Le personnel navigant d'International Bulk Carrier (IBC) a réclamé, samedi à Alger, sa réintégration au sein de la société mère, CNAN GROUP qui doit leur "assurer leurs droits" avant un redéploiement vers d'autres entreprises du secteur. «Nous réclamons d'abord d'être réintégrés au sein de la CNAN GROUP, qui doit nous assurer nos droits, avant tout redéploiement des 250 employés d'IBC vers d'autres entreprises du secteur», a indiqué le secrétaire général de la section syndicale du personnel d'IBC, Rabah Youtichène, cité par l'APS. Mercredi dernier, IBC avait annoncé, dans un communiqué, que l'ensemble de son personnel navigant avait été redéployé, "à titre provisoire", vers des entreprises des secteurs, après sa mise au chômage forcé par les partenaires de CNAN GROUP, Pharaon & CTI. M. Youtichene a ajouté que "sans garanties, les employés craignent d'être oubliés, une fois qu'ils seront répartis dans d'autres sociétés". Il a également estimé que le personnel "est, à l'heure actuelle, renié par IBC et par la CNAN", concernant la prise en charge de leur revendication. IBC avait annoncé que l'ensemble de son personnel navigant avait été redéployé, "à titre provisoire", vers des entreprises des secteurs maritime et portuaire par le ministère des Transports. La mise au chômage forcé de ce personnel par les partenaires de CNAN GROUP, Pharaon & CTI, a conduit les pouvoirs publics à attacher une attention "toute particulière" à ce problème, avait-elle indiqué dans un communiqué. Les entreprises devant accueillir le personnel "accorderont une avance d'un mois de salaire aux nouveaux venus remboursable sur plusieurs mois, afin qu'ils puissent subvenir aux besoins les plus urgents". IBC s'est engagée, en outre, à payer les reliquats des salaires "dès que sa trésorerie le permettra", selon le communiqué. Elle avait précisé, par ailleurs, qu'elle doit récupérer et rapatrier ses navires dans un proche avenir, ce qui permettra de réintégrer son personnel navigant. Pour ce faire, une commission composée d'experts s'est rendue dernièrement en Malaisie, lieu de mouillage de quatre de ses navires, pour inspecter les navires afin d'évaluer leur aptitude à la navigation. IBC a rappelé que le contentieux qui l'oppose aux partenaires Pharaon & CTI, soumis au tribunal arbitral de Paris et celui de Londres, «est supervisé directement par un commission interministérielle, siégeant au niveau du ministère des Transports». Le personnel navigant d'International Bulk Carrier (IBC) a réclamé, samedi à Alger, sa réintégration au sein de la société mère, CNAN GROUP qui doit leur "assurer leurs droits" avant un redéploiement vers d'autres entreprises du secteur. «Nous réclamons d'abord d'être réintégrés au sein de la CNAN GROUP, qui doit nous assurer nos droits, avant tout redéploiement des 250 employés d'IBC vers d'autres entreprises du secteur», a indiqué le secrétaire général de la section syndicale du personnel d'IBC, Rabah Youtichène, cité par l'APS. Mercredi dernier, IBC avait annoncé, dans un communiqué, que l'ensemble de son personnel navigant avait été redéployé, "à titre provisoire", vers des entreprises des secteurs, après sa mise au chômage forcé par les partenaires de CNAN GROUP, Pharaon & CTI. M. Youtichene a ajouté que "sans garanties, les employés craignent d'être oubliés, une fois qu'ils seront répartis dans d'autres sociétés". Il a également estimé que le personnel "est, à l'heure actuelle, renié par IBC et par la CNAN", concernant la prise en charge de leur revendication. IBC avait annoncé que l'ensemble de son personnel navigant avait été redéployé, "à titre provisoire", vers des entreprises des secteurs maritime et portuaire par le ministère des Transports. La mise au chômage forcé de ce personnel par les partenaires de CNAN GROUP, Pharaon & CTI, a conduit les pouvoirs publics à attacher une attention "toute particulière" à ce problème, avait-elle indiqué dans un communiqué. Les entreprises devant accueillir le personnel "accorderont une avance d'un mois de salaire aux nouveaux venus remboursable sur plusieurs mois, afin qu'ils puissent subvenir aux besoins les plus urgents". IBC s'est engagée, en outre, à payer les reliquats des salaires "dès que sa trésorerie le permettra", selon le communiqué. Elle avait précisé, par ailleurs, qu'elle doit récupérer et rapatrier ses navires dans un proche avenir, ce qui permettra de réintégrer son personnel navigant. Pour ce faire, une commission composée d'experts s'est rendue dernièrement en Malaisie, lieu de mouillage de quatre de ses navires, pour inspecter les navires afin d'évaluer leur aptitude à la navigation. IBC a rappelé que le contentieux qui l'oppose aux partenaires Pharaon & CTI, soumis au tribunal arbitral de Paris et celui de Londres, «est supervisé directement par un commission interministérielle, siégeant au niveau du ministère des Transports».