Djamel Ould Abbès a réaffirmé, hier, son soutien pour un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika. "En 2004, quand je vous ai parlé du quatrième mandat, vous avez rigolé. Sauf qu'on a une vision (au FLN)", a rappelé le secrétaire général du FLN à la presse en marge d'une rencontre avec la direction du parti islamiste El Islah. Djamel Ould Abbès a réaffirmé, hier, son soutien pour un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika. "En 2004, quand je vous ai parlé du quatrième mandat, vous avez rigolé. Sauf qu'on a une vision (au FLN)", a rappelé le secrétaire général du FLN à la presse en marge d'une rencontre avec la direction du parti islamiste El Islah. "Tant qu'on est au pouvoir et en 2019, on sera inchallah toujours au pouvoir, notre candidat, et donc celui qui va gagner, sera le président du parti s'il accepte", a-t-il ajouté. Questionné sur la réponse ambiguë d'Ahmed Ouyahia en ce qui concerne 2019 et le cinquième mandat, Djamel Ould Abbès a évoqué la nécessité de "reconnaître le bienfait par le président Bouteflika à de nombreuses personnes dont certaines ont fini par se retourner contre lui. Quand il s'agit de quelqu'un à qui le Président a fait du bien et l'a sorti de l'ombre en 1999 et qui est en train de tenter de prendre sa place, c'est inacceptable du point de vue de l'éthique", a-t-il lâché. "Dans notre éducation et nos coutumes, il y a le respect. Obéissez à Dieu, au Prophète et à ceux d'entre vous qui détiennent le commandement. Et c'est qui ? C'est Bouteflika", a-t-il dit. Le secrétaire général du FLN compte toutefois inviter le RND et discuter de l'initiative du front uni. "Ils sont les bienvenus et cette initiative est celle du président du parti (...) Et Ouyahia est un ami avec qui j'ai déjà travaillé et avec qui j'ai des relations très cordiales", a-t-il assuré. En ce qui concerne les législatives, le secrétaire général du FLN reste confiant. La mobilisation du RND et sa campagne électorale précoce ne lui fait pas peur. "Tout est tracé. La semaine prochaine, on adopte le programme électoral qui a été élaboré de manière scientifique", a-t-il dit. Djamel Ould Abbès a rappelé qu'aucune personne n'a le droit de parler au nom du FLN à part lui-même ou ceux qu'il délègue parmi les membres du bureau politique ou du comité central. Le secrétaire général du FLN est revenu également sur ce qui s'est passé à la salle Atlas lors du meeting organisé par le FFS pour le premier anniversaire de la disparition de son leader historique, Hocine Aït Ahmed. "Je regrette ce qui s'est passé à Atlas. Quand je viens en tant qu'invité ou quand j'invite quelqu'un, je ne l'insulte pas", a-t-il lancé. Djamel Ould Abbès s'est retiré du meeting au moment où le premier secrétaire du FFS dénonçait la loi de finances 2017 qui est, selon lui, une "loi antisociale et antinationale votée par une majorité truquée". "Tant qu'on est au pouvoir et en 2019, on sera inchallah toujours au pouvoir, notre candidat, et donc celui qui va gagner, sera le président du parti s'il accepte", a-t-il ajouté. Questionné sur la réponse ambiguë d'Ahmed Ouyahia en ce qui concerne 2019 et le cinquième mandat, Djamel Ould Abbès a évoqué la nécessité de "reconnaître le bienfait par le président Bouteflika à de nombreuses personnes dont certaines ont fini par se retourner contre lui. Quand il s'agit de quelqu'un à qui le Président a fait du bien et l'a sorti de l'ombre en 1999 et qui est en train de tenter de prendre sa place, c'est inacceptable du point de vue de l'éthique", a-t-il lâché. "Dans notre éducation et nos coutumes, il y a le respect. Obéissez à Dieu, au Prophète et à ceux d'entre vous qui détiennent le commandement. Et c'est qui ? C'est Bouteflika", a-t-il dit. Le secrétaire général du FLN compte toutefois inviter le RND et discuter de l'initiative du front uni. "Ils sont les bienvenus et cette initiative est celle du président du parti (...) Et Ouyahia est un ami avec qui j'ai déjà travaillé et avec qui j'ai des relations très cordiales", a-t-il assuré. En ce qui concerne les législatives, le secrétaire général du FLN reste confiant. La mobilisation du RND et sa campagne électorale précoce ne lui fait pas peur. "Tout est tracé. La semaine prochaine, on adopte le programme électoral qui a été élaboré de manière scientifique", a-t-il dit. Djamel Ould Abbès a rappelé qu'aucune personne n'a le droit de parler au nom du FLN à part lui-même ou ceux qu'il délègue parmi les membres du bureau politique ou du comité central. Le secrétaire général du FLN est revenu également sur ce qui s'est passé à la salle Atlas lors du meeting organisé par le FFS pour le premier anniversaire de la disparition de son leader historique, Hocine Aït Ahmed. "Je regrette ce qui s'est passé à Atlas. Quand je viens en tant qu'invité ou quand j'invite quelqu'un, je ne l'insulte pas", a-t-il lancé. Djamel Ould Abbès s'est retiré du meeting au moment où le premier secrétaire du FFS dénonçait la loi de finances 2017 qui est, selon lui, une "loi antisociale et antinationale votée par une majorité truquée".