Le Forum économique mondial a publié son rapport 2014-2015 sur la compétitivité dans le monde. Maurice (39e) conserve la palme du pays le plus compétitif d'Afrique devant l'Afrique du Sud (56e), le Rwanda (62e) et le Maroc (72e). L'Algérie (79e) a enregistré une évolution de 29 % depuis 2013, Le Forum économique mondial a publié son rapport 2014-2015 sur la compétitivité dans le monde. Maurice (39e) conserve la palme du pays le plus compétitif d'Afrique devant l'Afrique du Sud (56e), le Rwanda (62e) et le Maroc (72e). L'Algérie (79e) a enregistré une évolution de 29 % depuis 2013, Le Forum économique mondial (WEF) vient de publier l'édition 2014-2015 de son Rapport global sur la compétitivité, résultat d'enquêtes réalisées auprès de 15.000 chefs d'entreprise dans 144 pays. Le niveau de compétitivité d'un pays est estimé en fonction d'une centaine d'indicateurs rassemblés en douze "piliers", parmi lesquels : la qualité des institutions, les infrastructures, la santé, l'enseignement et la formation professionnelle, l'efficacité des marchés financiers, la maturité technologique et la taille de l'économie, rapporte Jeune Afrique. D'après ce rapport 2014, la santé de l'économie mondiale est en danger. Les pays peinent à mettre en oeuvre les réformes structurelles nécessaires pour favoriser la croissance, qui constitue le principal défi actuel. Il met également en exergue l'innovation et la gestion des talents comme deux domaines dans lesquels les leaders des secteurs public et privé doivent mieux collaborer pour réussir un "développement économique, durable et inclusif". Dans le classement de l'Indice mondial de compétitivité (GCI), la Suisse conserve la 1re place pour la sixième année consécutive, Singapour reste deuxième et les Etats-Unis accrochent la troisième place, grâce notamment à des gains en matière d'innovation et de gouvernance. Le rapport insiste sur la bonne santé de l'Afrique subsaharienne, qui continue d'enregistrer des taux de croissance "impressionnants" (proches de 5 %). Pour conserver cet élan, préconise néanmoins le WEF la région devra prioriser l'éducation, l'infrastructure et la connectivité, qui continuent d'entraver son développement. Le rapport invite aussi le continent à s'engager dans des activités à plus forte valeur ajoutée et plus productives. Seules 4 économies subsahariennes, Maurice (39e), l'Afrique du Sud (56e), le Rwanda (62e) et le Maroc (72e) se placent dans la première moitié du classement. Le Botswana (74e), l'Algérie (79e) a enregistré une évolution de 29 % depuis 2013, la Tunisie (87e), la Namibie (88e), le Kenya (90e) et la Zambie (96e) complètent le podium du Top 10 africain. À noter la progression spectaculaire de l'Algérie qui gagne 29 places à l'échelle mondiale tandis que le Nigéria (127e), la première économie africaine, régresse et demeure dans les tréfonds du classemen. Le Forum économique mondial (WEF) vient de publier l'édition 2014-2015 de son Rapport global sur la compétitivité, résultat d'enquêtes réalisées auprès de 15.000 chefs d'entreprise dans 144 pays. Le niveau de compétitivité d'un pays est estimé en fonction d'une centaine d'indicateurs rassemblés en douze "piliers", parmi lesquels : la qualité des institutions, les infrastructures, la santé, l'enseignement et la formation professionnelle, l'efficacité des marchés financiers, la maturité technologique et la taille de l'économie, rapporte Jeune Afrique. D'après ce rapport 2014, la santé de l'économie mondiale est en danger. Les pays peinent à mettre en oeuvre les réformes structurelles nécessaires pour favoriser la croissance, qui constitue le principal défi actuel. Il met également en exergue l'innovation et la gestion des talents comme deux domaines dans lesquels les leaders des secteurs public et privé doivent mieux collaborer pour réussir un "développement économique, durable et inclusif". Dans le classement de l'Indice mondial de compétitivité (GCI), la Suisse conserve la 1re place pour la sixième année consécutive, Singapour reste deuxième et les Etats-Unis accrochent la troisième place, grâce notamment à des gains en matière d'innovation et de gouvernance. Le rapport insiste sur la bonne santé de l'Afrique subsaharienne, qui continue d'enregistrer des taux de croissance "impressionnants" (proches de 5 %). Pour conserver cet élan, préconise néanmoins le WEF la région devra prioriser l'éducation, l'infrastructure et la connectivité, qui continuent d'entraver son développement. Le rapport invite aussi le continent à s'engager dans des activités à plus forte valeur ajoutée et plus productives. Seules 4 économies subsahariennes, Maurice (39e), l'Afrique du Sud (56e), le Rwanda (62e) et le Maroc (72e) se placent dans la première moitié du classement. Le Botswana (74e), l'Algérie (79e) a enregistré une évolution de 29 % depuis 2013, la Tunisie (87e), la Namibie (88e), le Kenya (90e) et la Zambie (96e) complètent le podium du Top 10 africain. À noter la progression spectaculaire de l'Algérie qui gagne 29 places à l'échelle mondiale tandis que le Nigéria (127e), la première économie africaine, régresse et demeure dans les tréfonds du classemen.