L'ex-ministre de l'Energie, Chakib Khelil, visé par un mandat d'arrêt international pour son implication présumée dans le scandale Sonatrach II, n'est pas au bout de ses peines. Des sources bien informées, font état de la saisie conservatoire des biens, sur décision des autorités judiciaires des biens mobiliers et immobiliers des biens appartenant aux ascendants et descendants et des proches de Chakib Khelil. L'ex-ministre de l'Energie, Chakib Khelil, visé par un mandat d'arrêt international pour son implication présumée dans le scandale Sonatrach II, n'est pas au bout de ses peines. Des sources bien informées, font état de la saisie conservatoire des biens, sur décision des autorités judiciaires des biens mobiliers et immobiliers des biens appartenant aux ascendants et descendants et des proches de Chakib Khelil. A l'issue d'une enquête menée conjointement par la Gendarmerie nationale et la police, il a été procédé à la saisie conservatoire de deux villas, l'une située à Aïn Turck et l'autre à Canastel, sur la corniche oranaise, Les deux biens sont estimés à plus de 4 millions d'euros. Deux autres biens ont été également saisis. Il s'agit d'une villa située à Bou-Sfer et une autre à la nouvelle ville. Un appartement, situé à la cité Bouki (Oran) a été également saisi. Il appartenait à son fils. Les mêmes sources indiquent que l'enquête suit son cours pour identifier d'autres biens susceptibles d'appartenir à la famille Chakib Khelil et à ses proches et qui pourraient être concernés par la mesure décidée par les autorités judiciaires. Il est de notoriété publique que l'ex-ministre de l'Energie et des Mines avait acquis de nombreux biens, notamment immobiliers durant son exercice à la tête du ministère de l'Energie et de Président directeur général de la compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach notamment à Oran. Des biens qui ont, souvent été enregistrés sous des prête-noms. Une pratique en vogue, usitée par les «gros bonnets» pour dissimuler les biens mal- acquis durant la période où ils étaient en exercice. La justice algérienne avait annoncé officiellement, le 12 août dernier, le lancement d'un mandat d'arrêt international à l'encontre de l'ex-ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, son épouse et leurs deux enfants, de Farid Bedjaoui et de quatre autres personnes. «Le mandat d'arrêt international, émis par la justice algérienne concerne neuf des vingt-deux personnes, suspectées d'avoir trempé dans l'affaire Sonatrach II. Tous les inculpés ont fait l'objet de mesures conservatoires consistant en le gel de leurs avoirs bancaires dans les banques et établissements financiers en Algérie et la saisine conservatrice de leurs biens immobiliers et autres en territoire national», avait déclaré le procureur général de la cour d'Alger, Belkacem Zeghmati, lors d'un point de presse pour annoncer le lancement du mandat d'arrêt international visant Chakib Khellil et les 8 autres personnes. La justice algérienne est déterminée à récupérer les biens détournés et placés à l'étranger, avait ajouté Belkacem Zeghmati. Mais Chakib Khellil avait, rappelons-le, démenti, quelques jours plus tard, dans des entretiens accordés à des confrères des quotidiens arabophones, avoir des biens à l'étranger. «On a écrit que je possède un ranch et également des biens immobiliers un peu partout dans le monde. On a écrit que je possède des biens immobiliers en France alors qu'en vérité, je ne possède aucun ranch, je ne possède aucun bien immobilier en France, ni ailleurs, mis à part un logement à Alger que j'essaye de régulariser et un autre à Oran où résidait ma défunte mère», avait-il assuré. Il est un secret de polichinelle que l'ex-patron de l'Energie et des mines possède ou possédait, le presse avait fait état de leur mise en vente avant que n'éclate l'affaire Sonatrach II, deux appartements dans le quartier huppé de Hydra. L'acquisition de ces deux appartements avait fait à une certaine période les choux gras de la presse nationale. Chakib Khellil avait été accusé d'avoir acquis ces biens sans débourser aucun sou. La contrepartie était l'octroi de marchés à des sociétés algériennes et américaines, la réhabilitation et l'équipement des deux tours «Chabani» à Hydra. L'une est devenue le siège du ministère de l'Energie et des Mines. C'était l'une des premières «affaires» de Chakib Khelil. Elle avait été vite étouffée. Les quotidiens qui en avaient parlé dans leurs colonnes ont eu affaire à la justice à travers une plainte en diffamation déposée par l'ex- homme fort du ministère de l'Energie. Des peines de prison fermes ont été requises contre les journalistes et un journal aujourd'hui disparu a été condamné à payer une amende d'un montant faramineux. Le feuilleton Chakib Khellil n'est qu'à ses débuts. La justice algérienne est déterminée à lever toutes les zones d'ombre qui entourent cette affaire dite «Sonatrach II», sans précipitation comme l'a suggéré le procureur général de la cour d'Alger. A l'issue d'une enquête menée conjointement par la Gendarmerie nationale et la police, il a été procédé à la saisie conservatoire de deux villas, l'une située à Aïn Turck et l'autre à Canastel, sur la corniche oranaise, Les deux biens sont estimés à plus de 4 millions d'euros. Deux autres biens ont été également saisis. Il s'agit d'une villa située à Bou-Sfer et une autre à la nouvelle ville. Un appartement, situé à la cité Bouki (Oran) a été également saisi. Il appartenait à son fils. Les mêmes sources indiquent que l'enquête suit son cours pour identifier d'autres biens susceptibles d'appartenir à la famille Chakib Khelil et à ses proches et qui pourraient être concernés par la mesure décidée par les autorités judiciaires. Il est de notoriété publique que l'ex-ministre de l'Energie et des Mines avait acquis de nombreux biens, notamment immobiliers durant son exercice à la tête du ministère de l'Energie et de Président directeur général de la compagnie nationale des hydrocarbures Sonatrach notamment à Oran. Des biens qui ont, souvent été enregistrés sous des prête-noms. Une pratique en vogue, usitée par les «gros bonnets» pour dissimuler les biens mal- acquis durant la période où ils étaient en exercice. La justice algérienne avait annoncé officiellement, le 12 août dernier, le lancement d'un mandat d'arrêt international à l'encontre de l'ex-ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil, son épouse et leurs deux enfants, de Farid Bedjaoui et de quatre autres personnes. «Le mandat d'arrêt international, émis par la justice algérienne concerne neuf des vingt-deux personnes, suspectées d'avoir trempé dans l'affaire Sonatrach II. Tous les inculpés ont fait l'objet de mesures conservatoires consistant en le gel de leurs avoirs bancaires dans les banques et établissements financiers en Algérie et la saisine conservatrice de leurs biens immobiliers et autres en territoire national», avait déclaré le procureur général de la cour d'Alger, Belkacem Zeghmati, lors d'un point de presse pour annoncer le lancement du mandat d'arrêt international visant Chakib Khellil et les 8 autres personnes. La justice algérienne est déterminée à récupérer les biens détournés et placés à l'étranger, avait ajouté Belkacem Zeghmati. Mais Chakib Khellil avait, rappelons-le, démenti, quelques jours plus tard, dans des entretiens accordés à des confrères des quotidiens arabophones, avoir des biens à l'étranger. «On a écrit que je possède un ranch et également des biens immobiliers un peu partout dans le monde. On a écrit que je possède des biens immobiliers en France alors qu'en vérité, je ne possède aucun ranch, je ne possède aucun bien immobilier en France, ni ailleurs, mis à part un logement à Alger que j'essaye de régulariser et un autre à Oran où résidait ma défunte mère», avait-il assuré. Il est un secret de polichinelle que l'ex-patron de l'Energie et des mines possède ou possédait, le presse avait fait état de leur mise en vente avant que n'éclate l'affaire Sonatrach II, deux appartements dans le quartier huppé de Hydra. L'acquisition de ces deux appartements avait fait à une certaine période les choux gras de la presse nationale. Chakib Khellil avait été accusé d'avoir acquis ces biens sans débourser aucun sou. La contrepartie était l'octroi de marchés à des sociétés algériennes et américaines, la réhabilitation et l'équipement des deux tours «Chabani» à Hydra. L'une est devenue le siège du ministère de l'Energie et des Mines. C'était l'une des premières «affaires» de Chakib Khelil. Elle avait été vite étouffée. Les quotidiens qui en avaient parlé dans leurs colonnes ont eu affaire à la justice à travers une plainte en diffamation déposée par l'ex- homme fort du ministère de l'Energie. Des peines de prison fermes ont été requises contre les journalistes et un journal aujourd'hui disparu a été condamné à payer une amende d'un montant faramineux. Le feuilleton Chakib Khellil n'est qu'à ses débuts. La justice algérienne est déterminée à lever toutes les zones d'ombre qui entourent cette affaire dite «Sonatrach II», sans précipitation comme l'a suggéré le procureur général de la cour d'Alger.