La scène politique nationale est en ébullition. A l'évidence, c'est la question des élections présidentielles qui focalisent toute l'attention des acteurs politiques. La scène politique nationale est en ébullition. A l'évidence, c'est la question des élections présidentielles qui focalisent toute l'attention des acteurs politiques. Ces élections, prévues au mois d'avril prochain, auront-elles lieu ? Vontellesêtre reportées ? Ce sont cesdeux questions qui taraudent l'esprit detous les observateurs. Il semble que l'optiondu report est sur le point d'êtrevalidée.En atteste les infirmations distillées ca etlà qui tendent à la confirmer et l'annoncede la concrétisation de cette option nesaurait tarder. La patronne du Parti des travailleurs(PT), Louisa Hanoune, vientainsi d'en rajouter une couche. "Probablement, ce 26 décembre il y aura denouveaux développements. Il se peut quece soit la signature de la Loi de finances2019. Il se peut aussi que le présidentannonce des décisions", a indiqué hier,Louisa Hanoune lors d'une conférence depresse. "Des sources presque officiellesmais pas officielles à 100%, nous ont dit de nous attendre, ce mercredi, à du nouveau".Et le nouveau dont parle la premièreresponsable du PT ne peut, estimet-on, être en rapport avec la question desélections présidentielles, mais surtout dureport de cette échéance électorale. Ced'autant, qu'a la veille de cette annonce, denombreux medias ont fait cas d'une réunionimportante des quatre partis de l'allianceprésidentielle, à laquelle aurait aussipris part des ministres et un ministre conseillerà la présidence de la République. Un conclave qui aurait tourné principalementautour de la question du report desélections, de la tenue d'une conférencenationale et de la révisons de laConstitution. Il n' ya pas de fumée sansfeu, comme dit l'adage. Cette thèse est allé crescendo, depuis que le parti de TAJ, par la voix de son chef de file, Amar Ghoul, a émis la proposition de la tenue d'une conférence nationale et, subséquemment, le report des élections. Cette proposition, qui a provoqué une véritable onde de choc sur l'échiquier politique nationale, a été, après un petit moment d'hésitation, entérinée par les quatre partis de l'allianceprésidentielle. C'était lors du congrès deTAJ tenu il y'a quelques jours, et les quatre des partis du FLN, du RND, duMPA et de TAJ, ont donné l'image d'un bloc politique faisant chorus derrière tout ce qui est en train de s'échafauder sur cettequestion du report. "Nous sommes ouvertsà toute bonne initiative et proposition constructive, et pleinement disposés à les examiner, en vue de garantir la poursuitede la mise en oeuvre du programme du président de la République, AbdelazizBouteflika, et la marche glorieuse de l'Algérie", ont indiqué ces partis dans une déclaration commune. Depuis, les événements semblent s'accélérer du fait, notamment, de la contrainte du temps. Car, le président de la République devrait trancher dans le vif avant la date butoir dela convocation du corps électoral, prévue à la mi-janvier. Si donc ce scénario est retenu, il est probable que la conférence nationale ait lieu au mois de janvier. Etc'est à ce moment là, que sera annoncé officiellement, le report des électionsprésidentielles et la révision de la Constitution devant permettre la prolongationdu mandat du président de la République qui devait, selon les dispositions de la loi fondamentale, expirer le 16avril prochain. A moins de nouveaux rebondissements pouvant contrarier cettedémarche, il est de plus en plus évident que c'est l'option du report qui est privilégiéeactuellement. Quid de l'opposition ? Cette dernière, laminée et atomisée, ne dispose pas de force nécessaire pouvant luipermettre de contrecarrer les plans du pouvoir. Ces élections, prévues au mois d'avril prochain, auront-elles lieu ? Vontellesêtre reportées ? Ce sont cesdeux questions qui taraudent l'esprit detous les observateurs. Il semble que l'optiondu report est sur le point d'êtrevalidée.En atteste les infirmations distillées ca etlà qui tendent à la confirmer et l'annoncede la concrétisation de cette option nesaurait tarder. La patronne du Parti des travailleurs(PT), Louisa Hanoune, vientainsi d'en rajouter une couche. "Probablement, ce 26 décembre il y aura denouveaux développements. Il se peut quece soit la signature de la Loi de finances2019. Il se peut aussi que le présidentannonce des décisions", a indiqué hier,Louisa Hanoune lors d'une conférence depresse. "Des sources presque officiellesmais pas officielles à 100%, nous ont dit de nous attendre, ce mercredi, à du nouveau".Et le nouveau dont parle la premièreresponsable du PT ne peut, estimet-on, être en rapport avec la question desélections présidentielles, mais surtout dureport de cette échéance électorale. Ced'autant, qu'a la veille de cette annonce, denombreux medias ont fait cas d'une réunionimportante des quatre partis de l'allianceprésidentielle, à laquelle aurait aussipris part des ministres et un ministre conseillerà la présidence de la République. Un conclave qui aurait tourné principalementautour de la question du report desélections, de la tenue d'une conférencenationale et de la révisons de laConstitution. Il n' ya pas de fumée sansfeu, comme dit l'adage. Cette thèse est allé crescendo, depuis que le parti de TAJ, par la voix de son chef de file, Amar Ghoul, a émis la proposition de la tenue d'une conférence nationale et, subséquemment, le report des élections. Cette proposition, qui a provoqué une véritable onde de choc sur l'échiquier politique nationale, a été, après un petit moment d'hésitation, entérinée par les quatre partis de l'allianceprésidentielle. C'était lors du congrès deTAJ tenu il y'a quelques jours, et les quatre des partis du FLN, du RND, duMPA et de TAJ, ont donné l'image d'un bloc politique faisant chorus derrière tout ce qui est en train de s'échafauder sur cettequestion du report. "Nous sommes ouvertsà toute bonne initiative et proposition constructive, et pleinement disposés à les examiner, en vue de garantir la poursuitede la mise en oeuvre du programme du président de la République, AbdelazizBouteflika, et la marche glorieuse de l'Algérie", ont indiqué ces partis dans une déclaration commune. Depuis, les événements semblent s'accélérer du fait, notamment, de la contrainte du temps. Car, le président de la République devrait trancher dans le vif avant la date butoir dela convocation du corps électoral, prévue à la mi-janvier. Si donc ce scénario est retenu, il est probable que la conférence nationale ait lieu au mois de janvier. Etc'est à ce moment là, que sera annoncé officiellement, le report des électionsprésidentielles et la révision de la Constitution devant permettre la prolongationdu mandat du président de la République qui devait, selon les dispositions de la loi fondamentale, expirer le 16avril prochain. A moins de nouveaux rebondissements pouvant contrarier cettedémarche, il est de plus en plus évident que c'est l'option du report qui est privilégiéeactuellement. Quid de l'opposition ? Cette dernière, laminée et atomisée, ne dispose pas de force nécessaire pouvant luipermettre de contrecarrer les plans du pouvoir.