Le Forum des chefs d'entreprise (FCE) mettra l'accent lors de la tripartite économique, prévue samedi prochain, sur la nécessité de stabiliser le cadre législatif en faveur du secteur des PME-PMI, a indiqué hier le président du FCE, M. Réda Hamiani. «L'économie nationale a besoin du moteur que représente la promotion du secteur de la PME-PMI, de lutte contre le chômage, de diversification des exportations, et qui passe par la stabilisation du cadre législatif", a-t-il souligné sur les ondes de la radio nationale. Selon M. Hamiani, il faut placer les PME, qui génèrent 80% des richesses hors hydrocarbure et emploient la plus grande partie de la main-d'œuvre nationale, ''au cœur des politiques d'investissement et de croissance''. Le FCE proposera ainsi lors de cette rencontre "l'assouplissement des procédures bureaucratiques, afin que les entrepreneurs puissent évoluer dans un cadre de soutien de l'administration" aux PME. Il s'agira également, précise M. Hamiani, de faire "un diagnostic de l'économie, qui révèle le paradoxe entre des projets d'investissements d'envergure, une situation macro-économique excellente, avec des indicateurs de bonne santé (de l'économie) et une vulnérabilité au niveau intermédiaire, à savoir les entreprises." Ainsi, il faut agir pour que "dans les moyens dont dispose notre pays, il y ait un moteur de relance poussé par la dépense publique obtenue ces derniers temps, mais aussi pour que des efforts soient mobilisés pour le développement des PME-PMI (...)" Pour lui , "la stabilité du cadre permettrait au entrepreneurs de faire eux-mêmes leur développement, leurs programmes d'investissements à long terme, le cas inverse serait nuisible à tous". C'est pour cela que le FCE appelle à une pause de cinq années sur le plan de la réglementation "pour donner le temps aux entrepreneurs de se positionner sur le marché extérieur afin de hisser leurs entreprises aux standards internationaux." Le Forum des chefs d'entreprise (FCE) mettra l'accent lors de la tripartite économique, prévue samedi prochain, sur la nécessité de stabiliser le cadre législatif en faveur du secteur des PME-PMI, a indiqué hier le président du FCE, M. Réda Hamiani. «L'économie nationale a besoin du moteur que représente la promotion du secteur de la PME-PMI, de lutte contre le chômage, de diversification des exportations, et qui passe par la stabilisation du cadre législatif", a-t-il souligné sur les ondes de la radio nationale. Selon M. Hamiani, il faut placer les PME, qui génèrent 80% des richesses hors hydrocarbure et emploient la plus grande partie de la main-d'œuvre nationale, ''au cœur des politiques d'investissement et de croissance''. Le FCE proposera ainsi lors de cette rencontre "l'assouplissement des procédures bureaucratiques, afin que les entrepreneurs puissent évoluer dans un cadre de soutien de l'administration" aux PME. Il s'agira également, précise M. Hamiani, de faire "un diagnostic de l'économie, qui révèle le paradoxe entre des projets d'investissements d'envergure, une situation macro-économique excellente, avec des indicateurs de bonne santé (de l'économie) et une vulnérabilité au niveau intermédiaire, à savoir les entreprises." Ainsi, il faut agir pour que "dans les moyens dont dispose notre pays, il y ait un moteur de relance poussé par la dépense publique obtenue ces derniers temps, mais aussi pour que des efforts soient mobilisés pour le développement des PME-PMI (...)" Pour lui , "la stabilité du cadre permettrait au entrepreneurs de faire eux-mêmes leur développement, leurs programmes d'investissements à long terme, le cas inverse serait nuisible à tous". C'est pour cela que le FCE appelle à une pause de cinq années sur le plan de la réglementation "pour donner le temps aux entrepreneurs de se positionner sur le marché extérieur afin de hisser leurs entreprises aux standards internationaux."