C'est l'« ébullition » au sein des syndicats de l'Education nationale et du ministère de tutelle. Une course contre la montre pour Nouria Benghebrit afin d'éviter la grève qui s'annonce dans son secteur. C'est l'« ébullition » au sein des syndicats de l'Education nationale et du ministère de tutelle. Une course contre la montre pour Nouria Benghebrit afin d'éviter la grève qui s'annonce dans son secteur. Les syndicalistes, eux, ne comptent pas abandonner le terrain, notamment, le Syndicat national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) qui a réitéré son appel à une grève mardi et mercredi prochains. Il lance son appel « à l'ensemble des enseignants et travailleurs du secteur de l'éducation à prendre part à la grève d'avertissement » prévue les 10 et 11 février 2015. « Nous renouvelons notre appel à l'ensemble des enseignants et travailleurs du secteur, tous corps confondus, à prendre part massivement à la grève d'avertissement à laquelle a appelé la coordination syndicale conjointement avec notre syndicat, les 10 et 11 février », a indiqué le Snapest dans un communiqué. Il a précisé que ce pas « sera ponctué d'assemblées générales durant les deux jours de la grève pour définir les perspectives futures du mouvement de protestation ». Pour autant la première responsable de l'Education nationale affirme que « les voies du dialogue sont encore ouvertes ». La ministre de l'Education, Nouria Benghebrit, avait appelé, jeudi dernier, les partenaires sociaux à « ne pas perdre espoir » pour trouver des solutions aux revendications socioprofessionnelles, les exhortant à élaborer « une charte entre les deux parties afin de clore ce dossier définitivement ». Un dossier « sensible » où chacune des parties campe sur ses positions. La ministre de l'Education avait, récemment, déploré le recours « machinal » des syndicats à la grève malgré « une volonté réelle » de la tutelle de régler les problèmes liés aux ressources humaines du secteur. « Le règlement des problèmes soulevés nécessite du temps, eu égard aux initiatives et aux mesures qu'il implique, nécessitant dans certains cas l'ouverture d'enquête », a reconnu, Nouria Benghebrit précisant qu'il ne s'agissait en aucun cas de « négligence». Le 25 janvier dernier, la Coordination des syndicats de l'Education nationale (CSE), réunie à Alger, avait réitéré son appel à une révision des statuts des différents corps de l'éducation nationale dans un souci d' « équité et de justice » en matière de classement, de promotion et de réintégration. Il appelle également le département de Nouria Benghebrit à revoir les statuts des corps de l'Education nationale pour veiller à l'équité entre les corps et paliers dans le classement, la promotion, l'intégration et les grades nouvellement créés. La CSE appelle, également, à la promotion systématique des personnels et travailleurs du secteur de l'éducation durant leur carrière professionnelle, la récupération des instituts de technologie pour leur exploitation dans la formation spécialisée et l'élargissement du réseau national des écoles supérieures des enseignants. Il est à rappeler que la CSE regroupe sept syndicats, en l'occurrence le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), le Conseil national élargi des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapeste), l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), le Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), le Syndicat national des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), le Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap) outre le Syndicat du conseil des lycées d'Alger (CLA-non agréé). Le groupement formant la CSE demande l'élargissement des primes et allocations propres aux corps de l'éducation aux personnels des services économiques et laboratoires ainsi que l'amélioration des conditions socioprofessionnelles des personnels et travailleurs des corps communs et des agents de sécurité. La CSE revendique, également, une augmentation des heures supplémentaires et des heures de soutien, ainsi que le règlement définitif du dossier des auxiliaires de l'éducation. Les syndicalistes, eux, ne comptent pas abandonner le terrain, notamment, le Syndicat national des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) qui a réitéré son appel à une grève mardi et mercredi prochains. Il lance son appel « à l'ensemble des enseignants et travailleurs du secteur de l'éducation à prendre part à la grève d'avertissement » prévue les 10 et 11 février 2015. « Nous renouvelons notre appel à l'ensemble des enseignants et travailleurs du secteur, tous corps confondus, à prendre part massivement à la grève d'avertissement à laquelle a appelé la coordination syndicale conjointement avec notre syndicat, les 10 et 11 février », a indiqué le Snapest dans un communiqué. Il a précisé que ce pas « sera ponctué d'assemblées générales durant les deux jours de la grève pour définir les perspectives futures du mouvement de protestation ». Pour autant la première responsable de l'Education nationale affirme que « les voies du dialogue sont encore ouvertes ». La ministre de l'Education, Nouria Benghebrit, avait appelé, jeudi dernier, les partenaires sociaux à « ne pas perdre espoir » pour trouver des solutions aux revendications socioprofessionnelles, les exhortant à élaborer « une charte entre les deux parties afin de clore ce dossier définitivement ». Un dossier « sensible » où chacune des parties campe sur ses positions. La ministre de l'Education avait, récemment, déploré le recours « machinal » des syndicats à la grève malgré « une volonté réelle » de la tutelle de régler les problèmes liés aux ressources humaines du secteur. « Le règlement des problèmes soulevés nécessite du temps, eu égard aux initiatives et aux mesures qu'il implique, nécessitant dans certains cas l'ouverture d'enquête », a reconnu, Nouria Benghebrit précisant qu'il ne s'agissait en aucun cas de « négligence». Le 25 janvier dernier, la Coordination des syndicats de l'Education nationale (CSE), réunie à Alger, avait réitéré son appel à une révision des statuts des différents corps de l'éducation nationale dans un souci d' « équité et de justice » en matière de classement, de promotion et de réintégration. Il appelle également le département de Nouria Benghebrit à revoir les statuts des corps de l'Education nationale pour veiller à l'équité entre les corps et paliers dans le classement, la promotion, l'intégration et les grades nouvellement créés. La CSE appelle, également, à la promotion systématique des personnels et travailleurs du secteur de l'éducation durant leur carrière professionnelle, la récupération des instituts de technologie pour leur exploitation dans la formation spécialisée et l'élargissement du réseau national des écoles supérieures des enseignants. Il est à rappeler que la CSE regroupe sept syndicats, en l'occurrence le Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), le Conseil national élargi des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Cnapeste), l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), le Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), le Syndicat national des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), le Syndicat national autonome des personnels de l'administration publique (Snapap) outre le Syndicat du conseil des lycées d'Alger (CLA-non agréé). Le groupement formant la CSE demande l'élargissement des primes et allocations propres aux corps de l'éducation aux personnels des services économiques et laboratoires ainsi que l'amélioration des conditions socioprofessionnelles des personnels et travailleurs des corps communs et des agents de sécurité. La CSE revendique, également, une augmentation des heures supplémentaires et des heures de soutien, ainsi que le règlement définitif du dossier des auxiliaires de l'éducation.