En vue de convaincre les aviculteurs de la région se Bejaia à s'approvisionner en gaz propane en substitution au gaz butane, couramment utilisé pour le chauffage de leurs bâtiments d'élevage, une campagne de sensibilisation de grande ampleur est engagée. En vue de convaincre les aviculteurs de la région se Bejaia à s'approvisionner en gaz propane en substitution au gaz butane, couramment utilisé pour le chauffage de leurs bâtiments d'élevage, une campagne de sensibilisation de grande ampleur est engagée. Présentant une foule d'avantages, cette option s'est imposée en réaction aux effets des intempéries du mois de janvier dernier, au cours desquelles les aviculteurs ont accusé «d'importantes» pertes, induites par l'obstruction des routes par la neige et ses conséquences sur leur approvisionnement en gaz butane, selon la Direction des services agricoles (DSA). Beaucoup de poulaillers, notamment ceux localisés en haute montagne, dans l'arrière pays, à l'instar de la région de Barbacha, au sud-est de la wilaya, ont du, de ce fait, déplorer de lourdes pertes. Par delà sa densité de chauffage, nettement plus importante, le propane en citerne, source de remplacement proposée, a le mérite d'être moins coûteuse, plus disponible, et offrant des volumes de réserve plus fournis, d'autant que la livraison est laissée à l'entière apanage de l'entreprise Naftal, initiatrice de cette opération, a souligné la même direction à l'APS, précisant que l'investissement pour l'acquisition de l'équipement requis, notamment une citerne, un manomètre et une conduite d'amenée du propane vers le bâtiment avicole est du ressort de l'aviculteur, mais qui, en l'espèce, peut recourir à un financement de la Banque de l'agriculture et développement rural (BADR). Conçue pour être généralisée à l'ensemble des aviculteurs locaux, l'expérience fait l'objet de regroupements professionnels depuis plusieurs semaines et se fonde, elle-même, sur le succès d'une initiative d'un gérant d'un complexe avicole à Tazmalt, qui a réussi à diviser sa consommation d'énergie en deux. Considérée comme un bassin avicole national de premier ordre, la wilaya de Bejaia compte plus de 1.500 aviculteurs et produit, bon an mal an, plus de 130.000 quintaux de viandes blanches et 3,2 millions d'oeufs. La disponibilité de l'énergie à moindre frais est de nature à consolider encore sa position, relève la Direction des services agricoles. Présentant une foule d'avantages, cette option s'est imposée en réaction aux effets des intempéries du mois de janvier dernier, au cours desquelles les aviculteurs ont accusé «d'importantes» pertes, induites par l'obstruction des routes par la neige et ses conséquences sur leur approvisionnement en gaz butane, selon la Direction des services agricoles (DSA). Beaucoup de poulaillers, notamment ceux localisés en haute montagne, dans l'arrière pays, à l'instar de la région de Barbacha, au sud-est de la wilaya, ont du, de ce fait, déplorer de lourdes pertes. Par delà sa densité de chauffage, nettement plus importante, le propane en citerne, source de remplacement proposée, a le mérite d'être moins coûteuse, plus disponible, et offrant des volumes de réserve plus fournis, d'autant que la livraison est laissée à l'entière apanage de l'entreprise Naftal, initiatrice de cette opération, a souligné la même direction à l'APS, précisant que l'investissement pour l'acquisition de l'équipement requis, notamment une citerne, un manomètre et une conduite d'amenée du propane vers le bâtiment avicole est du ressort de l'aviculteur, mais qui, en l'espèce, peut recourir à un financement de la Banque de l'agriculture et développement rural (BADR). Conçue pour être généralisée à l'ensemble des aviculteurs locaux, l'expérience fait l'objet de regroupements professionnels depuis plusieurs semaines et se fonde, elle-même, sur le succès d'une initiative d'un gérant d'un complexe avicole à Tazmalt, qui a réussi à diviser sa consommation d'énergie en deux. Considérée comme un bassin avicole national de premier ordre, la wilaya de Bejaia compte plus de 1.500 aviculteurs et produit, bon an mal an, plus de 130.000 quintaux de viandes blanches et 3,2 millions d'oeufs. La disponibilité de l'énergie à moindre frais est de nature à consolider encore sa position, relève la Direction des services agricoles.