Les tensions très anciennes entre les deux pays autour du "rocher" ont été ravivées au début du mois, Madrid protestant contre la construction par le territoire britannique d'un récif artificiel accusé d'empêcher le chalutage dans la zone... Les tensions très anciennes entre les deux pays autour du "rocher" ont été ravivées au début du mois, Madrid protestant contre la construction par le territoire britannique d'un récif artificiel accusé d'empêcher le chalutage dans la zone... Conséquence du durcissement des contrôles, les touristes et résidents qui souhaitaient franchir la frontière entre l'Espagne et Gibraltar devaient supporter une longue attente ce week-end. L'Espagne pourrait porter devant les Nations unies son différend avec la Grande-Bretagne au sujet de Gibraltar, a-t-on appris dimanche 11 août de source diplomatique. Les tensions très anciennes entre les deux pays autour du "rocher" ont été ravivées au début du mois, Madrid protestant contre la construction par le territoire britannique d'un récif artificiel accusé d'empêcher le chalutage dans la zone. La source n'a pas précisé si l'Espagne songeait à demander à l'Onu d'appuyer une demande visant à convaincre Londres de renoncer à sa souveraineté sur Gibraltar, ou d'obliger le territoire, considéré comme un paradis fiscal, à appliquer certains accords internationaux. Le quotidien El Pais rapporte de son côté dimanche que l'Espagne pourrait se tourner vers la Cour internationale de justice, l'Assemblée générale des Nations unies ou le Conseil de sécurité de l'Onu. Il explique que le chef de la diplomatie espagnole, Jose Manual Garcia Margallo, devrait profiter d'une visite prévue en septembre en Argentine, actuellement membre non permanent du Conseil de sécurité de l'Onu, pour demander à Buenos Aires son soutien contre Londres. L'Argentine est elle-même en conflit avec la Grande-Bretagne à propos des îles Malouines. Vendredi, le président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, a dit envisager des mesures unilatérales liées au dossier de Gibraltar. Madrid a déjà durci les contrôles frontaliers et menacé d'instaurer un péage de 50 euros à l'entrée de Gibraltar, de lancer des enquêtes fiscales sur les biens immobiliers détenus sur son territoire par des Gibraltariens, ou encore de restreindre l'utilisation de son espace aérien par les avions à destination de ce territoire, britannique depuis le traité d'Utrecht en 1713. Conséquence du durcissement des contrôles, les touristes et résidents qui souhaitaient franchir la frontière entre l'Espagne et Gibraltar devaient supporter une longue attente ce week-end. L'Espagne pourrait porter devant les Nations unies son différend avec la Grande-Bretagne au sujet de Gibraltar, a-t-on appris dimanche 11 août de source diplomatique. Les tensions très anciennes entre les deux pays autour du "rocher" ont été ravivées au début du mois, Madrid protestant contre la construction par le territoire britannique d'un récif artificiel accusé d'empêcher le chalutage dans la zone. La source n'a pas précisé si l'Espagne songeait à demander à l'Onu d'appuyer une demande visant à convaincre Londres de renoncer à sa souveraineté sur Gibraltar, ou d'obliger le territoire, considéré comme un paradis fiscal, à appliquer certains accords internationaux. Le quotidien El Pais rapporte de son côté dimanche que l'Espagne pourrait se tourner vers la Cour internationale de justice, l'Assemblée générale des Nations unies ou le Conseil de sécurité de l'Onu. Il explique que le chef de la diplomatie espagnole, Jose Manual Garcia Margallo, devrait profiter d'une visite prévue en septembre en Argentine, actuellement membre non permanent du Conseil de sécurité de l'Onu, pour demander à Buenos Aires son soutien contre Londres. L'Argentine est elle-même en conflit avec la Grande-Bretagne à propos des îles Malouines. Vendredi, le président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, a dit envisager des mesures unilatérales liées au dossier de Gibraltar. Madrid a déjà durci les contrôles frontaliers et menacé d'instaurer un péage de 50 euros à l'entrée de Gibraltar, de lancer des enquêtes fiscales sur les biens immobiliers détenus sur son territoire par des Gibraltariens, ou encore de restreindre l'utilisation de son espace aérien par les avions à destination de ce territoire, britannique depuis le traité d'Utrecht en 1713.