Dix jours après le début du Ramadhan, les prix des fruitset légumes demeurent toujours élevés, malgré les promessesdu ministre du Commerce. Dix jours après le début du Ramadhan, les prix des fruitset légumes demeurent toujours élevés, malgré les promessesdu ministre du Commerce. Au début du mois sacré, SaidDjellab avait rassuré que lesprix allaient connaître unebaisse sensible dans un délai de trois jours.Au marché Rédha-Houhou(ex-Clauzel), dans le centrevilled'Alger, hier, certainsproduits sont, d'ailleurs, toujourssi chers que rares sontles clients qui osent s'enapprocher.Même si leur prix a baissé, lesharicots verts et le citron sontcédés à 260 DA le kilogramme,soit une baisse de 30DA par apport au premier jourdu Ramadan.Le prix de la laitue n'a pasbougé. Le kilogramme est toujoursproposé à 160 DA lekilogramme. La pomme deterre a augmenté de 10 DApour atteindre 70 DA le kilo.Idem pour l'oignon qui estvendu à 120 DA, alors qu'ilétait cédé, il y a quelquesjours, à 100 DA.Les produits qui ont, cependant,dérogé à cette tendancehaussières sont entre autres la tomate affichée à 100 DA (contre 180 DA), la courgette100 DA (contre 170 DA), la carotte 80 DA (contre 120 DA) et le fenouil 80 DA (contre 140 DA). Le prix du concombre et de la betterave restent stables, à 100 DA lekilo chacun. Du côté des fruits, le constat est beaucoup moins encourageant. Les prix sont toujours hors de portée des ménages. La pomme locale est, ainsi, affichée à 700 DA (contre 400 DA), les bananes à 320, la fraise, fruit de saison, est négociée à 250 DA (contre 220 DA), les pêches à 220 DA (contre 250 DA). Les dattes entre 450 DA et 800, selon la qualité du produit, soit le même prix qu'il ya une semaine.Pour les viandes, les prixcontinuent de grimper. Lepoulet évidé est affiché à 370 DA le kg (contre 350), la viande bovine locale est à n1.500 DA, alors que la viande importée est à 1.240 DA. La viande ovine qui était à 1.250 DA la semaine dernière agrimpé, ce samedi matin, pour atteindre la barre des 1.350 DA. Au début du mois sacré, SaidDjellab avait rassuré que lesprix allaient connaître unebaisse sensible dans un délai de trois jours.Au marché Rédha-Houhou(ex-Clauzel), dans le centrevilled'Alger, hier, certainsproduits sont, d'ailleurs, toujourssi chers que rares sontles clients qui osent s'enapprocher.Même si leur prix a baissé, lesharicots verts et le citron sontcédés à 260 DA le kilogramme,soit une baisse de 30DA par apport au premier jourdu Ramadan.Le prix de la laitue n'a pasbougé. Le kilogramme est toujoursproposé à 160 DA lekilogramme. La pomme deterre a augmenté de 10 DApour atteindre 70 DA le kilo.Idem pour l'oignon qui estvendu à 120 DA, alors qu'ilétait cédé, il y a quelquesjours, à 100 DA.Les produits qui ont, cependant,dérogé à cette tendancehaussières sont entre autres la tomate affichée à 100 DA (contre 180 DA), la courgette100 DA (contre 170 DA), la carotte 80 DA (contre 120 DA) et le fenouil 80 DA (contre 140 DA). Le prix du concombre et de la betterave restent stables, à 100 DA lekilo chacun. Du côté des fruits, le constat est beaucoup moins encourageant. Les prix sont toujours hors de portée des ménages. La pomme locale est, ainsi, affichée à 700 DA (contre 400 DA), les bananes à 320, la fraise, fruit de saison, est négociée à 250 DA (contre 220 DA), les pêches à 220 DA (contre 250 DA). Les dattes entre 450 DA et 800, selon la qualité du produit, soit le même prix qu'il ya une semaine.Pour les viandes, les prixcontinuent de grimper. Lepoulet évidé est affiché à 370 DA le kg (contre 350), la viande bovine locale est à n1.500 DA, alors que la viande importée est à 1.240 DA. La viande ovine qui était à 1.250 DA la semaine dernière agrimpé, ce samedi matin, pour atteindre la barre des 1.350 DA.