Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, n'a pas grillé la politesse au ministère de l'Intérieur, préférant attendre la fin de la proclamation officielle des résultats du scrutin du 4 mai pour réagir. Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, n'a pas grillé la politesse au ministère de l'Intérieur, préférant attendre la fin de la proclamation officielle des résultats du scrutin du 4 mai pour réagir. Nous "sommes la première force politique", s‘est réjoui hier Djamel Ould Abbès. Cependant, il est loin d‘être satisfait pleinement, car son parti a accusé une perte de 57 sièges par rapport à l‘assemblée sortante. Pour lui, ce recul s‘explique par l‘apparition de nouveaux partis politiques qui ont participé à ces législatives. "Ils étaient 36 dans la précédente assemblée, ils seront 53 dans la prochaine", argumente-t-il en relevant que son parti a enregistré des percées considérables dans plusieurs grandes wilayas comme Oran, Mostaganem, Oued-Souf et Alger. L‘orateur a félicité tous les candidats qui ont obtenu la confiance du peuple, leur demandant d‘être à la hauteur des espoirs placés en eux, dans le cadre de leurs futures activités parlementaires. Ould Abbès se projette déjà dans l‘avenir et annonce que le futur enjeu sera la préparation des élections locales en octobre prochain, avec des candidats dans 1.541 communes et 148 conseils de wilayas. Le SG du FLN regrette que son part n‘ait pas obtenu la majorité absolue. Ce qui l‘oblige donc à sceller des alliances avec d‘autres partis politiques. Il pose une condition : "Nous sommes disposés à travailler avec tous les partis politiques, à la seule condition qu‘ils s‘inscrivent dans le cadre du programme du président de la République, car le programme du FLN est celui du président Abdelaziz Bouteflika." Le patron du FLN tend ainsi, une perche à son alter ego du RND et, précise-t-il, d‘autres partis nationalistes, probablement le MPA et TAJ qui ont obtenu respectivement 19 et 13 sièges. Au sujet des accusations de fraude brandies par le MSP et le PT, le SG du vieux parti choisi le registre de l‘ironie pour y répondre. "Ceux qui parlent de fraude font dans le délire", raille-t-il, en soulignant que "le FLN est un parti qui a une culture de l‘Etat et le souci de la stabilité du pays." Nous "sommes la première force politique", s‘est réjoui hier Djamel Ould Abbès. Cependant, il est loin d‘être satisfait pleinement, car son parti a accusé une perte de 57 sièges par rapport à l‘assemblée sortante. Pour lui, ce recul s‘explique par l‘apparition de nouveaux partis politiques qui ont participé à ces législatives. "Ils étaient 36 dans la précédente assemblée, ils seront 53 dans la prochaine", argumente-t-il en relevant que son parti a enregistré des percées considérables dans plusieurs grandes wilayas comme Oran, Mostaganem, Oued-Souf et Alger. L‘orateur a félicité tous les candidats qui ont obtenu la confiance du peuple, leur demandant d‘être à la hauteur des espoirs placés en eux, dans le cadre de leurs futures activités parlementaires. Ould Abbès se projette déjà dans l‘avenir et annonce que le futur enjeu sera la préparation des élections locales en octobre prochain, avec des candidats dans 1.541 communes et 148 conseils de wilayas. Le SG du FLN regrette que son part n‘ait pas obtenu la majorité absolue. Ce qui l‘oblige donc à sceller des alliances avec d‘autres partis politiques. Il pose une condition : "Nous sommes disposés à travailler avec tous les partis politiques, à la seule condition qu‘ils s‘inscrivent dans le cadre du programme du président de la République, car le programme du FLN est celui du président Abdelaziz Bouteflika." Le patron du FLN tend ainsi, une perche à son alter ego du RND et, précise-t-il, d‘autres partis nationalistes, probablement le MPA et TAJ qui ont obtenu respectivement 19 et 13 sièges. Au sujet des accusations de fraude brandies par le MSP et le PT, le SG du vieux parti choisi le registre de l‘ironie pour y répondre. "Ceux qui parlent de fraude font dans le délire", raille-t-il, en soulignant que "le FLN est un parti qui a une culture de l‘Etat et le souci de la stabilité du pays."