l'uniforme des Unités de protection du peuple kurdes (YPG) risquent d'être la cible des forces armées turques opérant en Syrie", a déclaré le vice-Premier ministre turc Bekir Bozdag cité par CNN Turk. l'uniforme des Unités de protection du peuple kurdes (YPG) risquent d'être la cible des forces armées turques opérant en Syrie", a déclaré le vice-Premier ministre turc Bekir Bozdag cité par CNN Turk. "Si les terroristes ne se retirent pas de Manbij en Syrie, nous lancerons une opération militaire dans cette région également. Dans ce cas, les militaires américains en uniforme des YPG seront eux aussi la cible de notre opération", a expliqué M.Bozdag. Le 20 janvier, l'armée turque appuyée par les membres de l'Armée syrienne libre a lancé l'opération Rameau d'olivier contre les formations armées kurdes dans le canton syrien d'Afrine. Par la suite, le président turc Recep Tayyip Erdogan a fait savoir que son armée pourrait avancer jusqu'à la province d'Idlib, qui est actuellement contrôlée par l'opposition syrienne et les combattants du Front al- Nosra. La semaine dernière, le chef de la diplomatie turque Mevlut Cavusoglu a appelé Washington à "se retirer immédiatement" de Manbij. "Il faut que les Etats-Unis rompent totalement avec [les YPG], qu'ils récupèrent les armes qu'ils leur ont données", a-t-il ajouté. "Si les terroristes ne se retirent pas de Manbij en Syrie, nous lancerons une opération militaire dans cette région également. Dans ce cas, les militaires américains en uniforme des YPG seront eux aussi la cible de notre opération", a expliqué M.Bozdag. Le 20 janvier, l'armée turque appuyée par les membres de l'Armée syrienne libre a lancé l'opération Rameau d'olivier contre les formations armées kurdes dans le canton syrien d'Afrine. Par la suite, le président turc Recep Tayyip Erdogan a fait savoir que son armée pourrait avancer jusqu'à la province d'Idlib, qui est actuellement contrôlée par l'opposition syrienne et les combattants du Front al- Nosra. La semaine dernière, le chef de la diplomatie turque Mevlut Cavusoglu a appelé Washington à "se retirer immédiatement" de Manbij. "Il faut que les Etats-Unis rompent totalement avec [les YPG], qu'ils récupèrent les armes qu'ils leur ont données", a-t-il ajouté.