Des dizaines d'habitants de Benchoud dans l'est de la wilaya de Boumerdès ont fermé, hier, la RN 25, pour protester contre la prolifération des décharges sauvages. Faute d'une décharge contrôlée dans la région, les familles jettent leurs ordures ménagères à même la chaussée. "Même des passants et etrangers à la localité jettent leurs détritus ici", affirme un protestataire. Des dizaines d'habitants de Benchoud dans l'est de la wilaya de Boumerdès ont fermé, hier, la RN 25, pour protester contre la prolifération des décharges sauvages. Faute d'une décharge contrôlée dans la région, les familles jettent leurs ordures ménagères à même la chaussée. "Même des passants et etrangers à la localité jettent leurs détritus ici", affirme un protestataire. Des odeurs nauséabondes se dégagent notamment en ces jours de grandes chaleurs, même des estivants se rendant à la plage de Dellys jetent partout leurs détritus. L'incivisme règne en roi. Cette action de protestation a paralysé le trafic routier dans cette région prisée en cette période de l'année car plusieurs dizaines de citoyens partent vers les plages de Dellys et Afir. La circulation routière n'a été libérée que trois heures plus tard. Les actions de protestation de ce genre se sont multipliées dans la wilaya en raison des retards mis dans la réalisation des centres d'enfouissement techniques (CET), notamment à Zemmouri et le non lancement des projets de plusieurs déchargés contrôlées à l'exemple de celle de Chabet-El-Ameur. Des odeurs nauséabondes se dégagent notamment en ces jours de grandes chaleurs, même des estivants se rendant à la plage de Dellys jetent partout leurs détritus. L'incivisme règne en roi. Cette action de protestation a paralysé le trafic routier dans cette région prisée en cette période de l'année car plusieurs dizaines de citoyens partent vers les plages de Dellys et Afir. La circulation routière n'a été libérée que trois heures plus tard. Les actions de protestation de ce genre se sont multipliées dans la wilaya en raison des retards mis dans la réalisation des centres d'enfouissement techniques (CET), notamment à Zemmouri et le non lancement des projets de plusieurs déchargés contrôlées à l'exemple de celle de Chabet-El-Ameur.