Le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, a appelé avant-hier dimanche à un dialogue "intelligent, constructif et de bonne foi"... Le chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, a appelé avant-hier dimanche à un dialogue "intelligent, constructif et de bonne foi"... ContenuUn dialogue qui reste, selon le chef de l'Etat, "l'unique moyen pourconstruire un consensus fécond, leplus large possible, de nature à permettrela réunion des conditions appropriéespour l'organisation, dans les délais convenus, de l'élection présidentielle". Dans un discours à la Nation àl'occasion du mois sacré de RamadhanBensalah a indiqué que cette élection est"seule à même de permettre au pays de sortir définitivement et durablement del'instabilité politique et institutionnelle". Cet appel, souligne le chef de l'Etat, s'adresse à "tous les acteursnationaux, à l'ensemble des composantes de la classe politique, aux mouvances qui structurent la société civile et à tous ceux qui sont considérés comme exprimant les sentiments d'unefrange de la société, ou de ses élites, àl'intérieur comme à l'extérieur du pays, notamment les jeunes et les femmes, de se mobiliser pour la réalisation de cet objectif stratégique national, seul à même de mener notre pays vers des lendemains sûrs et prospères". Un président de la République issu d'une élection incontestable, aura, en effet, "toute la légitimité nécessaire ettoutes les prérogatives requises pour concrétiser l'aspiration profonde au changement et satisfaire l'ensemble des revendications populaires légitimes", at-il mentionné. Pour Bensalah, lesmodalités d'organisation, de contrôle etde supervision de ces élections dans toutes les phases de préparation, déroulement et de dénouement, "doivent être au coeur de ce dialogue et faire l'objet d'un large consensus". Il a assuré que cet objectif "est le seul à même de mener notre pays vers des lendemains sûrs et prospères pour notre peuple et seul à même de lui permettre de déjouer les dangers et les desseins hostiles visant à le conduire vers le videconstitutionnel et l'absence de l'Etat età l'entrainer ainsi dans la spirale del'anarchie et la déstabilisation". Le chef de l'Etat a salué, par la même occasion, les efforts de l'ANP pour "préserver la conception constitutionnelle de l'Etat, assurer sa continuité et garantirla sécurité et la stabilité du pays". Il a ainsi rendu un "vibrant hommage" àson commandement pour "la lucidité deson engagement aux côtés de notre peuple, dans cette phase cruciale de sonhistoire, et sa détermination à faire face aux agissements hostiles à la patrie, à son intégrité territoriale ainsi qu'auxtentatives visant à porter atteinte à lasécurité nationale du pays et à mettre endanger son unité nationale". Evoquant les marches populaires, Bensalah a indiqué qu'il s'agit d'une étape "qualitativement nouvelle, qui sedéroule dans le calme et de façon pacifique,une étape durant laquelle notrepeuple a fait montre d'un haut niveau de conscience et de maturité, manifestantses revendications et ambitions légitimesà travers un comportement civilisé,qui a forcé l'admiration du monde entier". Il a ajouté que "la voix du peuplea été entendue" Elle a trouvé en l'Etat réactivité positive,promptitude et compréhension àl'égard des revendications, aspirations et attentes de notre population", soulignant que "le processus de changement connaît, au quotidien, des avancées incontestables". "Au coeur des revendications populaires, la lutte contre la corruption et la dilapidation des deniers publics, a ainsi connu une accélération qui laisse entrevoir une prise en main déterminée par la Justice des dossiers qui ont défrayé la chronique, mais aussi et surtout une action méthodique, inscrite dans la durée et induisant un impact salutaire sur l'économie nationale, débarrassée de l'impact néfaste des pratiques qui ont profondément gangréné son fonctionnement", a encore relevé Bensalah dans son message. "Il va sans dire, cependant, que l'intérêt suprême du pays, impose la préservation de l'Etat, le respect des Institutions, ainsi que la sauvegarde de la sécurité et de la stabilité du pays et ce quelles que soient les circonstances", a-t-il insisté,estimant que "l'affaiblissement et la déstabilisation de l'Algérie constitue, pour certaines parties, une option stratégique". "Nier cette réalité ou tenter d'en minimiser la dangerosité, serait au mieux faire preuve de naïveté et au pire decomplicité", a-t-il conclu. ContenuUn dialogue qui reste, selon le chef de l'Etat, "l'unique moyen pourconstruire un consensus fécond, leplus large possible, de nature à permettrela réunion des conditions appropriéespour l'organisation, dans les délais convenus, de l'élection présidentielle". Dans un discours à la Nation àl'occasion du mois sacré de RamadhanBensalah a indiqué que cette élection est"seule à même de permettre au pays de sortir définitivement et durablement del'instabilité politique et institutionnelle". Cet appel, souligne le chef de l'Etat, s'adresse à "tous les acteursnationaux, à l'ensemble des composantes de la classe politique, aux mouvances qui structurent la société civile et à tous ceux qui sont considérés comme exprimant les sentiments d'unefrange de la société, ou de ses élites, àl'intérieur comme à l'extérieur du pays, notamment les jeunes et les femmes, de se mobiliser pour la réalisation de cet objectif stratégique national, seul à même de mener notre pays vers des lendemains sûrs et prospères". Un président de la République issu d'une élection incontestable, aura, en effet, "toute la légitimité nécessaire ettoutes les prérogatives requises pour concrétiser l'aspiration profonde au changement et satisfaire l'ensemble des revendications populaires légitimes", at-il mentionné. Pour Bensalah, lesmodalités d'organisation, de contrôle etde supervision de ces élections dans toutes les phases de préparation, déroulement et de dénouement, "doivent être au coeur de ce dialogue et faire l'objet d'un large consensus". Il a assuré que cet objectif "est le seul à même de mener notre pays vers des lendemains sûrs et prospères pour notre peuple et seul à même de lui permettre de déjouer les dangers et les desseins hostiles visant à le conduire vers le videconstitutionnel et l'absence de l'Etat età l'entrainer ainsi dans la spirale del'anarchie et la déstabilisation". Le chef de l'Etat a salué, par la même occasion, les efforts de l'ANP pour "préserver la conception constitutionnelle de l'Etat, assurer sa continuité et garantirla sécurité et la stabilité du pays". Il a ainsi rendu un "vibrant hommage" àson commandement pour "la lucidité deson engagement aux côtés de notre peuple, dans cette phase cruciale de sonhistoire, et sa détermination à faire face aux agissements hostiles à la patrie, à son intégrité territoriale ainsi qu'auxtentatives visant à porter atteinte à lasécurité nationale du pays et à mettre endanger son unité nationale". Evoquant les marches populaires, Bensalah a indiqué qu'il s'agit d'une étape "qualitativement nouvelle, qui sedéroule dans le calme et de façon pacifique,une étape durant laquelle notrepeuple a fait montre d'un haut niveau de conscience et de maturité, manifestantses revendications et ambitions légitimesà travers un comportement civilisé,qui a forcé l'admiration du monde entier". Il a ajouté que "la voix du peuplea été entendue" Elle a trouvé en l'Etat réactivité positive,promptitude et compréhension àl'égard des revendications, aspirations et attentes de notre population", soulignant que "le processus de changement connaît, au quotidien, des avancées incontestables". "Au coeur des revendications populaires, la lutte contre la corruption et la dilapidation des deniers publics, a ainsi connu une accélération qui laisse entrevoir une prise en main déterminée par la Justice des dossiers qui ont défrayé la chronique, mais aussi et surtout une action méthodique, inscrite dans la durée et induisant un impact salutaire sur l'économie nationale, débarrassée de l'impact néfaste des pratiques qui ont profondément gangréné son fonctionnement", a encore relevé Bensalah dans son message. "Il va sans dire, cependant, que l'intérêt suprême du pays, impose la préservation de l'Etat, le respect des Institutions, ainsi que la sauvegarde de la sécurité et de la stabilité du pays et ce quelles que soient les circonstances", a-t-il insisté,estimant que "l'affaiblissement et la déstabilisation de l'Algérie constitue, pour certaines parties, une option stratégique". "Nier cette réalité ou tenter d'en minimiser la dangerosité, serait au mieux faire preuve de naïveté et au pire decomplicité", a-t-il conclu.