«Les réformes économiques en Algérie sont indispensables, certes, mais l'investissement est également fondamental en ce sens qu'il appelle à ce que nous soyons vigilants et conscients des enjeux. L'attractivité de l'Algérie est grande, cependant, la concurrence internationale est forte. Cela doit inciter nos entreprises à se placer pour résister à la compétitivité étrangère», a notamment indiqué, hier, le président du Forum des chefs d'entreprises (FCE), Rédha Hamiani, au cours d'un séminaire organisé à l'hôtel Sofitel, portant essentiellement sur des propositions inhérentes à l'amélioration du dispositif de développement de l'investissement en Algérie. «Les réformes économiques en Algérie sont indispensables, certes, mais l'investissement est également fondamental en ce sens qu'il appelle à ce que nous soyons vigilants et conscients des enjeux. L'attractivité de l'Algérie est grande, cependant, la concurrence internationale est forte. Cela doit inciter nos entreprises à se placer pour résister à la compétitivité étrangère», a notamment indiqué, hier, le président du Forum des chefs d'entreprises (FCE), Rédha Hamiani, au cours d'un séminaire organisé à l'hôtel Sofitel, portant essentiellement sur des propositions inhérentes à l'amélioration du dispositif de développement de l'investissement en Algérie. L'ancien ministre de la PME a précisé que «l'importance de cette politique d'investissement vient également de nos partenaires étrangers, toutefois, il y a urgence, maintenant, d'afflux constant d'investissement durable étranger, c'est-à-dire les investissements directs étrangers (IDE) qui sont porteurs de progrès techniques, de compétitivité, d'où la possibilité de placer l'Algérie dans le contexte de compétitivité internationale, néanmoins tout en augmentant nos exportations». Par ailleurs, il a souligné qu'il est impérieux de suivre l'investissement, en ce sens que, la politique conditionne le bon développement de l'économie algérienne et l'évolution de la compétitivité. En d'autres termes, il est essentiel d'améliorer l'environnement économique, commercial, fiscal et administratif de l'entreprise en améliorant son interaction avec les pouvoirs publics. Car, la petite et moyenne entreprise est considérée, aujourd'hui, en Algérie, comme créatrice de richesses et génératrice d'emplois, sachant que dans certains pays industrialisés et développés, tels que les Etats-Unis d'Amérique et l'Italie, la croissance économique et la plus value, ainsi que l'élévation du niveau de vie des consommateurs sont induites par la promotion des PME. Aussi, en Algérie, les chefs d'entreprises et les opérateurs économiques veulent faire des PME le moteur de la croissance dans la mesure où le secteur agroalimentaire, dominé en grande partie par les PME, contribuent à plus de 55 % au PIB et emploie des centaines de milliers de travailleurs. Aussi, en exhortant les PME à exporter leurs produits, Hamiani a compris très bien que les PME algériennes possèdent un énorme potentiel à l'exportation, en ce sens que les produits nationaux biologiques et les produits agroalimentaires sont commercialisés, non seulement en Europe, mais également sur le marché américain, où «les produits deVitajus, Cevital et Semouleries industrielles de la Mitidja sont bien prisés», selon le président du Conseil d'affaires algéro-américain que nous avons rencontré récemment à l'Algex (Agence algérienne de promotion du commerce extérieur) lors d'une rencontre relative à l'exploration du marché US par les PME algériennes dont les potentialités à l'export sont évidentes. Hamiani estime, donc, que l'investissement dans les PME est indissociable de la fonction exportation, car l'important consiste à investir le marché international, condition sine qua none de nos PME aspirant assurer la qualité de leurs produits alignés sur les normes et standards internationaux et en conformité avec les exigences du marché mondial, donc, leur pérennité. L'investissement confronté à une politique ambivalente Tous les contours de l'investissement ont été abordés durant cette journée, notamment les volets législatifs, la libre entreprise, les rapports entre les entrepreneurs et les décideurs… Ainsi, le président du FCE a relaté «le cadre juridique et politique qui est caractérisé par une ouverture et la liberté de l'investissement et un nouvel encadrement, mélange entre la volonté des investisseurs et les autorités d'encadrement dont la mission consiste à réguler et organiser au mieux l'économie et la politique d'investissement». Cependant, Hamiani a relevé que «l'investisseur est confronté à cette politique ambivalente truffée de contraintes, d'ouverture, mais également de promotion d'investissement et de pression, ainsi que des difficultés liées à l'environnement». En tant que force d'analyse et de propositions, le FCE a engagé une prodigieuse étude destinée à mettre le doigt sur un côté complexe des lois, à savoir une rhétorique cohérente dans l'ensemble des règles depuis la promulgation du code de l'investissement. «La politique économique algérienne doit être soumise à l'évaluation en termes de résultats. Notre environnement n'est pas suffisamment attractif en nombre de projets reçus par notre pays, d'où la nécessité de revoir le modèle de croissance et la politique générale de l'économie de notre pays dans le contexte de l'investissement. Il s'agit de la variable la plus importante», a-t-il ajouté. Autrement dit, la bonne gouvernance et la gestion managériale évitant le gâchis financier et l'anarchie sont primordiales pour mener à bien une politique économique. Concernant la règle de partenariat international, Hamiani a dit "que la règle 51 % - 49 % a enrichi notre environnement économique, mais elle peut également le compliquer". Le FCE vise à tirer le meilleur profit de cette politique d'investissement conduite par nos autorités, selon Hamiani, précisant que "nous voulons faire étendre, suivant l'objectif du gouvernement, les partenaires étrangers et nationaux à travers les dispositifs faire des propositions pour orienter la politique économique". Pour sa part, Salah Eddine Abdessmed, membre du Conseil exécutif du FCE, a mis l'accent sur la caractère financier de l'investissement en indiquant que "qu'il faut maîtriser le flux des capitaux et le contrôle des changes et le côté fiscal". L'ancien ministre de la PME a précisé que «l'importance de cette politique d'investissement vient également de nos partenaires étrangers, toutefois, il y a urgence, maintenant, d'afflux constant d'investissement durable étranger, c'est-à-dire les investissements directs étrangers (IDE) qui sont porteurs de progrès techniques, de compétitivité, d'où la possibilité de placer l'Algérie dans le contexte de compétitivité internationale, néanmoins tout en augmentant nos exportations». Par ailleurs, il a souligné qu'il est impérieux de suivre l'investissement, en ce sens que, la politique conditionne le bon développement de l'économie algérienne et l'évolution de la compétitivité. En d'autres termes, il est essentiel d'améliorer l'environnement économique, commercial, fiscal et administratif de l'entreprise en améliorant son interaction avec les pouvoirs publics. Car, la petite et moyenne entreprise est considérée, aujourd'hui, en Algérie, comme créatrice de richesses et génératrice d'emplois, sachant que dans certains pays industrialisés et développés, tels que les Etats-Unis d'Amérique et l'Italie, la croissance économique et la plus value, ainsi que l'élévation du niveau de vie des consommateurs sont induites par la promotion des PME. Aussi, en Algérie, les chefs d'entreprises et les opérateurs économiques veulent faire des PME le moteur de la croissance dans la mesure où le secteur agroalimentaire, dominé en grande partie par les PME, contribuent à plus de 55 % au PIB et emploie des centaines de milliers de travailleurs. Aussi, en exhortant les PME à exporter leurs produits, Hamiani a compris très bien que les PME algériennes possèdent un énorme potentiel à l'exportation, en ce sens que les produits nationaux biologiques et les produits agroalimentaires sont commercialisés, non seulement en Europe, mais également sur le marché américain, où «les produits deVitajus, Cevital et Semouleries industrielles de la Mitidja sont bien prisés», selon le président du Conseil d'affaires algéro-américain que nous avons rencontré récemment à l'Algex (Agence algérienne de promotion du commerce extérieur) lors d'une rencontre relative à l'exploration du marché US par les PME algériennes dont les potentialités à l'export sont évidentes. Hamiani estime, donc, que l'investissement dans les PME est indissociable de la fonction exportation, car l'important consiste à investir le marché international, condition sine qua none de nos PME aspirant assurer la qualité de leurs produits alignés sur les normes et standards internationaux et en conformité avec les exigences du marché mondial, donc, leur pérennité. L'investissement confronté à une politique ambivalente Tous les contours de l'investissement ont été abordés durant cette journée, notamment les volets législatifs, la libre entreprise, les rapports entre les entrepreneurs et les décideurs… Ainsi, le président du FCE a relaté «le cadre juridique et politique qui est caractérisé par une ouverture et la liberté de l'investissement et un nouvel encadrement, mélange entre la volonté des investisseurs et les autorités d'encadrement dont la mission consiste à réguler et organiser au mieux l'économie et la politique d'investissement». Cependant, Hamiani a relevé que «l'investisseur est confronté à cette politique ambivalente truffée de contraintes, d'ouverture, mais également de promotion d'investissement et de pression, ainsi que des difficultés liées à l'environnement». En tant que force d'analyse et de propositions, le FCE a engagé une prodigieuse étude destinée à mettre le doigt sur un côté complexe des lois, à savoir une rhétorique cohérente dans l'ensemble des règles depuis la promulgation du code de l'investissement. «La politique économique algérienne doit être soumise à l'évaluation en termes de résultats. Notre environnement n'est pas suffisamment attractif en nombre de projets reçus par notre pays, d'où la nécessité de revoir le modèle de croissance et la politique générale de l'économie de notre pays dans le contexte de l'investissement. Il s'agit de la variable la plus importante», a-t-il ajouté. Autrement dit, la bonne gouvernance et la gestion managériale évitant le gâchis financier et l'anarchie sont primordiales pour mener à bien une politique économique. Concernant la règle de partenariat international, Hamiani a dit "que la règle 51 % - 49 % a enrichi notre environnement économique, mais elle peut également le compliquer". Le FCE vise à tirer le meilleur profit de cette politique d'investissement conduite par nos autorités, selon Hamiani, précisant que "nous voulons faire étendre, suivant l'objectif du gouvernement, les partenaires étrangers et nationaux à travers les dispositifs faire des propositions pour orienter la politique économique". Pour sa part, Salah Eddine Abdessmed, membre du Conseil exécutif du FCE, a mis l'accent sur la caractère financier de l'investissement en indiquant que "qu'il faut maîtriser le flux des capitaux et le contrôle des changes et le côté fiscal".