Situé au sud de la wilaya de Mila, le périmètre irrigué, en cours d'aménagement à Téléghma, sera réceptionné "au cours du deuxième semestre de 2012", a indiqué le chef de projet agissant pour le compte de l'Office national d'irrigation et de drainage (ONID). Situé au sud de la wilaya de Mila, le périmètre irrigué, en cours d'aménagement à Téléghma, sera réceptionné "au cours du deuxième semestre de 2012", a indiqué le chef de projet agissant pour le compte de l'Office national d'irrigation et de drainage (ONID). Les travaux d'aménagement de ce périmètre, notamment pour ce qui concerne la pose des canalisations d'amenée d'eau à partir du barrage-réservoir de Oued Athmania, connaissent un avancement "satisfaisant", a affirmé M. Ghedouane Youcef à l'APS, soulignant que ce périmètre de 4.447 hectares sera doté de "nouvelles techniques d'irrigation". Dans la région de Téléghma, connue jadis pour sa production de légumes, notamment de pommes de terre, les efforts d'extension des surfaces agricoles irriguées visent l'aménagement de 8.000 hectares répartis sur les communes de Téléghma, d'Oued Seguin et d'Oued Athmania, a ajouté ce responsable. Inscrit dans le cadre des grands transferts du barrage de Beni-Haroun qui touchent également les wilayas d'Oum El Bouaghi, de Batna et de Khenchela, le projet a été entamé en 2010 pour des délais aujourd'hui dépassés en raison de "problèmes techniques", selon M. Ghedouane qui a expliqué que ces problèmes ont trait à la nature rocailleuse de certaines parties du périmètre, à des problèmes d'expropriation des terres et aux intempéries qui ont marqué le début de l'année 2012. Selon le chef de projet agissant pour le compte de l'Office national d'irrigation et de drainage, les projets de transferts du barrage de Beni-Haroun, dont les réserves ont atteint dernièrement le milliard de mètres cubes, visent à créer 30.000 hectares de terres agricoles irriguées dans les wilayas concernées, ce qui aura pour conséquence une augmentation substantielle du rendement agricole et la diversification des productions avec une option spéciale pour les arbres fruitiers et la promotion de l'élevage bovin et de la production laitière. En matière d'eau destinée à l'irrigation à partir du barrage géant de Beni-Haroun, l'augmentation du quota de la wilaya de Mila a souvent été revendiquée par les agriculteurs de cette wilaya qui estiment que les potentialités de la wilaya en la matière peuvent aller jusqu'à 20.000 hectares contre 8.600 hectares actuellement en exploitation. Les travaux d'aménagement de ce périmètre, notamment pour ce qui concerne la pose des canalisations d'amenée d'eau à partir du barrage-réservoir de Oued Athmania, connaissent un avancement "satisfaisant", a affirmé M. Ghedouane Youcef à l'APS, soulignant que ce périmètre de 4.447 hectares sera doté de "nouvelles techniques d'irrigation". Dans la région de Téléghma, connue jadis pour sa production de légumes, notamment de pommes de terre, les efforts d'extension des surfaces agricoles irriguées visent l'aménagement de 8.000 hectares répartis sur les communes de Téléghma, d'Oued Seguin et d'Oued Athmania, a ajouté ce responsable. Inscrit dans le cadre des grands transferts du barrage de Beni-Haroun qui touchent également les wilayas d'Oum El Bouaghi, de Batna et de Khenchela, le projet a été entamé en 2010 pour des délais aujourd'hui dépassés en raison de "problèmes techniques", selon M. Ghedouane qui a expliqué que ces problèmes ont trait à la nature rocailleuse de certaines parties du périmètre, à des problèmes d'expropriation des terres et aux intempéries qui ont marqué le début de l'année 2012. Selon le chef de projet agissant pour le compte de l'Office national d'irrigation et de drainage, les projets de transferts du barrage de Beni-Haroun, dont les réserves ont atteint dernièrement le milliard de mètres cubes, visent à créer 30.000 hectares de terres agricoles irriguées dans les wilayas concernées, ce qui aura pour conséquence une augmentation substantielle du rendement agricole et la diversification des productions avec une option spéciale pour les arbres fruitiers et la promotion de l'élevage bovin et de la production laitière. En matière d'eau destinée à l'irrigation à partir du barrage géant de Beni-Haroun, l'augmentation du quota de la wilaya de Mila a souvent été revendiquée par les agriculteurs de cette wilaya qui estiment que les potentialités de la wilaya en la matière peuvent aller jusqu'à 20.000 hectares contre 8.600 hectares actuellement en exploitation.