le fait que l'Algérie n'ait pas légiféré pour geler les avoirs des terroristes malgré sa ratification de la Convention internationale relative au financement du terrorisme.