La conjoncture politique actuelle, marquée par les spéculations autour des élections présidentielles, est révélatrice de la situation que traverse l'opposition. La conjoncture politique actuelle, marquée par les spéculations autour des élections présidentielles, est révélatrice de la situation que traverse l'opposition. Dans ce brouhaha politique, qui est essentiellement l'oeuvre des partisde l'alliance présidentielle, l'oppositionest confinée dans un rôle secondaire.Réduite à un rôle de simple spectatrice,l'opposition n'arrive plus à donner de lavoix. Elle est inaudible et se contente leplus souvent de réagir par à-coups autempo imposé par les partis qui soutiennentle président Bouteflika. En d'autrestermes, l'opposition n'arrive pas à pesersur le cours des événements. Atomisée etminée par ses contradictions et ses luttespour le leadership, l'opposition donne,ainsi, l'impression d'être totalementdémunie face à la toute puissance du pouvoiret de ses relais politiques. Ce sont cesderniers, en effet, qui font l'actualité politiqueet donnent le ton des événements.Les spéculations autour des élections présidentiellesen est la parfaite illustrationcar, les partis qui comptent dans le camp de l'opposition en sont réduits à de simplesscrutateurs de ce qui pourrait émanerdu pouvoir et des partis politiques qui lesoutiennent, pour essayer d'interpréter lemoindre indice pouvant indiquer la tournuredu vent. Des spéculations qui tournentautour de la possibilité du report desélections présidentielles, de la prolongationdu mandat du président de laRépublique ou même, de l'éventualitéd'une révision de la Constitution. Toutesces hypothèses émanent des cercles dupouvoir ou de leurs relais politiques. Pendant ce temps, l'opposition n'arrive même pas à avoir son mot à dire.Fortement affaiblie, elle étale au grand jour ses divisions, tant chaque formation politique essaye de jouer sa propre partition.Il en est ainsi du MSP qui a plaidé ouvertement pour le report de l'échéance électorale, prévue au mois d'avril de l'année prochaine, soit dans quatre mois plus exactement. Une proposition qui n'arrive pas à susciter la moindre réaction positive et elle est même frappée du sceau de la suspicion. Le FFS clame à qui veut l'entendre que le Consensus national reste la seule alternative pour sortir de la crise que traverse le pays. Mais ce parti, embourbé dans ses divisions internes, n'est que l'ombre de lui-même et sa proposition est rejetée comme cela était prévisible. Le RCD, le PT et d'autres partis de l'opposition, qui se contentent des traditionnelles mises en garde à l'adresse du pouvoir, paraissent totalement désarmés. Pourtant, il y'a juste quelques années, l'opposition a réussi la gageure de resserrer ses rangs soulevant même moult espérances au sein d'une partie de l'opinion publique nationale, et suscitant même les inquiétudes du pouvoir. L'expérience de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD), est en effet encore très vivace dans les esprits. Transcendant ses clivages politiques, l'opposition s'est mise d'accord sur une plate-forme politique. En parant d'une seule voix, l'opposition a incontestablement gagné en puissance, devenant par là même, une réelle force de proposition capable d'agir sur le cours des événements. Hélas, ce fut de très courte durée et l'oppositiin est très vite retombée dans ses travers. Chose qui n'a pas été pour déplaire le pouvoir. Un pouvoir plus que jamais revigoré qui peut mettre en place tous ses plans, sans crainted'être véritablement contrarié. Dans ce brouhaha politique, qui est essentiellement l'oeuvre des partisde l'alliance présidentielle, l'oppositionest confinée dans un rôle secondaire.Réduite à un rôle de simple spectatrice,l'opposition n'arrive plus à donner de lavoix. Elle est inaudible et se contente leplus souvent de réagir par à-coups autempo imposé par les partis qui soutiennentle président Bouteflika. En d'autrestermes, l'opposition n'arrive pas à pesersur le cours des événements. Atomisée etminée par ses contradictions et ses luttespour le leadership, l'opposition donne,ainsi, l'impression d'être totalementdémunie face à la toute puissance du pouvoiret de ses relais politiques. Ce sont cesderniers, en effet, qui font l'actualité politiqueet donnent le ton des événements.Les spéculations autour des élections présidentiellesen est la parfaite illustrationcar, les partis qui comptent dans le camp de l'opposition en sont réduits à de simplesscrutateurs de ce qui pourrait émanerdu pouvoir et des partis politiques qui lesoutiennent, pour essayer d'interpréter lemoindre indice pouvant indiquer la tournuredu vent. Des spéculations qui tournentautour de la possibilité du report desélections présidentielles, de la prolongationdu mandat du président de laRépublique ou même, de l'éventualitéd'une révision de la Constitution. Toutesces hypothèses émanent des cercles dupouvoir ou de leurs relais politiques. Pendant ce temps, l'opposition n'arrive même pas à avoir son mot à dire.Fortement affaiblie, elle étale au grand jour ses divisions, tant chaque formation politique essaye de jouer sa propre partition.Il en est ainsi du MSP qui a plaidé ouvertement pour le report de l'échéance électorale, prévue au mois d'avril de l'année prochaine, soit dans quatre mois plus exactement. Une proposition qui n'arrive pas à susciter la moindre réaction positive et elle est même frappée du sceau de la suspicion. Le FFS clame à qui veut l'entendre que le Consensus national reste la seule alternative pour sortir de la crise que traverse le pays. Mais ce parti, embourbé dans ses divisions internes, n'est que l'ombre de lui-même et sa proposition est rejetée comme cela était prévisible. Le RCD, le PT et d'autres partis de l'opposition, qui se contentent des traditionnelles mises en garde à l'adresse du pouvoir, paraissent totalement désarmés. Pourtant, il y'a juste quelques années, l'opposition a réussi la gageure de resserrer ses rangs soulevant même moult espérances au sein d'une partie de l'opinion publique nationale, et suscitant même les inquiétudes du pouvoir. L'expérience de la Coordination pour les libertés et la transition démocratique (CLTD), est en effet encore très vivace dans les esprits. Transcendant ses clivages politiques, l'opposition s'est mise d'accord sur une plate-forme politique. En parant d'une seule voix, l'opposition a incontestablement gagné en puissance, devenant par là même, une réelle force de proposition capable d'agir sur le cours des événements. Hélas, ce fut de très courte durée et l'oppositiin est très vite retombée dans ses travers. Chose qui n'a pas été pour déplaire le pouvoir. Un pouvoir plus que jamais revigoré qui peut mettre en place tous ses plans, sans crainted'être véritablement contrarié.