Ni l'insistance du président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, ni le désir du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ni même les appels pressants des supporters n'ont pu faire changer d'avis Vahid Halilhodzic qui ne tient pas à continuer l'aventure à la tête des Verts. Ni l'insistance du président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, ni le désir du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ni même les appels pressants des supporters n'ont pu faire changer d'avis Vahid Halilhodzic qui ne tient pas à continuer l'aventure à la tête des Verts. Malgré, donc, les pétitions des supporters réclamant son maintien à barre technique des Verts, l'entraîneur bosnien, Vahid Halilhodzic, quittera bel et bien l'Algérie. Le technicien a refusé catégoriquement toute proposition de la part de la Fédération algérienne de football. Pour cet entraîneur, la décision est irrévocable. En dépit du désir exprimé par le président, Abdelaziz Bouteflika, Vahid Halilhodzic a décidé de mettre un terme à son aventure avec les Algériens. Il était d'ailleurs pressé de quitter l'Algérie pour retourner en France sans retour. Pour cet entraîneur, la page de l'Algérie a été déjà tournée et une autre s'ouvrira incessamment pour lui. Vahid sera bel et bien l'entraîneur du club turc de Trabzonspor. En guise de protestation contre le départ de Vahid Halilhodzic des hackers ont piraté le site de cette instance nationale tout en refusant l'arrivée de Christian Gourcuff. Avant de quitter le pays, l'entraîneur Vahid Halilhodzic a tenu d'abord à saluer, pour une toute dernière fois, ses collaborateurs et les joueurs avec lesquels il a vécu trois années. Un départ pas comme les autres L'entraîneur Vahid Halilhodzic a quitté l'Algérie pour un aller sans retour. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce départ est plein d'émotion. Jamais les supporters algériens n'ont connu une telle relation avec un coach. Les larmes versées par ce sélectionneur, après la qualification face à la Russie puis après l'élimination face à l'Allemagne à l'issue d'un rendez-vous héroïque, ont ému les Algériens reconnaissants envers l'entraîneur qui a su insuffler aux Fennecs la manière de jouer et surtout de gagner. Une chose est sûre, cet entraîneur n'avait jamais jugé utile de rester. L'insistance de Mohamed Raouraoua entamée même avant le début du Mondial n'a finalement riens changé. Il sait pertinemment bien qu'il n'aura pas autant d'engouement en poursuivant son aventure à la tête des Fennecs, l'entraîneur Vahid Halilhodzic a choisi de changer d'air. Malgré l'appel de tout un peuple, ce technicien ne s'est jamais manifesté pour rester. Relation tendue avec la presse Parmi les raisons qui ont motivé le départ de l'entraîneur bosnien, Vahid Halilhodzic, il y a sa relation tendue avec la presse algérienne. Il a été beaucoup critiqué au début, soit avant les éliminations pour la Coupe du monde. Vahid Halilhodzic a vécu trois années sous une forte pression de la presse. « J'était toujours critiqué par la presse algérienne. Quel que soit le résultat, je n'ai jamais eu une reconnaissance de votre part », s'adresse-til à la presse nationale lors des ses points de presse tenus à Alger. Certes, au début il n'a pas eu un accueil chaleureux de la part de la presse algérienne qui le critiquait ouvertement, mais au fur et à mesure les choses ont changé. Malgré cela, l'entraîneur bosnien, Vahid Halilhodzic, refuse de rester et confirme qu'il ne veut plus travailler en Algérie. « Là où je part, il m'ont proposé un salaire qui dépasse quatre fois celui de l'Algérie », a-t-il avoué. Avec la sélection algérienne, Vahid Halilhodzic, signalons-le, percevait un salaire de 65.000 euros, soit 780.000 par an, sans compter bien évidemment les primes. L'Algérie n'a pas vraiment besoin de passer par mille et un chemins pour convaincre cet entraîneur qui n'a jamais émis son envie de continuer. Malgré, donc, les pétitions des supporters réclamant son maintien à barre technique des Verts, l'entraîneur bosnien, Vahid Halilhodzic, quittera bel et bien l'Algérie. Le technicien a refusé catégoriquement toute proposition de la part de la Fédération algérienne de football. Pour cet entraîneur, la décision est irrévocable. En dépit du désir exprimé par le président, Abdelaziz Bouteflika, Vahid Halilhodzic a décidé de mettre un terme à son aventure avec les Algériens. Il était d'ailleurs pressé de quitter l'Algérie pour retourner en France sans retour. Pour cet entraîneur, la page de l'Algérie a été déjà tournée et une autre s'ouvrira incessamment pour lui. Vahid sera bel et bien l'entraîneur du club turc de Trabzonspor. En guise de protestation contre le départ de Vahid Halilhodzic des hackers ont piraté le site de cette instance nationale tout en refusant l'arrivée de Christian Gourcuff. Avant de quitter le pays, l'entraîneur Vahid Halilhodzic a tenu d'abord à saluer, pour une toute dernière fois, ses collaborateurs et les joueurs avec lesquels il a vécu trois années. Un départ pas comme les autres L'entraîneur Vahid Halilhodzic a quitté l'Algérie pour un aller sans retour. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ce départ est plein d'émotion. Jamais les supporters algériens n'ont connu une telle relation avec un coach. Les larmes versées par ce sélectionneur, après la qualification face à la Russie puis après l'élimination face à l'Allemagne à l'issue d'un rendez-vous héroïque, ont ému les Algériens reconnaissants envers l'entraîneur qui a su insuffler aux Fennecs la manière de jouer et surtout de gagner. Une chose est sûre, cet entraîneur n'avait jamais jugé utile de rester. L'insistance de Mohamed Raouraoua entamée même avant le début du Mondial n'a finalement riens changé. Il sait pertinemment bien qu'il n'aura pas autant d'engouement en poursuivant son aventure à la tête des Fennecs, l'entraîneur Vahid Halilhodzic a choisi de changer d'air. Malgré l'appel de tout un peuple, ce technicien ne s'est jamais manifesté pour rester. Relation tendue avec la presse Parmi les raisons qui ont motivé le départ de l'entraîneur bosnien, Vahid Halilhodzic, il y a sa relation tendue avec la presse algérienne. Il a été beaucoup critiqué au début, soit avant les éliminations pour la Coupe du monde. Vahid Halilhodzic a vécu trois années sous une forte pression de la presse. « J'était toujours critiqué par la presse algérienne. Quel que soit le résultat, je n'ai jamais eu une reconnaissance de votre part », s'adresse-til à la presse nationale lors des ses points de presse tenus à Alger. Certes, au début il n'a pas eu un accueil chaleureux de la part de la presse algérienne qui le critiquait ouvertement, mais au fur et à mesure les choses ont changé. Malgré cela, l'entraîneur bosnien, Vahid Halilhodzic, refuse de rester et confirme qu'il ne veut plus travailler en Algérie. « Là où je part, il m'ont proposé un salaire qui dépasse quatre fois celui de l'Algérie », a-t-il avoué. Avec la sélection algérienne, Vahid Halilhodzic, signalons-le, percevait un salaire de 65.000 euros, soit 780.000 par an, sans compter bien évidemment les primes. L'Algérie n'a pas vraiment besoin de passer par mille et un chemins pour convaincre cet entraîneur qui n'a jamais émis son envie de continuer.