Les pâtisseries de la ville de Tlemcen ont été prises d'assaut juste après la rupture du jeûne surtout par des femmes ayant opté pour l'achat des gâteaux orientaux à l'approche de l'Aid El- Fitr. Les pâtisseries de la ville de Tlemcen ont été prises d'assaut juste après la rupture du jeûne surtout par des femmes ayant opté pour l'achat des gâteaux orientaux à l'approche de l'Aid El- Fitr. Ces magasins où sont confectionnées toutes sortes de gâteaux et autres douceurs ont affiché complet les derniers jours du mois sacré de Ramadhan où les clientes, soucieuses de garnir comme il se doit la table de l'Aïd el-Fitr et d'offrir les meilleures gourmandises à leurs invités et à leurs voisins, scrutent et soupèsent les pièces de gâteaux à prendre. Si les journées se sont avérées calmes eu égard au carême et à la canicule qui a sévit durant ces jours sur la région, les magasins de gâteaux de Tlemcen ont été pris d'assaut juste après la rupture du jeûne par ces dames qui, pour gagner du temps et s'épargner "une corvée de plus" préfèrent ne pas lésiner sur les moyens même si les prix, notamment des gâteaux faits à base de noix ou d'amandes, sont relativement chers, rapporte l'APS. La tendance, pour la plupart d'entre elles, notamment les travailleuses, est l'achat des gâteaux au lieu de les préparer chez soi comme cela se faisait par le passé. Les traditions se perdent ; auparavant, les femmes se regroupaient généralement dans une maison et passaient des nuits à faire des gâteaux tout en discutant de choses et d'autres. Chacune d'elle s'occupait du genre de douceur qu'elle maîtrisait le mieux. L'ambiance était exceptionnelle dans les quartiers où se dégageaient des senteurs et odeurs parfumées des différents ingrédients utilisés dans la cuisson. A Tlemcen, il existait dans pratiquement chaque quartier des fours banals destinés à la cuisson des gâteaux. Ce sont soit les jeunes ou les enfants voire même les vieux qui s'occupaient de cette tâche, se rappelle-t-on avec nostalgie, soulignant qu'à cette époque, la solidarité et le sens de voisinage et familial étaient de mise. Or, l'évolution sociale ajoutée à la modernité font que les femmes aujourd'hui, surtout celles qui travaillent, achètent leurs gâteaux et s'épargnent cette tâche considérée plutôt comme une corvée inutile, indique, pour sa part, Mme M. S., cadre dans une entreprise. Pour elle, la vie quotidienne durant le mois de Ramadhan n'est pas facile, car, affirme-t-elle, les femmes, "surtout les travailleuses d'entre elles, sont partagées entre le boulot et la cuisine et en plus il y a des magasins qui proposent tous genres de gâteaux", déclarant préférer "acheter les gâteaux que les faire". Cette nouvelle habitude de consommation dans la société tlemcenienne a également permis à de nombreuses femmes aux foyers de se faire de l'argent et contribuer au budget familial grâce à la confection de gâteaux. Ces femmes proposent leurs services, notamment aux voisines travailleuses ou aux membres de leurs familles, à des prix concurrentiels par rapport à ceux pratiqués dans les commerces. Le "kaak tlemcenien" reste le gâteau vedette. Difficile à préparer, des boulangers locaux se sont spécialisés dans sa confection pour le vendre à longueur d'année au regard de la forte demande sur ce produit. C'est dans les boulangeries du "derb" ou encore à Beni Mester que les familles s'approvisionnent en ce genre de douceurs. Ces magasins où sont confectionnées toutes sortes de gâteaux et autres douceurs ont affiché complet les derniers jours du mois sacré de Ramadhan où les clientes, soucieuses de garnir comme il se doit la table de l'Aïd el-Fitr et d'offrir les meilleures gourmandises à leurs invités et à leurs voisins, scrutent et soupèsent les pièces de gâteaux à prendre. Si les journées se sont avérées calmes eu égard au carême et à la canicule qui a sévit durant ces jours sur la région, les magasins de gâteaux de Tlemcen ont été pris d'assaut juste après la rupture du jeûne par ces dames qui, pour gagner du temps et s'épargner "une corvée de plus" préfèrent ne pas lésiner sur les moyens même si les prix, notamment des gâteaux faits à base de noix ou d'amandes, sont relativement chers, rapporte l'APS. La tendance, pour la plupart d'entre elles, notamment les travailleuses, est l'achat des gâteaux au lieu de les préparer chez soi comme cela se faisait par le passé. Les traditions se perdent ; auparavant, les femmes se regroupaient généralement dans une maison et passaient des nuits à faire des gâteaux tout en discutant de choses et d'autres. Chacune d'elle s'occupait du genre de douceur qu'elle maîtrisait le mieux. L'ambiance était exceptionnelle dans les quartiers où se dégageaient des senteurs et odeurs parfumées des différents ingrédients utilisés dans la cuisson. A Tlemcen, il existait dans pratiquement chaque quartier des fours banals destinés à la cuisson des gâteaux. Ce sont soit les jeunes ou les enfants voire même les vieux qui s'occupaient de cette tâche, se rappelle-t-on avec nostalgie, soulignant qu'à cette époque, la solidarité et le sens de voisinage et familial étaient de mise. Or, l'évolution sociale ajoutée à la modernité font que les femmes aujourd'hui, surtout celles qui travaillent, achètent leurs gâteaux et s'épargnent cette tâche considérée plutôt comme une corvée inutile, indique, pour sa part, Mme M. S., cadre dans une entreprise. Pour elle, la vie quotidienne durant le mois de Ramadhan n'est pas facile, car, affirme-t-elle, les femmes, "surtout les travailleuses d'entre elles, sont partagées entre le boulot et la cuisine et en plus il y a des magasins qui proposent tous genres de gâteaux", déclarant préférer "acheter les gâteaux que les faire". Cette nouvelle habitude de consommation dans la société tlemcenienne a également permis à de nombreuses femmes aux foyers de se faire de l'argent et contribuer au budget familial grâce à la confection de gâteaux. Ces femmes proposent leurs services, notamment aux voisines travailleuses ou aux membres de leurs familles, à des prix concurrentiels par rapport à ceux pratiqués dans les commerces. Le "kaak tlemcenien" reste le gâteau vedette. Difficile à préparer, des boulangers locaux se sont spécialisés dans sa confection pour le vendre à longueur d'année au regard de la forte demande sur ce produit. C'est dans les boulangeries du "derb" ou encore à Beni Mester que les familles s'approvisionnent en ce genre de douceurs.