Les differents protagonistes de la crise malienne ont renoué le dialogue. En effet la réunion de haut niveau de soutien au dialogue intermalien pour le règlement de la crise dans le nord du Mali s'est ouverte hier à Alger. Les differents protagonistes de la crise malienne ont renoué le dialogue. En effet la réunion de haut niveau de soutien au dialogue intermalien pour le règlement de la crise dans le nord du Mali s'est ouverte hier à Alger. En plus du gouvernement malien et des mouvements politico-militaires du Nord-Mali, des organisations internationales en l'occurrence l' UA, la Cedeao, l'Onu, l'UE et l'OCI, tous les pays voisins de ce pays ont pris part aux travaux de cette réunion. Il s'agit ainsi de l'Algérie, du Niger, du Burkina Faso, du Tchad et de la Mauritanie. L'espoir d'une solution à la crise qui secoue ce pays voisin de l'Algérie est désormais permis. Le ministre des Affaires étrangères, Ramatane Lamama, s'est félicité de la réunion qui constitue un cadre de « concertation et de coordination » dédié à l'impulsion du dialogue visant à mettre fin à la crise dans le nord du Mali. La crise dans ce pays limitrophe de l'Algerie a dégénéré en conflit et l'intervention de puissances étrangères à l'exemple de la France pour mettre fin, notamment, à la menace de quelques groupes armés djihadistes. Le ministre malien des Affaires étrangères, de l'intégration africaine et de la coopération internationale, Abdoulaye Diop, qui préside la délégation de son pays à ses pourparlers a salué, dans son allocution, le rôle du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, du gouvernement et du peuple algériens. Il a ainsi mis en exergue les « efforts déployés afin que le Mali retrouve la paix, la stabilité et la prospérité », tout en réitérant la confiance du président malien Ibrahim Boubacar Keita en l'Algérie et en ses institutions pour «le travail considérable qu'ils sont en train d'accomplir au profit de la République du Mali». Lors de l'ouverture des travaux de la 5e session du Comité bilatéral stratégique algéro-malien sur le Nord-Mali, mardi dernier, le chef de la diplomatie malienne a exprimé l'engagement et la détermination du gouvernement malien « à aller dans ces pourparlers de bonne foi, dans un esprit ouvert et confiant pour aboutir à un accord de paix global et définitif avec nos frères qui opèrent dans le Nord-Mali pour proposer à nos compatriotes un vivre ensemble et un projet commun ». Les négociations promettent d'être ardues, mais les belligérants ont fait montre de leur volonté d'aller de l'avant pour consacrer la paix dans ce pays martyrisé par la violence. Pour preuve à la veille de cette réunion d'Alger les six mouvements politico-militaires du Nord-Mali, ont procédé, sous l'égide de l'Algerie, à un échange de prisonniers. Cette opération consistait en la libération par les mouvements du nord du Mali de 45 personnes (entre civils et militaires) relevant du gouvernement malien et 42 membres et sympathisants maliens des mouvements politico-militaires. « Nous nous réjouissons que cette opération soit intervenue au cours du mois sacré du Ramadhan et à la veille de l'ouverture des négociations sur l'avenir du Mali »a indiqué le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra. Tous les mouvements de l'Azawad se sont engagés pour l'intégrité territoriale et de l'unité nationale du Mali. Il faut reconnaître à la diplomatie algérienne le mérite d'avoir réussi à relancer le dialogue entre les protagonistes de la crise malienne. Un mérite reconnu par la communauté internationale. En plus du gouvernement malien et des mouvements politico-militaires du Nord-Mali, des organisations internationales en l'occurrence l' UA, la Cedeao, l'Onu, l'UE et l'OCI, tous les pays voisins de ce pays ont pris part aux travaux de cette réunion. Il s'agit ainsi de l'Algérie, du Niger, du Burkina Faso, du Tchad et de la Mauritanie. L'espoir d'une solution à la crise qui secoue ce pays voisin de l'Algérie est désormais permis. Le ministre des Affaires étrangères, Ramatane Lamama, s'est félicité de la réunion qui constitue un cadre de « concertation et de coordination » dédié à l'impulsion du dialogue visant à mettre fin à la crise dans le nord du Mali. La crise dans ce pays limitrophe de l'Algerie a dégénéré en conflit et l'intervention de puissances étrangères à l'exemple de la France pour mettre fin, notamment, à la menace de quelques groupes armés djihadistes. Le ministre malien des Affaires étrangères, de l'intégration africaine et de la coopération internationale, Abdoulaye Diop, qui préside la délégation de son pays à ses pourparlers a salué, dans son allocution, le rôle du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, du gouvernement et du peuple algériens. Il a ainsi mis en exergue les « efforts déployés afin que le Mali retrouve la paix, la stabilité et la prospérité », tout en réitérant la confiance du président malien Ibrahim Boubacar Keita en l'Algérie et en ses institutions pour «le travail considérable qu'ils sont en train d'accomplir au profit de la République du Mali». Lors de l'ouverture des travaux de la 5e session du Comité bilatéral stratégique algéro-malien sur le Nord-Mali, mardi dernier, le chef de la diplomatie malienne a exprimé l'engagement et la détermination du gouvernement malien « à aller dans ces pourparlers de bonne foi, dans un esprit ouvert et confiant pour aboutir à un accord de paix global et définitif avec nos frères qui opèrent dans le Nord-Mali pour proposer à nos compatriotes un vivre ensemble et un projet commun ». Les négociations promettent d'être ardues, mais les belligérants ont fait montre de leur volonté d'aller de l'avant pour consacrer la paix dans ce pays martyrisé par la violence. Pour preuve à la veille de cette réunion d'Alger les six mouvements politico-militaires du Nord-Mali, ont procédé, sous l'égide de l'Algerie, à un échange de prisonniers. Cette opération consistait en la libération par les mouvements du nord du Mali de 45 personnes (entre civils et militaires) relevant du gouvernement malien et 42 membres et sympathisants maliens des mouvements politico-militaires. « Nous nous réjouissons que cette opération soit intervenue au cours du mois sacré du Ramadhan et à la veille de l'ouverture des négociations sur l'avenir du Mali »a indiqué le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra. Tous les mouvements de l'Azawad se sont engagés pour l'intégrité territoriale et de l'unité nationale du Mali. Il faut reconnaître à la diplomatie algérienne le mérite d'avoir réussi à relancer le dialogue entre les protagonistes de la crise malienne. Un mérite reconnu par la communauté internationale.