De nombreux hommes d'affaires se trouvent dans l'oeil du cyclone. Très puissants il y a juste quelques semaines ils risquent d'être traînés devant les tribunaux, dans les prochains jours De nombreux hommes d'affaires se trouvent dans l'oeil du cyclone. Très puissants il y a juste quelques semaines ils risquent d'être traînés devant les tribunaux, dans les prochains jours leur serait reproché des faits de corruption et de transfert illicite de capitauxvers l'étranger. Ils sont d'ailleursdéjà frappés par la mesure d'interdictionde quitter le territoire national.Ali Haddad, l'ex-président du FCE, en adéjà fait les frais. C'est une informationtout ce qu'il y a d'officiel. Ce qui n'étaitqu'une rumeur s'est en effet confirméhier lorsque le parquet général près lacour d'Alger a rendu public un communiquésur cette question. "Conformément à l'article 11 alinéa 3du code de procédure pénale, le parquetgénéral près la cour d'Alger porte à laconnaissance de l'opinion publique quedes enquêtes préliminaires sont misesen oeuvre pour des faits de corruption et de transfert illicite de capitaux versl'étranger", précise la même source.Dans ce cadre et "pour les nécessitésdes enquêtes, le procureur de laRépublique près le tribunal de SidiM'Hamed a procédé à l'application desdispositions de l'article 36 bis 1 duCode de procédures pénales et a prisdes mesures conservatoires en ordonnantl'interdiction de sortie du territoirenational à l'encontre de certaines personnes",ajoute le communiqué sansdonner plus de détails. Le communiquéne cite cependant aucun nom, mais il est loisible de dire qu'il s'agit d'hommes d'affaires connus sur la scène nationale. Ils sont qualifiés par l'opinion publique et les partis politiques de l'opposition d'oligarques. Ainsi, selon des informations non officielles il s'agirait d'au moins six patrons, sinon largement plus. Il est ainsi question des trois frères Kouninef, réputés très proches de la famille du Président Bouteflika, Mahieddine Tahkout, son fils et ses deux frères, Mohamed Bairi vice-président du FCE et les deux frères Haddad. "Je n'ai rien à me reprocher. Je suis à la disposition de la justice en laquelle j'ai une entière confiance", a affirmé hier Mohamed Bairi, dans une déclaration à un journal électronique. Notons qu'Ali Haddad a été arrêté avant-hier aux frontières avec la Tunisie alors qu'il s'apprêtait a quitter le territoire national. Il aurait comparu hier devant le juge d'instruction près le tribunal d'El- Kala. Autant dire qu'il s'agit d'un chant de cygne pour l'oligarchie. Affaire à suivre.ontenu leur serait reproché des faits de corruption et de transfert illicite de capitauxvers l'étranger. Ils sont d'ailleursdéjà frappés par la mesure d'interdictionde quitter le territoire national.Ali Haddad, l'ex-président du FCE, en adéjà fait les frais. C'est une informationtout ce qu'il y a d'officiel. Ce qui n'étaitqu'une rumeur s'est en effet confirméhier lorsque le parquet général près lacour d'Alger a rendu public un communiquésur cette question. "Conformément à l'article 11 alinéa 3du code de procédure pénale, le parquetgénéral près la cour d'Alger porte à laconnaissance de l'opinion publique quedes enquêtes préliminaires sont misesen oeuvre pour des faits de corruption et de transfert illicite de capitaux versl'étranger", précise la même source.Dans ce cadre et "pour les nécessitésdes enquêtes, le procureur de laRépublique près le tribunal de SidiM'Hamed a procédé à l'application desdispositions de l'article 36 bis 1 duCode de procédures pénales et a prisdes mesures conservatoires en ordonnantl'interdiction de sortie du territoirenational à l'encontre de certaines personnes",ajoute le communiqué sansdonner plus de détails. Le communiquéne cite cependant aucun nom, mais il est loisible de dire qu'il s'agit d'hommes d'affaires connus sur la scène nationale. Ils sont qualifiés par l'opinion publique et les partis politiques de l'opposition d'oligarques. Ainsi, selon des informations non officielles il s'agirait d'au moins six patrons, sinon largement plus. Il est ainsi question des trois frères Kouninef, réputés très proches de la famille du Président Bouteflika, Mahieddine Tahkout, son fils et ses deux frères, Mohamed Bairi vice-président du FCE et les deux frères Haddad. "Je n'ai rien à me reprocher. Je suis à la disposition de la justice en laquelle j'ai une entière confiance", a affirmé hier Mohamed Bairi, dans une déclaration à un journal électronique. Notons qu'Ali Haddad a été arrêté avant-hier aux frontières avec la Tunisie alors qu'il s'apprêtait a quitter le territoire national. Il aurait comparu hier devant le juge d'instruction près le tribunal d'El- Kala. Autant dire qu'il s'agit d'un chant de cygne pour l'oligarchie. Affaire à suivre.ontenu