Le FLN est toujours sans secrétaire général. Depuis le retrait de confiance à Abdelaziz Belkhadem, le 31 janvier passé, le comité central (CC) ne s'est pas réuni pour élire un successeur à Belkhadem. Une situation qui fait perdurer la crise que traverse le vieux parti, tant les différents protagonistes n'arrivent pas à s'entendre et trouver un consensus. Le FLN est toujours sans secrétaire général. Depuis le retrait de confiance à Abdelaziz Belkhadem, le 31 janvier passé, le comité central (CC) ne s'est pas réuni pour élire un successeur à Belkhadem. Une situation qui fait perdurer la crise que traverse le vieux parti, tant les différents protagonistes n'arrivent pas à s'entendre et trouver un consensus. Une crise qui fait beaucoup de remous et provoque de considérables dégâts. Le comble c'est que cette zizanie que connaît le FLN a eu des conséquences sur le fonctionnement de certaines institutions de la République, comme cela est le cas de l'APN. La Chambre basse du Parlement est sens dessus-dessous depuis quelques jours déjà à cause des luttes intestines au sein du groupe parlementaire du FLN. Le président de l'instituions parlementaire, Mohamed Larbi Ould Khelifa, est dans l'œil du cyclone et ne sait plus à quel saint se vouer. Il subit, en effet, moult pressions de la part de nombreux députés du vieux parti. Il a été particulièrement ciblé à cause de l'affaire des indemnités des députés. Des députés, affiliés au FLN notamment, l'ont critiqué pour avoir ajourné la décision relative à l'augmentation des indemnités des députés. Une décision qui aurait été prise pourtant lors d'une réunion du bureau de l'APN et qui a provoqué un tollé général lorsque l'information a été publiée dans la presse nationale. C'est pour cette raison que Larbi Ould Khelifa a décidé, finalement de revenir sur sa décision. Ce qui n'a pas été du goût de certains députés du FLN, qui seraient emmenés par le vice-président de l'assemblée, Mohamed Djemai. D'aucuns ont alors estimé que ces manœuvres ont pour but de pousser Larbi Ould Khelifa à jeter l'éponge alors qu'il fait partie du FLN. Agacé par ces agissements, Ould Khelifa aurait saisi le coordinateur du bureau politique du parti, Abderrahmane Belayat, afin qu'il mette fin à ces pratiques qui tendent à déstabiliser une institution pérenne de la République. Avant-hier, le groupe parlementaire du FLN, comme pour se démarquer de toutes ces manœuvres a volé au secours du president de la Chambre basse. Dans un communiqué rendu public, le groupe parlementaire tient a apporter tout son soutien au présidnet de l'APN en dénonçant les agissements qui nuisent au bon fonctionnement de l'assemblée. Les observateurs ont relevé que le communiqué n'a pas été signé par le président du groupe parlementaire, Tahar Khaoua , mais le vice-president, le député de Annaba, Tliba Bahaedine. Ce qui a, à juste titre d'ailleurs, suscité moult interrogations. Ces manœuvres interviennent aussi au moment où l'on s'apprête à entamer l'opération relative au renouvellement des structures de l'assemblée. Une opération qui ne risque pas d'être une simple sinécure au sein du groupe parlementaire du vieux parti tant les postes au sein de l'assemblée suscitent beaucoup de convoitises. Cela au moment où le FLN est sans secrétaire général et donc sans direction politique légitime à même d'imposer une certaine discipline. C'est dire combien la vacance du poste de secrétaire général est préjudiciable au FLN, dont les membres du CC n'arrivent pas à s'entendre sur un rendez-vous pour la tenue d'une session ordinaire ou extraordinaire pour élire un successeur à Abdelaziz Belkhadem. Une crise qui fait beaucoup de remous et provoque de considérables dégâts. Le comble c'est que cette zizanie que connaît le FLN a eu des conséquences sur le fonctionnement de certaines institutions de la République, comme cela est le cas de l'APN. La Chambre basse du Parlement est sens dessus-dessous depuis quelques jours déjà à cause des luttes intestines au sein du groupe parlementaire du FLN. Le président de l'instituions parlementaire, Mohamed Larbi Ould Khelifa, est dans l'œil du cyclone et ne sait plus à quel saint se vouer. Il subit, en effet, moult pressions de la part de nombreux députés du vieux parti. Il a été particulièrement ciblé à cause de l'affaire des indemnités des députés. Des députés, affiliés au FLN notamment, l'ont critiqué pour avoir ajourné la décision relative à l'augmentation des indemnités des députés. Une décision qui aurait été prise pourtant lors d'une réunion du bureau de l'APN et qui a provoqué un tollé général lorsque l'information a été publiée dans la presse nationale. C'est pour cette raison que Larbi Ould Khelifa a décidé, finalement de revenir sur sa décision. Ce qui n'a pas été du goût de certains députés du FLN, qui seraient emmenés par le vice-président de l'assemblée, Mohamed Djemai. D'aucuns ont alors estimé que ces manœuvres ont pour but de pousser Larbi Ould Khelifa à jeter l'éponge alors qu'il fait partie du FLN. Agacé par ces agissements, Ould Khelifa aurait saisi le coordinateur du bureau politique du parti, Abderrahmane Belayat, afin qu'il mette fin à ces pratiques qui tendent à déstabiliser une institution pérenne de la République. Avant-hier, le groupe parlementaire du FLN, comme pour se démarquer de toutes ces manœuvres a volé au secours du president de la Chambre basse. Dans un communiqué rendu public, le groupe parlementaire tient a apporter tout son soutien au présidnet de l'APN en dénonçant les agissements qui nuisent au bon fonctionnement de l'assemblée. Les observateurs ont relevé que le communiqué n'a pas été signé par le président du groupe parlementaire, Tahar Khaoua , mais le vice-president, le député de Annaba, Tliba Bahaedine. Ce qui a, à juste titre d'ailleurs, suscité moult interrogations. Ces manœuvres interviennent aussi au moment où l'on s'apprête à entamer l'opération relative au renouvellement des structures de l'assemblée. Une opération qui ne risque pas d'être une simple sinécure au sein du groupe parlementaire du vieux parti tant les postes au sein de l'assemblée suscitent beaucoup de convoitises. Cela au moment où le FLN est sans secrétaire général et donc sans direction politique légitime à même d'imposer une certaine discipline. C'est dire combien la vacance du poste de secrétaire général est préjudiciable au FLN, dont les membres du CC n'arrivent pas à s'entendre sur un rendez-vous pour la tenue d'une session ordinaire ou extraordinaire pour élire un successeur à Abdelaziz Belkhadem.