Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) approuve le système des quotas exigeant une représentation des femmes dans les assemblées élues, les APW et l'APN, notamment, comme premier pas dans la consécration de la démocratie en Algérie. Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) approuve le système des quotas exigeant une représentation des femmes dans les assemblées élues, les APW et l'APN, notamment, comme premier pas dans la consécration de la démocratie en Algérie. Tout en reconnaissant que le système de quotas pour la représentation des femmes dans les différentes assemblées élues, est en soi une pratique anti-démocratique, le MSP soutient tout de même que l'émancipation de la femme dans la vie politique nationale passe par une plus grande présence dans les sphères de décision. Ainsi, la formation de Bouguerra Soltani a émis un certain nombre de propositions dans ce sens visant à promouvoir la présence et le rôle de la femme dans les différentes assemblées et consacrer le principe d'égalité des sexes dans les devoirs et les droits tel que stipulé dans la loi fondamentale du pays. Il s'agit d'une représentation de l'ordre de 20% de femmes à l'Assemblée populaire nationale (APN) et dans les assemblées populaires de wilayas (APW) et de consacrer une liste nationale en ce qui concerne le Parlement. Aussi, le MSP suggère-t-il de maintenir les lois relatives aux facilitations et aux pénalités dans lesdites assemblées à travers le prochain amendement de la loi fixant les modalités d'élargissement de la représentation des femmes dans les assemblées élues. Quant aux assemblées communales, le MSP propose une représentation féminine à hauteur de 10% dans les chefs-lieux de wilaya et de daïra dont la population démographique dépasse 20.000 habitants, sans pour autant consacrer le principe d'alternance. Le projet de loi organique fixant les modalités d'élargissement de la représentation des femmes dans les assemblées élues, qui vient en application des dispositions de l'article 31 de la Constitution, stipule que l'Etat œuvre à la promotion des droits de la femme en augmentant ses chances d'accès à la représentation dans les assemblées élues. Ce projet de loi, ainsi que d'autres relatifs au régime électoral et des incompatibilités du mandat électoral, seront au menu des parlementaires de la chambre basse pour débat à partir du 4 octobre prochain. L'objectif de ce projet de loi s'articule autour de l'octroi d'une place importante à la femme sur la scène politique, en incitant les différentes formations politiques à inclure dans leurs listes électorales certaines proportions de femmes. Des proportions fixées au tiers des listes électorales dans les circonscriptions dépassant les 20.000 habitants, faute de quoi les listes seront rejetées, selon les dispositions du nouveau projet de loi concernant les APC et les APW. Mieux encore, les femmes jouiront du droit de disposer, également, du tiers des sièges après le dépouillement et de l'un des sièges si la liste n'aura obtenu que deux sièges lors du scrutin. Tout en reconnaissant que le système de quotas pour la représentation des femmes dans les différentes assemblées élues, est en soi une pratique anti-démocratique, le MSP soutient tout de même que l'émancipation de la femme dans la vie politique nationale passe par une plus grande présence dans les sphères de décision. Ainsi, la formation de Bouguerra Soltani a émis un certain nombre de propositions dans ce sens visant à promouvoir la présence et le rôle de la femme dans les différentes assemblées et consacrer le principe d'égalité des sexes dans les devoirs et les droits tel que stipulé dans la loi fondamentale du pays. Il s'agit d'une représentation de l'ordre de 20% de femmes à l'Assemblée populaire nationale (APN) et dans les assemblées populaires de wilayas (APW) et de consacrer une liste nationale en ce qui concerne le Parlement. Aussi, le MSP suggère-t-il de maintenir les lois relatives aux facilitations et aux pénalités dans lesdites assemblées à travers le prochain amendement de la loi fixant les modalités d'élargissement de la représentation des femmes dans les assemblées élues. Quant aux assemblées communales, le MSP propose une représentation féminine à hauteur de 10% dans les chefs-lieux de wilaya et de daïra dont la population démographique dépasse 20.000 habitants, sans pour autant consacrer le principe d'alternance. Le projet de loi organique fixant les modalités d'élargissement de la représentation des femmes dans les assemblées élues, qui vient en application des dispositions de l'article 31 de la Constitution, stipule que l'Etat œuvre à la promotion des droits de la femme en augmentant ses chances d'accès à la représentation dans les assemblées élues. Ce projet de loi, ainsi que d'autres relatifs au régime électoral et des incompatibilités du mandat électoral, seront au menu des parlementaires de la chambre basse pour débat à partir du 4 octobre prochain. L'objectif de ce projet de loi s'articule autour de l'octroi d'une place importante à la femme sur la scène politique, en incitant les différentes formations politiques à inclure dans leurs listes électorales certaines proportions de femmes. Des proportions fixées au tiers des listes électorales dans les circonscriptions dépassant les 20.000 habitants, faute de quoi les listes seront rejetées, selon les dispositions du nouveau projet de loi concernant les APC et les APW. Mieux encore, les femmes jouiront du droit de disposer, également, du tiers des sièges après le dépouillement et de l'un des sièges si la liste n'aura obtenu que deux sièges lors du scrutin.