Le mois de février sera très chaud pour Nouria Benghebrit la ministre de l'Education nationale. Pas moins de sept syndicat de l'éducation nationale ont déclaré la guerre à la première responsable du secteur. Le mois de février sera très chaud pour Nouria Benghebrit la ministre de l'Education nationale. Pas moins de sept syndicat de l'éducation nationale ont déclaré la guerre à la première responsable du secteur. C'est la Coordination des syndicats de l'éducation qui devrait commencer le cycle de la protesta. Le syndicat a déposé un préavis de grève pour les 10 et 11 février. Juste après ce sera au tour du Cnapest de débrayer pour une journée renouvelable à compter du 16 février. La raison de cette levée de boucliers contre Nouria Benghebrit, il faut les chercher dans la non prise en charge des revendicationssocio-professionnelles des enseignants par le ministère. Les syndicats à savoir le Snapest, le Cla, le SNTE, le Snapep, le Satef, l'UNPEF et le Snapap, qui ont lancé des préavis de grève menacent d'aller au durcissement et d'élargir le mouvement de contestation, si leurs revendications socioprofessionnelles ne sont pas totalement prises en charge,et tiennent d'ores déjà la tutelle comme responsable du pourrissement actuel et exhortent l'ensemble des fonctionnaires et des travailleurs du secteur de l'éducation à se mobiliser et à répondre massivement à cet appel. La tutelle n'est pas resté sourde aux « menaces » des syndicats. Le département de Nouria Benghebrit a réagi promptement pour « contenir » l'ire des syndicalistes en leur rappelant l'obligation de respecter les procédures en matière de conflits sociaux. Dans un communiqué rendu public, dimanche aprèsmidi, son département affirme avoir pris connaissance de l'imminence de mouvements de protestations « par voie de presse » et grâce à un fax reçu le 27 janvier dernier. Le ministère, s'adressant aux partenaires sociaux, rappelle que toute grève ne pouvait avoir lieu sans la tenue préalable d'une réunion de conciliation conformément aux textes régissant les conflits sociaux. Toutefois, le ministère fait part de sa disposition à discuter avec les partenaires sociaux, mais de manière « individuelle ». Ce sera, si les syndicats de l'éducation nationale mettent à exécution leur menace de grève, un retour à la contestation dans le secteur qui n'en finit pas d'être perturbé par des grèves cycliques à l'approche des examens trimestriels ou de fin d'année. Les « sujets » de désaccord entre les syndicats et le ministère de tutelle sont répertoriés et discutés. Des engagements ont été pris de part et d'autres pour que le secteur de l'éducation nationale retrouve toute sa sérénité. Il reste que certaines revendications exprimées par les syndicalistes ne sont pas encore satisfaites par le département de Nouria Benghebrit. Des revendications qui vont au-delà des « pouvoirs » de la ministre et qui l'a fait savoir aux protestataires. Nouria Benghebrit peine à faire entendre raison à ces derniers qui campent sur leurs positions et exigent une réponse aux « restes » des revendications en suspens tels que la rectification des incohérences du statut particulier, le dossier des enseignants dits « en voie d'extinction », la médecine du travail, le logement de fonction et la retraite après 25 années de service. Sombres perspectives pour l'éducation nationale si les menaces brandies par les syndicats sont mises à exécution. Le secteur sombre dans des « perturbations » cycliques, notamment à l'approche des dates des examens trimestriels ou des périodes de fin d'année. S'agit-il d'un « moyen » de pression dont se dotent les syndicalistes pour faire aboutir leurs revendications socio-professionnelles, sans prendre en compte les intérêts des élèves dont ils ont la charge. C'est la Coordination des syndicats de l'éducation qui devrait commencer le cycle de la protesta. Le syndicat a déposé un préavis de grève pour les 10 et 11 février. Juste après ce sera au tour du Cnapest de débrayer pour une journée renouvelable à compter du 16 février. La raison de cette levée de boucliers contre Nouria Benghebrit, il faut les chercher dans la non prise en charge des revendicationssocio-professionnelles des enseignants par le ministère. Les syndicats à savoir le Snapest, le Cla, le SNTE, le Snapep, le Satef, l'UNPEF et le Snapap, qui ont lancé des préavis de grève menacent d'aller au durcissement et d'élargir le mouvement de contestation, si leurs revendications socioprofessionnelles ne sont pas totalement prises en charge,et tiennent d'ores déjà la tutelle comme responsable du pourrissement actuel et exhortent l'ensemble des fonctionnaires et des travailleurs du secteur de l'éducation à se mobiliser et à répondre massivement à cet appel. La tutelle n'est pas resté sourde aux « menaces » des syndicats. Le département de Nouria Benghebrit a réagi promptement pour « contenir » l'ire des syndicalistes en leur rappelant l'obligation de respecter les procédures en matière de conflits sociaux. Dans un communiqué rendu public, dimanche aprèsmidi, son département affirme avoir pris connaissance de l'imminence de mouvements de protestations « par voie de presse » et grâce à un fax reçu le 27 janvier dernier. Le ministère, s'adressant aux partenaires sociaux, rappelle que toute grève ne pouvait avoir lieu sans la tenue préalable d'une réunion de conciliation conformément aux textes régissant les conflits sociaux. Toutefois, le ministère fait part de sa disposition à discuter avec les partenaires sociaux, mais de manière « individuelle ». Ce sera, si les syndicats de l'éducation nationale mettent à exécution leur menace de grève, un retour à la contestation dans le secteur qui n'en finit pas d'être perturbé par des grèves cycliques à l'approche des examens trimestriels ou de fin d'année. Les « sujets » de désaccord entre les syndicats et le ministère de tutelle sont répertoriés et discutés. Des engagements ont été pris de part et d'autres pour que le secteur de l'éducation nationale retrouve toute sa sérénité. Il reste que certaines revendications exprimées par les syndicalistes ne sont pas encore satisfaites par le département de Nouria Benghebrit. Des revendications qui vont au-delà des « pouvoirs » de la ministre et qui l'a fait savoir aux protestataires. Nouria Benghebrit peine à faire entendre raison à ces derniers qui campent sur leurs positions et exigent une réponse aux « restes » des revendications en suspens tels que la rectification des incohérences du statut particulier, le dossier des enseignants dits « en voie d'extinction », la médecine du travail, le logement de fonction et la retraite après 25 années de service. Sombres perspectives pour l'éducation nationale si les menaces brandies par les syndicats sont mises à exécution. Le secteur sombre dans des « perturbations » cycliques, notamment à l'approche des dates des examens trimestriels ou des périodes de fin d'année. S'agit-il d'un « moyen » de pression dont se dotent les syndicalistes pour faire aboutir leurs revendications socio-professionnelles, sans prendre en compte les intérêts des élèves dont ils ont la charge.