Le diplomate algérien, Lakhdar Brahimi, a soutenu, hier mercredi, quele président de la République Abdelaziz Bouteflika "jouit de toutes Le diplomate algérien, Lakhdar Brahimi, a soutenu, hier mercredi, quele président de la République Abdelaziz Bouteflika "jouit de toutes es capacités mentales et fait usage de ses mains".S'exprimant sur la chaîne A3 de laTélévision publique, Lakhdar Brahimia démenti toutes les rumeurs faisantétat du décès du Président en assurantque "je l'ai rencontré pour m'enquérirde son état de santé et j'ai constatéqu'il jouissait de ses capacités mentalesà 100 % et pas seulement à 95 %comme on le laisse entendre ici et là.Il utilise ses mains contrairement àses membres inférieurs". Lakhdar Brahimi a, néanmoins,reconnu que "la voix du président dela République est très basse et inaudiblepar moment à tel point que je luidemande de redire ses propos. Il nepeut en aucun cas prononcer un discours".Lakhdar Brahimi a, en outre, démentil'information selon laquelle il estpressenti pour diriger la conférenceinclusive, expliquant que cela exigedes consultations préalables. Son noma été associé à cette conférence nationaleannoncée par le PrésidentBouteflika dans son dernier message àla nation. Des partis d'opposition etdes associations de la société civileainsi que nombre de manifestants ont apposé un non catégorique au nom de Lakhdar Brahimi en lui reprochant d'être très proche du pouvoir. Parlant toujours du PrésidentBouteflika, il a expliqué qu'"il a fait ce qu'il a pu et qu'il veut juste quitter la scène politique dans la sérénité et la tranquillité en étant sûr de laisser derrière lui une Algérie stable" Réagissant aux manifestations qui agitent le pays depuis le 22 février, le diplomate se dit "fier" de ce mouvement qui a "épaté le monde par soncivisme et son pacifisme, mais prévient contre le risque de dévoiement et de dérapage ; conjurant les jeunes "de ne pas détruire l'Algérie comme sont détruits la Libye et l'Irak." Et d'ajouter à ce propos que l'Algérie "est ciblée de l'intérieur comme de l'extérieur." En parlant de la future conférence nationale, Lakhdar Brahimi estime qu'"elle pourrait achever dans une année son travail de mise en place desnouveau mécanismes politiques et institutionnelspour ensuite se terminerpar une élection présidentielle qui verra la remise du pouvoir par le Président Bouteflika au Présidentélu." es capacités mentales et fait usage de ses mains".S'exprimant sur la chaîne A3 de laTélévision publique, Lakhdar Brahimia démenti toutes les rumeurs faisantétat du décès du Président en assurantque "je l'ai rencontré pour m'enquérirde son état de santé et j'ai constatéqu'il jouissait de ses capacités mentalesà 100 % et pas seulement à 95 %comme on le laisse entendre ici et là.Il utilise ses mains contrairement àses membres inférieurs". Lakhdar Brahimi a, néanmoins,reconnu que "la voix du président dela République est très basse et inaudiblepar moment à tel point que je luidemande de redire ses propos. Il nepeut en aucun cas prononcer un discours".Lakhdar Brahimi a, en outre, démentil'information selon laquelle il estpressenti pour diriger la conférenceinclusive, expliquant que cela exigedes consultations préalables. Son noma été associé à cette conférence nationaleannoncée par le PrésidentBouteflika dans son dernier message àla nation. Des partis d'opposition etdes associations de la société civileainsi que nombre de manifestants ont apposé un non catégorique au nom de Lakhdar Brahimi en lui reprochant d'être très proche du pouvoir. Parlant toujours du PrésidentBouteflika, il a expliqué qu'"il a fait ce qu'il a pu et qu'il veut juste quitter la scène politique dans la sérénité et la tranquillité en étant sûr de laisser derrière lui une Algérie stable" Réagissant aux manifestations qui agitent le pays depuis le 22 février, le diplomate se dit "fier" de ce mouvement qui a "épaté le monde par soncivisme et son pacifisme, mais prévient contre le risque de dévoiement et de dérapage ; conjurant les jeunes "de ne pas détruire l'Algérie comme sont détruits la Libye et l'Irak." Et d'ajouter à ce propos que l'Algérie "est ciblée de l'intérieur comme de l'extérieur." En parlant de la future conférence nationale, Lakhdar Brahimi estime qu'"elle pourrait achever dans une année son travail de mise en place desnouveau mécanismes politiques et institutionnelspour ensuite se terminerpar une élection présidentielle qui verra la remise du pouvoir par le Président Bouteflika au Présidentélu."