Les Algériens dans leur majorité n'ont pas opté pour de grandes vacances. Parmi ceux qui ne disposent pas assez de revenus, ils préfèrent les plages locales alors que d'autres choissent de travailler malgré eux. Les Algériens dans leur majorité n'ont pas opté pour de grandes vacances. Parmi ceux qui ne disposent pas assez de revenus, ils préfèrent les plages locales alors que d'autres choissent de travailler malgré eux. Selon une étude de l'expert Kamel, il y aurait 80% des Algériens qui resteraient au pays et qui n'optent pour aucune destination. Motif : salaires trop bas et absence d'un budget vacances à l'étranger. Ces classes sociales qui ne disposent pas de revenus solides ont en majorité un trait commun. Ils considèrent que les frais de visas et la réservation dans les hôtels onéreux par rapport à ce qu'ils perçoivent. En moyenne, un salaire qui oscille entre 25.000 et 35.000 DA ne peut favoriser ces personnes à des déplacements à l'étranger. De plus le coût élevé de la vie est un frein pour les grandes vacances de l'été. Il y a dans cette logique, une tendance à poursuivre ses activités ou de trouver des opportunités pour « faire des petites affaires » pour arrondir les fins de mois difficiles. D'autres choisissent les plages bondés le week-end histoire d'une brève détente ou d'un moment d'évasion. On est loin d'un séjour à Ibiza en Espagne ou une promenade à Istanbul. Le rêve n'est pas permis pour ces petites bourses. Alors il ne reste que les plages. La côte algéroise qui voit se déverser un rush continuel de familles est l'indice qui conforte que les plages sont l'échappatoire à un été de canicule. En moyenne selon les statistiques du ministère du Tourisme, il y a près de 2 millions d'estivants qui partent vers les plages durant l'été en Algérie. Cette année, ils seront davantage nombreux à fréquenter les côtes étant donné que le pic des grosses chaleurs va se poursuivre durant ce mois d'août. Il y a ceux qui ménagent leurs montures pou se déplacer vers des endroits où il fait bon vivre comme à Bejaia réputée pour ses stations balnéaires comme ceux d'Aokas et Tichy ou Boulimat. Il y a également la côte oranaise au complexe des Andalouses complètement rénové, l'Eden plage et Bousfer qui restent les plus fréquentées. A l'est du pays, Jijel, Skikda et Annaba font le plein des estivants qui viennent de partout et surtout du Sud pour échapper à uns soleil de plomb toute la journée. Mais cette tendance a ses coûts. A Béjaia à titre d'exemple il faut un minimum de 45.000 DA pour louer un appartement F2 pour deux personnes pour un séjour d'un mois et les loyers proposés montent en flèche pour les bungalows spacieux disposant de toutes les commodités. Ils y ceux qui louent pour une somme de 200.000 DA et trouvent leurs clientèles parmi les couches aisées ou les immigrés qui viennent pour des séjours de détente dans leur pays d'origine. Cet été, tous les appartements et villas dans les villes côtières du Centre sont déjà loués et affichent complet pour les retardataires. Il y a ceux qui préfèrent attendre la rentrée pou quêter u moment d'évasion avec des prix qui seront revus à la baisse. Pour ceux qui ont un lien familial dans ces régions, c'est le moment idéal pour prendre des congés afin de prendre le large dans ces côtes. Les camps de vacances pour les enfants commencent à refleurir. Les entreprises nationales organisent pour la progéniture de leurs employés des séjours qui n'excèdent pas les 15 jours dans des endroits bien sécurisés. Une aubaine pour ces salariés qui ne s'acquittent que d'une cotisation dérisoire pour le bonheur de leurs enfants près de la mer. Selon une étude de l'expert Kamel, il y aurait 80% des Algériens qui resteraient au pays et qui n'optent pour aucune destination. Motif : salaires trop bas et absence d'un budget vacances à l'étranger. Ces classes sociales qui ne disposent pas de revenus solides ont en majorité un trait commun. Ils considèrent que les frais de visas et la réservation dans les hôtels onéreux par rapport à ce qu'ils perçoivent. En moyenne, un salaire qui oscille entre 25.000 et 35.000 DA ne peut favoriser ces personnes à des déplacements à l'étranger. De plus le coût élevé de la vie est un frein pour les grandes vacances de l'été. Il y a dans cette logique, une tendance à poursuivre ses activités ou de trouver des opportunités pour « faire des petites affaires » pour arrondir les fins de mois difficiles. D'autres choisissent les plages bondés le week-end histoire d'une brève détente ou d'un moment d'évasion. On est loin d'un séjour à Ibiza en Espagne ou une promenade à Istanbul. Le rêve n'est pas permis pour ces petites bourses. Alors il ne reste que les plages. La côte algéroise qui voit se déverser un rush continuel de familles est l'indice qui conforte que les plages sont l'échappatoire à un été de canicule. En moyenne selon les statistiques du ministère du Tourisme, il y a près de 2 millions d'estivants qui partent vers les plages durant l'été en Algérie. Cette année, ils seront davantage nombreux à fréquenter les côtes étant donné que le pic des grosses chaleurs va se poursuivre durant ce mois d'août. Il y a ceux qui ménagent leurs montures pou se déplacer vers des endroits où il fait bon vivre comme à Bejaia réputée pour ses stations balnéaires comme ceux d'Aokas et Tichy ou Boulimat. Il y a également la côte oranaise au complexe des Andalouses complètement rénové, l'Eden plage et Bousfer qui restent les plus fréquentées. A l'est du pays, Jijel, Skikda et Annaba font le plein des estivants qui viennent de partout et surtout du Sud pour échapper à uns soleil de plomb toute la journée. Mais cette tendance a ses coûts. A Béjaia à titre d'exemple il faut un minimum de 45.000 DA pour louer un appartement F2 pour deux personnes pour un séjour d'un mois et les loyers proposés montent en flèche pour les bungalows spacieux disposant de toutes les commodités. Ils y ceux qui louent pour une somme de 200.000 DA et trouvent leurs clientèles parmi les couches aisées ou les immigrés qui viennent pour des séjours de détente dans leur pays d'origine. Cet été, tous les appartements et villas dans les villes côtières du Centre sont déjà loués et affichent complet pour les retardataires. Il y a ceux qui préfèrent attendre la rentrée pou quêter u moment d'évasion avec des prix qui seront revus à la baisse. Pour ceux qui ont un lien familial dans ces régions, c'est le moment idéal pour prendre des congés afin de prendre le large dans ces côtes. Les camps de vacances pour les enfants commencent à refleurir. Les entreprises nationales organisent pour la progéniture de leurs employés des séjours qui n'excèdent pas les 15 jours dans des endroits bien sécurisés. Une aubaine pour ces salariés qui ne s'acquittent que d'une cotisation dérisoire pour le bonheur de leurs enfants près de la mer.