Décidément , au moment ou les partis de l'alliance présidentielle font chorus sur la question des élections présidentielles, ce n'est pas du tout le cas des partis de l'opposition. Décidément , au moment ou les partis de l'alliance présidentielle font chorus sur la question des élections présidentielles, ce n'est pas du tout le cas des partis de l'opposition. Loin s'en faut. En effet, c'est plutôt l'étalage deleurs divergences au grandjour, qui est de mise. Ainsi,une terrible guerre des motss'est déclenchée entre deux partis,à savoir le MSP et JilDjadid. Les deux chefs de cesdeux formations politiques sesont échangés d'acerbes mots àpropos de tout ce qui se dit surles élections présidentielles.Aux critiques formulées par lechef de file de Jil Djadid,Sofiane ce Djilali, à propos del'initiative politique du présidentdu MSP relative au reportde l'élection présidentielle Abderazak Makri a vite réagiavec, en prime, des mots jugésassez durs par tous mes observateurs.Le chef du MSP ad'abord commencé par mettreen avant, "la différence entre ceux qui font de la politiqueavec leurs têtes et les autres quila pratiquent avec leurscaprices et leurs pieds.". Il n'apas cité Sofiane Djilali il estvrai, mais il est évident quec'est ce dernier qui est visé. "Ceux qui comprennent l'économie, la politique et la situationinternationale savent quela situation en Algérie, vas'aggraver après les électionsprésidentielles de 2019. Ilssont conscients de l'importance du Consensus national et la dangerosité des ambitions personnelles au détriment de la stabilité et de l'avenir du pays. L'absence de compréhensiondes partis au pouvoir, et leurs détruira le pays",indique encore Abderazak Makri dans un post publié sursa page Facebook. Le président du MSP essaye donc de défendre son initiative relative au consensus national, qui devrait aussi se solder par le report des élections présidentielles. Une initiative qui ne semble avoir l'aval ni des partis de l'alliance présidentielle, ni ceux de l'opposition comme cela a été dit Sofiane' Djilali qui s'exprimaiten tant que dirigeant du mouvement Mowatana. C'est pourquoi Makri profite de cette même opportunité pours'adresser aussi aux partis del'opposition, qui semble sceptique face à cette proposition dereport de l'élection présidentielle. "Ceux qui s'accrochent à la démocratie, tout en connaissant le danger de lafraude électorale et l'inutilité de la course au pouvoir alors que l'équilibre des pouvoirs est en faveur de la fraude, comprennent que le pouvoir a besoin de l'opposition durant cette période, pour reporter les en échange de réformes politiques et de garanties pour limiter la fraude et peut-être, obtenir un consensus national qui sauvera le pays"écrit encore Makri. Et d'ajouter, dans la lancée que, "des partis de l'opposition ne comprennent pas ça, ils seront également responsables de la destruction du pays". Rappelons donc qu'avant-hier Sofiane Djilali, et au nom de Mowatana , a fustigé la proposition énoncée par le chef du MSP. "La prolongation du mandat présidentiel est tout simplement un attentat à la morale, à l'Etat de droit, la démocratie et aux intérêts stratégiques du pays", dira-t-il avant d'enfoncer le clou ensoutenant, qu'à "l'approche de convocation du corps électoral pour les élections présidentielles, des manoeuvres aussi bruyantes qu'insolites sont initiéespar les spécialistes de la perfidie et du double langage". Loin s'en faut. En effet, c'est plutôt l'étalage deleurs divergences au grandjour, qui est de mise. Ainsi,une terrible guerre des motss'est déclenchée entre deux partis,à savoir le MSP et JilDjadid. Les deux chefs de cesdeux formations politiques sesont échangés d'acerbes mots àpropos de tout ce qui se dit surles élections présidentielles.Aux critiques formulées par lechef de file de Jil Djadid,Sofiane ce Djilali, à propos del'initiative politique du présidentdu MSP relative au reportde l'élection présidentielle Abderazak Makri a vite réagiavec, en prime, des mots jugésassez durs par tous mes observateurs.Le chef du MSP ad'abord commencé par mettreen avant, "la différence entre ceux qui font de la politiqueavec leurs têtes et les autres quila pratiquent avec leurscaprices et leurs pieds.". Il n'apas cité Sofiane Djilali il estvrai, mais il est évident quec'est ce dernier qui est visé. "Ceux qui comprennent l'économie, la politique et la situationinternationale savent quela situation en Algérie, vas'aggraver après les électionsprésidentielles de 2019. Ilssont conscients de l'importance du Consensus national et la dangerosité des ambitions personnelles au détriment de la stabilité et de l'avenir du pays. L'absence de compréhensiondes partis au pouvoir, et leurs détruira le pays",indique encore Abderazak Makri dans un post publié sursa page Facebook. Le président du MSP essaye donc de défendre son initiative relative au consensus national, qui devrait aussi se solder par le report des élections présidentielles. Une initiative qui ne semble avoir l'aval ni des partis de l'alliance présidentielle, ni ceux de l'opposition comme cela a été dit Sofiane' Djilali qui s'exprimaiten tant que dirigeant du mouvement Mowatana. C'est pourquoi Makri profite de cette même opportunité pours'adresser aussi aux partis del'opposition, qui semble sceptique face à cette proposition dereport de l'élection présidentielle. "Ceux qui s'accrochent à la démocratie, tout en connaissant le danger de lafraude électorale et l'inutilité de la course au pouvoir alors que l'équilibre des pouvoirs est en faveur de la fraude, comprennent que le pouvoir a besoin de l'opposition durant cette période, pour reporter les en échange de réformes politiques et de garanties pour limiter la fraude et peut-être, obtenir un consensus national qui sauvera le pays"écrit encore Makri. Et d'ajouter, dans la lancée que, "des partis de l'opposition ne comprennent pas ça, ils seront également responsables de la destruction du pays". Rappelons donc qu'avant-hier Sofiane Djilali, et au nom de Mowatana , a fustigé la proposition énoncée par le chef du MSP. "La prolongation du mandat présidentiel est tout simplement un attentat à la morale, à l'Etat de droit, la démocratie et aux intérêts stratégiques du pays", dira-t-il avant d'enfoncer le clou ensoutenant, qu'à "l'approche de convocation du corps électoral pour les élections présidentielles, des manoeuvres aussi bruyantes qu'insolites sont initiéespar les spécialistes de la perfidie et du double langage".